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Avec un suspense à couper le souffle, « Un Fils » est un très beau film sur la solidarité, le pardon et la folie qui nous guette face à l'insoutenable.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La simplicité de la mise en scène et d’une image filmée en lumière naturelle, par une caméra à l’épaule souvent proche des protagonistes, souligne la solitude des personnages et leur enfermement dans cette société patriarcale ancestrale.
Une tragédie cornélienne, qui tout à la fois déroule la crise d’un couple, les émois politiques et religieux de la Tunisie, la folie du terrorisme et la question de la filiation. Saisissant et profond.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L’analyse est percutante et l’on regrette que la suite du film, dont l’intrigue se sépare trop mécaniquement en deux branches le fasse trop ressembler à un cahier des charges ethico-politique.
Avec ce premier long-métrage très maîtrisé, le réalisateur tunisien Mehdi M. Barsaoui signe un film poignant sur la paternité et la filiation dans un pays bouleversé par les révolutions arabes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
L’émotion que provoque Un fils tient autant à l’histoire qu’à la pudeur dont a su l’entourer Mehdi M. Barsaoui, par la grâce d’une mise en scène sans artifice où la précision du cadre se charge de contenir le déferlement des sentiments.
"Un fils" surprend et émeut quand il reste entre les murs blanchis, nacrés de larmes, du mélodrame bourgeois et du coup de canif dans le contrat familial ; mais il s’affadit en troquant sa fine étude de mœurs pour un naturalisme de genre trop diffus.
Tout en saluant la pertinence de l’allégorie politique et l’indéniable force de deux ou trois scènes (celles qui concernent les trafics d’organes d’enfants), on peut ainsi regretter qu’"Un fils" se maintienne dans les limites du bon film à thèse, ne débordant jamais de ce qu’il cherche à démontrer, en n’osant s’aventurer ni du côté du mélodrame ni de celui de la fable cruelle que son scénario contenait pourtant en puissance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le talent de Barsaoui est de ne jamais enfermer son récit dans des débats théoriques mais de l’intégrer à une course contre la montre indécise jusque dans ses ultimes plans.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ouest France
Une course contre-la-montre sublimée par les magistraux Sami Bouajila et Najla Ben Abdallah.
Transfuge
[...] la mise en scène d’"Un fils" atteint à une intensité et une douceur qui font souvent penser à Cassavetes.
20 Minutes
Ce premier film évite le mélodrame pour évoquer la vie en Tunisie après la révolution de 2011.
Bande à part
Un drame intime autant que politique d'une grande puissance.
Femme Actuelle
Sensible et intense.
L'Obs
Un premier film maîtrisé, lucide et éminemment politique.
La Voix du Nord
Remarquable premier film où le mélo bifurque vers le thriller, dans une Tunisie corrompue et complètement déboussolée.
Le Figaro
Merveilleusement interprété, le premier long-métrage de Mehdi M. Barsaoui mêle suspense et drame intime.
Le Parisien
Avec un suspense à couper le souffle, « Un Fils » est un très beau film sur la solidarité, le pardon et la folie qui nous guette face à l'insoutenable.
Positif
La simplicité de la mise en scène et d’une image filmée en lumière naturelle, par une caméra à l’épaule souvent proche des protagonistes, souligne la solitude des personnages et leur enfermement dans cette société patriarcale ancestrale.
Sud Ouest
Beau récit dédié à l’amour d’un couple et porté par la puissance d’émotion de Sami Bouajila en père aux abois.
Télé 7 Jours
Tout simplement bouleversant.
Télérama
Une poignante radiographie d’un pays en proie au chaos.
aVoir-aLire.com
Une tragédie cornélienne, qui tout à la fois déroule la crise d’un couple, les émois politiques et religieux de la Tunisie, la folie du terrorisme et la question de la filiation. Saisissant et profond.
Cahiers du Cinéma
L’analyse est percutante et l’on regrette que la suite du film, dont l’intrigue se sépare trop mécaniquement en deux branches le fasse trop ressembler à un cahier des charges ethico-politique.
La Croix
Avec ce premier long-métrage très maîtrisé, le réalisateur tunisien Mehdi M. Barsaoui signe un film poignant sur la paternité et la filiation dans un pays bouleversé par les révolutions arabes.
Le Journal du Dimanche
Un premier long-métrage émouvant, qui doit aussi beaucoup à ses comédiens inspirés, Sami Bouajila en tête.
Le Monde
L’émotion que provoque Un fils tient autant à l’histoire qu’à la pudeur dont a su l’entourer Mehdi M. Barsaoui, par la grâce d’une mise en scène sans artifice où la précision du cadre se charge de contenir le déferlement des sentiments.
Les Fiches du Cinéma
"Un fils" surprend et émeut quand il reste entre les murs blanchis, nacrés de larmes, du mélodrame bourgeois et du coup de canif dans le contrat familial ; mais il s’affadit en troquant sa fine étude de mœurs pour un naturalisme de genre trop diffus.
Libération
Tout en saluant la pertinence de l’allégorie politique et l’indéniable force de deux ou trois scènes (celles qui concernent les trafics d’organes d’enfants), on peut ainsi regretter qu’"Un fils" se maintienne dans les limites du bon film à thèse, ne débordant jamais de ce qu’il cherche à démontrer, en n’osant s’aventurer ni du côté du mélodrame ni de celui de la fable cruelle que son scénario contenait pourtant en puissance.
Première
Le talent de Barsaoui est de ne jamais enfermer son récit dans des débats théoriques mais de l’intégrer à une course contre la montre indécise jusque dans ses ultimes plans.