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    The Demon Inside
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    1,6
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    74 critiques spectateurs

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    kyu f
    kyu f

    79 abonnés 435 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2020
    premier film apres 3 mois de fermeture au cinéma , et quelle film ! pour moi s n'a rien du film de possesion banal .il ma foutu une de ces peur ! les scenes sont maitrisé , stressante et original . les acteurs sont bon et le gamin se débrouille plutôt bien ! je n'ai pas grand chose a reprocher a ce film . il est génial et pur un fil de posséssion il est super ! je ne comprend pas en quoi il est si mauvais , a voir !
    RedArrow
    RedArrow

    1 555 abonnés 1 505 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mars 2020
    Encore un énième banal film de possession ou une des rares propositions à avoir quelque chose de neuf à apporter au sujet ? Eh bien, bonne nouvelle, "The Assent" se rapproche de la seconde catégorie en n'ayant non pas des idées franchement révolutionnaires sur cette thématique surnaturelle mais en choisissant plutôt, disons, un autre angle afin de l'aborder. Cela suffit-il pour autant à en faire un bon film ? Dur d'être affirmatif sur ce point...

    Luttant contre sa schizophrénie patente, un père élève seul son fils dans une maison isolée. Lâchée par sa fidèle babysitter qui lui permettait d'exercer ses activités de mécanicien, l'homme se retrouve dos au mur pour conserver la garde de son enfant, d'autant plus que ce dernier se met à présenter les mêmes symptômes que la maladie de son père, voire de bien plus étranges encore...
    En parallèle, un vieux prêtre exorciste sort de prison, bien décidé à prendre sa revanche sur un démon surpuissant...

    Comme le film le martèlera un peu trop fort d'entrée, "The Assent" -l'assentiment- fait référence à la phase finale d'une possession démoniaque, celle où la victime vaincue par l'entité accède à sa demande de lui offrir son corps. Vu que le long-métrage de Pearry Reginald Teo emprunte son titre à cette décomposition du phénomène de la possession, on peut déjà supposer que celle-ci va être le point crucial d'une intrigue plus roublarde qu'à l'accoutumée mais à quel point et dans quel but ? Là vont être les grandes interrogations d'un film dont on va vite déceler que la véritable nature ne prendra son sens qu'à l'aune d'un incontournable twist final. Et c'est peut-être un peu tout le problème de "The Asset" qui fait sans doute aller un peu loin les interrogations du spectateur durant son déroulement au risque de le décevoir avec une conclusion loin d'être bête mais finalement pas si imprévisible ou folle que souhaitée.

    Sutout, avant de parvenir à cette ultime révélation, le film va hélas accumuler certaines maladresses nuisant à préparer l'impact de cette dernière.
    Déjà, tout ce qui entoure la crédibilité de la relation père-fils à laquelle on nous introduit ! On ne sait pas trop quelle assistante sociale a jugé bon qu'accorder la garde d'un enfant à un père mentalement instable dans un environnement essentiellement composé de sculptures morbides serait une bonne idée mais il est fort à parier qu'elle se soit trompée d'orientation professionnelle. De même, comment croire un seul instant à la réalité des premiers dialogues sirupeux échangés entre le fils et son paternel ? Ceux-ci défient toute logique de vérité et emmènent cette relation vers celle d'un mauvais téléfilm familial dégoulinant de bons sentiments spoiler: . Et, au milieu de tout ça, le personnage de la baby-sitter est magique : non seulement la jeune femme semble se rendre compte de la bizarrerie de ce foyer (un peu plus prononcée les derniers jours, il est vrai) quand elle est sur le point de le quitter mais elle a la bonne idée d'en parler à un vieux prêtre accusé d'un meurtre pour espérer arranger les choses. À ce propos, pas mal d'autres personnages semblent complètement ignorer les agissements antérieurs de cet homme d'église, le film nous montre pourtant bien en amont que le fait divers dont il est le triste héros a défrayé la chronique par sa nature extraordinaire et, vu la petite ville où paraît se dérouler "The Asset", dur de croire que le père et la baby-sitter n'ont jamais vu un portrait du bonhomme via les médias...

