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    Eté 85
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    3,7
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    449 critiques spectateurs

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    JCDARGELOS
    JCDARGELOS

    11 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juillet 2020
    Comme un prisme à travers lequel on voit sa propre expérience de la vie et de l'amour avec toutes ses nuances, Été 85 est le premier film d'une nouvelle Ère, celle où enfin la représentation des amours "non majoritaires" va faire vibrer tous les publics comme depuis des décennies les non-majoritaires vibrent pour Jane et Tarzan, Scarlett et Rhett ou Rose et Jack. Là où Le Secret de Brokeback Mountain révélait la passion contrariée de deux jeunes adultes déjà piégés, on assiste dans le film d'Ozon à la naissance et l'explosion d'un premier amour adolescent entre deux garçons.
    Quelle que soit notre orientation sexuelle, on nait tous Alex ( jeune bambi aux premiers émois ) devant David ( sorte de Panpan flamboyant ).
    Toute la question est de savoir quand Alex va comprendre que Panpan mène la danse. L'éternel "Qui je suis me fuit" et inversement.
    Beaucoup de Bambis ne comprennent jamais ce jeu... et finissent au bord de la route.
    D'une manière ou d'une autre, Bambi doit tuer Panpan s'il ne veut pas s'installer dans une position de victime.
    Bambi va t'il rester Bambi ?
    Êtes-vous resté un Bambi ?
    Vous trouverez la réponse si vous "OZEZ" regarder à travers ce prisme nostalgique, lumineux et déchirant : ÉTÉ 85.
    Aubert T.
    Aubert T.

    117 abonnés 131 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 juillet 2020
    Ozon est décidément incapable de transmettre ne serait-ce que le début d'une émotion. En vérité, on se fout totalement du destin de ces deux garçons, et la raison pour laquelle David va mourir - c'est annoncé dans les 5 premières minutes du film, mais il est tellement antipathique que sa mort est presqu' un soulagement.
    La direction d'acteurs ne semble pas la première préoccupation d'Ozon, et hélas, ça pèse énormément.
    On n'est pas loin du nanar.
    carine1979
    carine1979

    11 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 juillet 2020
    Veritable Chef-d'œuvre . Ozon nous livte un film sensuel,nostalgique, poignant, angoissant... film que je n'oublierai pas
    Yves G.
    Yves G.

    1 330 abonnés 3 327 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 juillet 2020
    Menottes au poing, Alexis, seize ans, comparaît devant une éducatrice avant son jugement imminent. Quel crime a-t-il commis ?
    Quelques mois plus tôt, au Tréport, il a fait la connaissance d’Alexis, son aîné de deux ans. Entre les deux adolescents, l’amitié est immédiate à laquelle s’ajoute bientôt un sentiment plus ambigu et plus puissant.

    "Été 85" est un film paradoxalement déroutant.

    C’est un film d’un grand classicisme, d’une grande simplicité, presque un "teen movie" qui raconte une histoire d’amour qui finit mal entre deux adolescents – sa seule originalité étant, à supposer que cela en soit une, que les deux ados soient du même sexe. Cette histoire simple – comme l’aurait dit Sautet qui fut l’historiographe des années soixante-dix – se déroule à l’été 85, reconstitué avec un soin méticuleux. Quiconque a vécu ces années là ne pourra que ressentir une puissante bouffée de nostalgie en en retrouvant les costumes, les coiffures et la musique.

    C’est ce classicisme qui paradoxalement dérange de la part d’Ozon. Le réalisateur, particulièrement prolifique, a déjà donné naissance à une œuvre riche et diverse qui investit et qui mêle toutes sortes de genres, de la comédie ébouriffante "Huit femmes" au film à thèse "Grâce à Dieu", du film en costumes "Frantz" au huis clos étouffant "Swimming Pool". Dans cette filmographie immense, sans doute l’une des plus riches du cinéma français contemporain, "Été 85" détonne, qui ressemble plus à la première œuvre très autobiographique d’un jeune diplômé de la Fémis qu’au dix-neuvième film d’un des réalisateurs les plus manipulateurs qui soient.

    De la part d’Ozon, on s’attendait à autre chose, et, pour dire la vérité, on s’attendait à mieux. On imaginait qu’il donnerait à cette romance un peu mièvre un tour plus surprenant, l’entraînant vers le drame ou vers la comédie. Mais rien n’arrive sinon le déroulement sans surprise d’une histoire sagement racontée.

