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    Night Raiders
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    7 critiques spectateurs

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    FaRem
    FaRem

    7 658 abonnés 8 952 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 juin 2022
    "Night Raiders" n'est pas la continuité de "Wakening", le court-métrage post-apocalyptique de Danis Goulet sorti en 2013 même s'il met également en scène une femme dans un monde où les tensions raciales et les inégalités sociales sont au plus haut. La réalisatrice reste cependant fidèle à ses thèmes de prédilection en évoquant le sort des autochtones. L'histoire a lieu en 2043, mais fait pourtant écho au passé colonialiste du Canada. Ici, les personnes sont privées de leurs droits et sont surveillées par des drones tandis que les enfants appartiennent au pouvoir en place. Une fois la séparation actée, la mère se met en tête de la récupérer et c'est là que l'histoire n'évolue plus. Les "résistants" prévoient de libérer les enfants, mais l'histoire s'étire inutilement en longueurs. Si encore cela avait permis à la réalisatrice de donner plus de consistance à son film, mais ce n'est pas le cas. L'intrigue est minuscule et ennuyeuse au possible. Le conflit est mal développé et même quand ça s'anime le film ne parvient pas à être un minimum divertissant. On pourrait trouver beaucoup d'excuses au film par rapport au budget, tout ça, mais je n'ai jamais accroché à l'univers proposé et j'ai trouvé l'ensemble extrêmement ennuyeux.
    Jorik V
    Jorik V

    1 220 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 octobre 2021
    Danis Boulet pour son premier film en tant que réalisatrice a vu les choses en grand mais avec un petit budget. C’est difficile souvent, mais certainement pas impossible de réaliser de grands films de cette manière. Entre autres exemples dans la science-fiction et les films dystopiques réussis et mémorables, on peut citer le politique et illustre « District 9 » de Neil Bloomkamp ou encore le poétique et sublime « How I live now » du britannique Kevin McDonald. Peu de moyens mais de grandes ambitions rendues possibles grâce à l’imagination et au savoir-faire de ces réalisateurs qui donnent de grands films. Dans « The Night Raiders », malheureusement, l’idée de base et les velléités artistiques ambitieuses avaient beau être de mise, le résultat est maladroit et parfois chaotique. C’est d’autant plus frustrant que tout cela aurait pu être magistral à tous niveaux mais il fallait avoir les épaules.



    Les problèmes entourant les nations autochtones sont au centre de nombreuses polémiques au Canada, notamment ces pensionnats où on obligeait les enfants des Premières Nations à être assimilés à la culture occidentale. C’est une polémique récurrente et encore d’actualité aujourd’hui, une blessure pour toute une nation. A travers le récit d’un monde futuriste sortant d’une guerre où tous les enfants deviennent des pupilles de l’État dans des pensionnats semblables, Boulet tente de construire un drame de science-fiction où les autochtones sont les héros du film et ceux qui peuvent sauver leurs semblables de la tyrannie. Pourquoi pas, mais les parallèles sont maladroits et se marient mal à un film d’anticipation tandis que le cœur du sujet et les intentions sont noyées dans l’aspect suspense. Un suspense qui a du mal à nous tenir en haleine sur le long terme. Les références à ce passé trouble sont trop diffuses pour que le grand public les saisisse tous. C’est comme si la cinéaste avait été dépassée par l’ampleur de son sujet.



    L’univers créé pour l’occasion est assez crédible et malgré le budget qu’on suppose minuscule, « The Night Raiders » ne s’en sort pas trop mal et les rares effets spéciaux sont concluants, écartant le film du ridicule et de la série Z. Tant mieux, surtout que le ton est très sérieux. Mais on a du mal à être émus par le sort des deux héroïnes, leur psychologie est trop sommaire comme la plupart des personnages et on ne saisit pas toujours bien les tenants et les aboutissants de toutes les parties. Quant au contexte dystopique, il reste trop flou pour qu’on s’y investisse vraiment. Quid de cette guerre? Où sommes-nous? Qui sont ces gens de l’Académie ainsi que les résistants? Trop de questions pour une œuvre aux contours mal dessinés. Ne pas savoir est parfois pertinent, on doit se faire ses propres conclusions mais ce procédé colle mal à ce film. Les scènes d’action sont banales, hormis le final plus réussi. Finalement l’ennui pointe souvent le bout de son nez, la faute à un rythme parfois brinquebalant. Les meilleures intentions ne font pas toujours les meilleurs films c’est bien connu...



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    Pascal I
    Pascal I

    691 abonnés 4 075 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 décembre 2021
    Une adaptation dystopique sur les amérindiens victimes des traitements à leur encontre et sur les enfants "enlevés/élevés", projeté dans un futur sans date. Des moyens très limités, honnêtement interprété, très maladroit dans la mise en scène et une fin attendue. Un drame qui se veut dénonciateur. 2/5 ! (sans plus).
    defleppard
    defleppard

    328 abonnés 3 267 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 décembre 2021
    Un survival réalisé avec trois francs, six sous qui montre ses limites assez rapidement dans l'intensité ainsi que le reste, deux étoiles.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    116 abonnés 2 346 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 octobre 2022
    Le film manque de rythme, le réalisation est plate et les scène manquent d'intensité, l'interprétation est fade.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    82 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mars 2021
    Dans un futur post-apocalyptique non daté, le continent nord-américain est gouverné par un régime militaire faisant de chaque enfant une propriété de l’Etat. Ces enfants séparés de leurs parents sont placés dans des instituts spécialisés où l’éducation prodiguée relève de l’endoctrinement.
    La dystopie mise en images par Danis Goulet oppose le pouvoir militaire en place et les organisations de défense des droits des enfants. Night raiders, premier long-métrage réalisé par la réalisatrice canadienne, ne bouleverse par le genre. Le récit avancé s’applique à une utilisation classique et solide des codes cinématographiques des films imaginant un avenir post-apocalyptique. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com/festivals/berlinale-2021/
    Celia N
    Celia N

    6 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 août 2022
    C'est MOU ! La musique est quasi-inexistante, le jeu des acteurs donne envie de pleurer, mais le scénario est cool. Dommage, l'idée était bonne mais ça n'a pas été confié au bon réalisateur il semblerait...
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