    Peut-être que l'on pinaille un peu mais on ne peut nier que "The Assent" a dû mal à rendre vraisemblable tout ce qu'il veut installer. Et le film va même jusqu'à aller se tirer une balle tout seul dans le pied en commettant une erreur impardonnable à mi-parcours: la fin d'une scène très insistante sur un point dévoilera bien trop explicitement qu'une partie non négligeable du mystère global réside dans ce qu'elle veut souligner (les flashbacks finaux le confirmeront)...

    Heureusement, "The Assent" n'est pas que maladroit et ses qualités prouvent que ce projet a comme but premier de sortir du lot des films d'exorcisme les plus lambdas.
    En ce sens, la noirceur de son atmosphère est la première d'entre elles : non seulement l'essence même de la schizophrénie semble déteindre sur l'entièreté de son ambiance, de ses décors de plus en plus ensevelis sous le poids de ce mal tout comme son personnage principal (ses crises se manifestent esthétiquement avec une sorte de halo de 3D anaglyphe qui se met à l'entourer), mais les visions particulièrement malsaines de créatures arachnides et/ou informes participent à amplifier cette frontière entre la folie et la réelle possession sur laquelle le film prend un malin plaisir à jouer sa partition. Bon, tout ça est évidemment un prétexte à quelques jumpscares un brin faciles mais cela joue plutôt bien avec les attentes d'un spectateur qui n'a plus d'autres choix que de chercher à déceler le moindre mouvement dans chaque zone d'ombre (le gimmick de l'appareil photo assurera toujours une certaine efficacité de ce côté).
    L'autre grand point fort de "The Assent" sera justement cette connexion entre la schizophrénie et la possible présence démoniaque, deux visions reliées intimement par les hommes depuis la nuit des temps avant l'intervention de la science, que le film s'amusera à construire en miroir tout au long de sa durée pour nous faire douter sur la véritable teneur des événements jusqu'à, comme attendu, le briser lors du final nous livrant les clés de la véritable lecture à y donner.

    En plus de quelques autres atouts, "The Assent" fait partie de ces films de possession qui gagnent d'office notre indulgence par leur volonté affichée de proposer autre chose que le tout-venant du genre. Il est donc fort dommage que de grossières erreurs de parcours ne lui permettent pas de prendre la pleine mesure des ambitions qui l'animaient. En l'état, on ne peut pas rejeter unilatéralement l'intérêt de la proposition mais son manque d'aboutissement la condamne de fait à n'être que mineure...
    Hollywood-Biographer
    Hollywood-Biographer

    180 abonnés 1 478 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 juillet 2020
    "The Demon Inside" surfe sur la vague des films d'exorcisme sans inspiration. Même s'il essaye d'innover à travers son scénario, celui-ci reste très grotesque, au même titre que tous les personnages de l'intrigue. On s'ennuie ferme devant ce spectacle insignifiant.
    7fabcool7
    7fabcool7

    48 abonnés 595 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juin 2020
    Plutot pas mal en faites les acteurs jouent tous bien (pour ma part) ;quelques petits moments de frayeur, les effets sur les yeux et le visage du gosse sont bien flippants. Par contre, il est un peu long à démarrer et ce film ne restera pas dans les annales & ne va pas faire un grand nombre d'entréeS (16 dans la salle dimanche à 19h30......)
    Alice025
    Alice025

    1 538 abonnés 1 312 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 juin 2020
    Réouverture des cinémas enfin, mais pas grand chose en nouveauté. Je me suis laissée tenter par ce film d'horreur et sans grande surprise, il se révèle être d'une médiocrité extrême.
    Encore une histoire d'exorcisme mais mal réalisée où l'on sent que ce film a petit budget a sans doute essayer de nous faire peur par des moyens qui laissent à désirer, se demandant même si l'on a pas oublié nos lunettes 3D pour la séance...
    Les acteurs ne volent pas haut non plus, et l'effet retournement de situation vers la fin laisse également de marbre car on est complètement détaché.
    Heureuse de retourner au cinéma, mais ce genre de film ne m'avait pas vraiment manqué...