    Seul étonnement : le crime qu’a commis Alexis n’est pas celui qu’on croit. Mais j’en ai déjà trop dit…
    Jorik V
    Jorik V

    1 215 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 août 2020
    Le dernier film de François Ozon est très personnel. C’est un fait et il doit y avoir beaucoup de lui et de son vécu dans cette romance gay adolescente. Souvent comparé à tort à « Call me by your name » ou aux cinémas de Dolan ou d’Honoré, cet « Eté 85 » est plutôt un teen movie à la sauce française auquel le brillant cinéaste injecte sa patte si singulière. Le mélange des genres entre comédie, romance, récit initiatique et un brin de suspense fonctionne à merveille et ne ressemble à pas grand-chose de connu. C’est la force du cinéaste de savoir se frotter à beaucoup de genres, et la plupart du temps avec brio. Et ici c’est un véritable enchantement, le genre de moment de cinéma intime et généreux que l’on voudrait garder rien que pour soi tellement il résonne en nous. La fibre mélancolique fonctionne à plein régime durant une heure et demie. Cette œuvre restera peut-être comme une œuvre mineure dans la filmographie d’Ozon mais, à l’instar de « 5x2 » ou « Jeune et jolie », peut-être l’une des plus fortes et belles.



    Ozon n’a pas son pareil pour filmer ce genre de rencontre entre deux personnes. Certaines séquences sont envoûtantes et hypnotiques au possible et la beauté des images doublées à une bande originale aux petits oignons nous emportent totalement. Le cadre de la petite ville du Tréport durant les années 80 est parfaitement rendu et costumes et décors sont impeccables, confirmant une direction artistique toujours maniaque et recherchée chez le réalisateur. A la fois doux comme une caresse et cruel comme un coup de griffe, le film s’apparente à un rêve empreint de nostalgie, en mémoire d’une époque révolue et disparue que l’on voudrait retrouver. Les thèmes chers au cinéaste sont bien présents de l’amour contrarié à la mort en passant par la puissance des sentiments et la notion d’identité. Très sensuel quand il filme les corps qui s’étreignent et le désir naissant, le film sait être aussi lumineux comme un coucher de soleil estival lorsqu’il s’attarde sur l’ambiance de cité balnéaire durant l’été. Mais lorsque le récit se fait plus sombre et côtoie la mort par instants, le trouble nait tout aussi magnifiquement. Comme lors de cette euphorie sépulcrale durant la magnifique scène de danse sur une tombe enrobée musicalement par le « Sailing » de Rod Stewart.



    La réussite de cette parenthèse enchantée n’aurait pas été aussi évidente sans une interprétation sans faille. Ozon sait choisir ses comédiens, même débutants, et il le prouve ici une nouvelle fois. Le duo d’acteurs dont il s’en entiché est en osmose totale et s’avère époustouflant de naturel et de charme. L’inconnu Félix Lefebvre fait ses premiers pas sur grand écran de manière royale tandis que Benjamin Voisin confirme qu’il développe un sacré charisme de film en film. Un charisme qui risque de l’emmener loin. Les seconds rôles ne sont pas en reste et on retiendra les excellentes Valeria Bruni-Tedeschi et isabelle Nanty, dans des rôles de mères poules diamétralement opposées. Il y a beaucoup de vérités dites dans les dialogues et beaucoup d’entre nous se reconnaîtront dans cette histoire d’amour adolescente, peu importe leur sexualité. Les répliques sont d’une justesse incroyable et sentent le vécu dans le bon sens du terme. Et de ce diamant brut tantôt sombre tantôt lumineux se dégagent quelques scènes iconoclastes et drôles parfaitement solubles dans l’ensemble (la scène de travestissement). « Eté 85 » est un film beau et fort dont on ressort chamboulé et les yeux embués par la beauté des sentiments révélés.