    http://cinephile-critique.over-blog.com
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 mai 2020
    Alors ceux qui n'aiment pas, je veut pas jugé, je pense juste qu'à un moment donné il faut arrêter de voué un culte au très vieux et poussiéreux l'EXORCISTE, en effet il est bien (enfin perso je me fend la gueule du début à la fin) , c'est un thème déjà vu mais difficile à réinventer, là j'ai vraiment kiffé l'ambiance le côté psycho très perturbant et le turn over de la fin. Si vous le trouvez nul, très chère amis je vous mets au défi de réinventer le genre...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    601 abonnés 2 788 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 juillet 2020
    Que The Assent bénéficie aujourd’hui d’une sortie en salles relève de la gageure tant la médiocrité de son ambition horrifique n’a d’égale que sa laideur congénitale avec moult effets visuels et sonores tous plus usés les uns que les autres. Le pire étant la caractérisation des personnages, surtout celle du père qui, s’il n’est jamais crédible à l’écran, ne voit pas les différentes facettes de son identité s’agréger entre elles : son ethos est à l’image du long métrage, hétéroclite et confus. Et ce n’est pas l’entité démoniaque qui excitera notre curiosité, puisque de son aspect protéiforme aucune de ses formes ne parvient à effrayer, à inquiéter, pas même à convaincre… une grosse patate qui court à toute vitesse dans la maison, voilà la créature ! Exercice d’exorcisme pour débutants à deux dollars, The Assent ne vaut que pour l’interprétation du jeune acteur principal, efficace mais qui ne saurait conjurer la faiblesse congénitale d’un ensemble dépourvu de vision du genre qu’il prétend investir.
    Dylan T
    Dylan T

    1 critique Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2020
    Malgré une critique plutôt négative, le film dégage une atmosphère typique des films d'horreur, angoissante et stressante de par sa musique, ses décors et certains personnages. Le film nous plonge dès le début dans ce qu'est l'exorcisme et la façon dont le démon s'empare de notre corps en nous explicitant les différentes phases de la possession. Ce film exploite l'exorcisme d'une façon inédite permettant de se dégager des scènes basiques de ce genre déjà vues et revues, ici, en exploitant la maladie de la schizophrénie et son rapport religieux avec le diable. Cependant, une fin qui vous laissera dans l'attente de plus d'explications, certains ressentiront même de l'incompréhension les laissant donc proposer leurs théories plausibles quant à l'explication du film. Un film qui vaut tout de même le coup d'être vu, grands fans de paranormal resteront sur leurs faims, une bonne expérience tout de même.
    Fabien D
    Fabien D

    170 abonnés 1 108 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 juillet 2020
    The Demon Inside est un enième nanar du film d'exorcisme dans lequel on retrouve quelques uns des pires défauts du genre (montage à la truelle, effets visuels désastreux, acteurs peu convaincants) . L'histoire aurait pu, pourtant, donner lieu à quelque chose d'intéressant. La thématique de la schizophrénie n'est malheureusement pas exploitée d'une manière un tant soit peu originale. L'ambiguïté propre au fantastique n'est malheureusement pas au centre du film qui sombre rapidement dans tous les clichés du film d'exorcisme. Néanmoins, la révélation finale, assez originale, vient sauver le film du désastre total. De plus, les représentations monstrueuses, bien qu'étranges, ne sont jamais un tant soit peu effrayante. Bref, The Demon Inside n'a que bien peu d'intérêts et ne fait, malgré l'utilisation de jump scare, même, pas sursauter…
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 209 abonnés 4 030 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juin 2020
    “The Demon Inside” suit un jeune veuf schizophrène qui soupçonne son fils d’être possédé par un démon. Un prêtre exorciste au passé trouble va tenter de désenvoûter l’enfant. Autour d’eux, une psychologue tente de résonner le père en lui expliquant que tout ça est irréel. Ce film d’épouvante de Pearry Reginald Teo manque d’intérêt à cause d’un sujet épuisé et de performances moyennes d’acteurs qui expriment pourtant leur bonne volonté. L’idée initiale était pourtant intéressante, mais assister à un exorcisme à travers le trou d’une serrure ou se prendre les nombreux flashs d’un appareil dans les yeux, finit par épuiser.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Ciné2909
    Ciné2909

    66 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 juillet 2020
    Une histoire qui fait appel aux démons et à de l’exorcisme ; en voilà une belle nouveauté ! Le film de Pearry Reginald Teo partait déjà de loin mais alors quand on ajoute à ça des personnages sans envergure et une réalisation insipide, ça ne peut que se casser la figure. La schizophrénie de Joel donne juste l’occasion de nous abreuver de visions troublées et de quelques apparitions pour tenter vainement de nous faire sursauter du siège. Et ne comptez pas prendre plus de plaisir devant la séance d’exorcisme car il faudra se contenter de quelques images volées à travers le trou d’une serrure. Il y a bien un petit twist dans les derniers instants mais le mal est déjà fait et on a juste envie de passer à autre chose que The Demon Inside et vite !
    gnomos
    gnomos

    48 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 septembre 2020
    Bon, il s'agit d'un film de possession, ce que je savais, bien sûr, et aussi que ce n'est pas ma came ( l'Exorciste, une des pires arnaques de l'histoire du cinéma, tant c'était ennuyeux ). Bref, celui-ci n'est pas pire, en tout cas, malgré quelques bourdes grossières qui m'ont frappée, comme d'autres: le fait de confier un enfant à un parent schizophrène, ( et il faut voir l'ambiance qu'il a instaurée chez lui, je me croirais possédée moi aussi dans une telle baraque ). Bon, dans un décor lumineux et accueillant, on ne peut faire ce genre de film. Mais en plus, on fait appel à un prêtre célèbre pour avoir déjà tué un enfant, c'est bizarre, moins de la part du père complètement barré que de la baby- sitter, qui a l'air connectée. Bref, après, c'est une question de goûts personnels, moi,ça ne me fait pas peur du tout, mais d'autres sont terrorisés; je ne peux pas juger de l'efficacité du film à ce niveau, mais ça semble assez classique dans le genre. Le twist de fin, c'est pour se démarquer, soit. Sauf que comme le film n'est pas haletant, j'étais un peu indifférente. Donc, je dirais que les décors sont bien, on ne souligne jamais assez le travail que font ces gens là.
    mat niro
    mat niro

    317 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 juin 2020
    Habitué des films d'horreur, le réalisateur singapourien Pearry Regeinald Teo livre ici une série B qui ne fera pas date. Excepté la relation père/fils, cette œuvre s'enfonce dans du grand n'importe quoi à mesure qu'elle avance dans le temps. Le sujet, maintes fois exploité de l'exorcisme sur l'enfant, n'est que trop rarement filmé pour faire frissonner le spectateur. Le retournement final est dans la même lignée que le reste, c'est à dire sans saveur. Un style de film où les bonnes surprises se font de plus en plus rares.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    154 abonnés 2 225 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 juillet 2020
    Ce petit film d’horreur est sorti en salles pour leur réouverture le 22 juin. Malheureusement, dans le genre du film d’exorcisme, on a vu tellement mieux. Le début est très poussif et que l’ensemble est long pour un film qui ne dure que 87 minutes ! Peu de personnages, peu de décors et un scénario plus que réduit, pourquoi les producteurs du films ne se sont-ils pas contenté d’une sortie sur une plateforme de streaming ?
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 juin 2020
    Tout est raté dans ce film. J'ai beau réfléchir, je ne trouve rien de positif à en dire. La réalisation est bâclée, la profondeur des personnages proches du néant absolu, les effets visuels faits pour qu'on ne voit rien entre flous, flash lumineux et visions discordantes et l'histoire est incohérente. Bref, le film de la reprise à ne pas voir.
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