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    BIBI07
    BIBI07

    78 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juillet 2020
    Vu au ciné "ÉTÉ 85" le nouvel opus du prolifique François Ozon qui, un an après le bouleversant et puissant "Grâce à Dieu" adapte ici un roman britannique qu'il avait lu jeune homme: l'histoire de l'amitié amoureuse d'un adolescent de 16 ans pour un autre de 18 ans, la fulgurance d'un premier amour, avec une domination d'un côté et admiration ou plutôt idealisation de l'autre, mais cette histoire de passion adolescente, ce "teen-movie" annoncé va -grâce à la puissance et au talent du cinéma de Ozon -prendre un chemîn particulier dans lequel le cinéaste nous amène dès le préambule du film en évoquant cette fascination du jeune ado pour la mort, en alternant ensuite avec efficacité flashs-backs solaires d'une belle aventure sensuelle puis sexuelle entre ces deux jeunes et le présent plus dramatique et plus terre à terre, le cinéaste fait de cette aventure de vie une passionnante et déchirante relation, car on sait dès le debut qu'elle finira mal, un film à la fois sombre et lumineux, à la fois doux et cruel, qui n'hésite pas aussi à délivrer des scènes à la limite du loufoque (comme celles de la morgue et du cimetière) mais quand Ozon "ose" ça passe, grâce à son talent de mise en scene, et puis surtout Ozon confirme encore ici qu'il est bien l'un des meilleurs directeurs d'acteurs de notre cinema: aux côtés de magnifiques seconds rôles comme Valeria Bruni-Tedeschi et Isabelle Nanty en mamans, les deux jeunes comédiens -unis par une belle et éclatante complicité- sont formidables d'intensité, d'une justesse et d'un naturel confondant: BENJAMIN VOISIN en ange insolent et surtout le charismatique et sensible FELIX LEFEBVRE qui porte le film (on devrait à coup sûr les retrouver en révélations aux Cesar), pour le reste la délicatesse et le tact du metteur en scène permettent à cette histoire d'être toujours vibrante, et si on pouvait penser au départ que ce ne serait qu'une parenthèse dans sa carrière, aussi si elle n'a certes pas la puissance émotionnelle et la gravité de "Grâce à Dieu", cette histoire romanesque mêlée d'amour et de mort, de douleurs et de douceurs, habillée par les refrains et les couleurs des années 80, n'en reste pas moins comme un des films les plus aboutis et les plus réussis de son auteur!
    Guiciné
    Guiciné

    135 abonnés 1 217 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 juillet 2020
    Un bel opus du réalisateur, qui nous donne un film sombre et réfléchi, avec des personnages entiers, très engagés et superbement interprétés .
    Un cinéma intense, fort et qui émeut .
    tisma
    tisma

    265 abonnés 1 881 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juillet 2020
    Un bon film de romance. On y suit l'évolution des personnages à travers une très belle et agréable mise en scène. Les éléments de décoration et les costumes sont hyper bien respectés et de nombreux clin d'oeil se sont glissés. Les acteurs n'ont pas à rougir de leur performance très juste et qui nous fait comprendre les sentiments des deux adolescents
    Pigeon V.
    Pigeon V.

    2 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 juillet 2020
    Quel film ! À partir d'un roman d'Aidan Chambers (que j'ai d'ailleurs lu après être allé au cinéma), François Ozon réalise ici un magnifique film sur l'amour, la passion mais aussi sur la mort. Tourné du point de vue d'Alex (un des deux garçons), le film présente une qualité d'image exceptionnelle et une réalisation soignée, le tout accompagné d'une bande originale années 80 qu'on ne peut qu'adorer. À n'en pas douter mon coup de coeur de l'année.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    600 abonnés 1 402 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juillet 2020
    Librement adapté d'un roman anglais des années 80 d'Aidan Chambers, "La danse du coucou", "Été 85" est avant tout une histoire d'amour passionnelle entre deux adolescents au cours des vacances d'été, près de la mer. Ce que j'ai apprécié, c'est que le scénario ne problématise jamais l'homosexualité. Cette passion amoureuse estivale parle à tous et on sent que cette oeuvre tient une place particulière dans la filmographie de François Ozon. En effet, on y décèle une trace de nostalgie dans ce portrait de corps troublés, animés par des émotions vives et perçantes. Au son de tubes oubliés, entre gravité et loufoquerie, on suit ces destinées dans des allers-retours continus entre passé et présent. Dès le début, la voix off du personnage principal nous expose les faits, nous avertit du drame qui va être raconté. Pour ma part, ce choix de narration m'a étonné car il a considérablement amoindrit mon intérêt, enlevant tout suspense et toute curiosité pour cette histoire plutôt banale. Certes, je reconnais la qualité de mise en scène, simple et efficace, avec un beau grain à l'image, ainsi que l'interprétation réussie des deux jeunes acteurs, Félix Lefebvre et Benjamin Voisin, dans ce rapport de dominant-dominé guidé par une belle alchimie. Mais c'est avec une grande sensation de déjà-vu que j'ai traversé cet "Été 85". J'avais l'impression de retraverser le très long "Call Me By Your Name" de Luca Guadagnino (c'est l'amour à la plage, aou tcha tcha tcha). Du coup, il ne m'a pas surpris et le premier mot que j'ai eu à la bouche en sortant de la salle c'est "chiant" ! En fait, une partie de moi n'y a pas cru... Que ce soit à cause des jeux caricaturaux de Philippine Velge (l'accent anglais tellement pas naturel) ou de Valeria Bruni Tedeschi (hystérique), des personnages secondaires anecdotiques et pas assez creusés du professeur de lettres (Melvil Poupaud) ou des parents (Isabelle Nanty et Laurent Fernandez) ou encore à cause de certaines scènes ratées qui sont plus maladroites et absurdes qu'elles ne devaient l'être sur le scénario... L'émotion et la surprise, pour moi, n'étaient pas au rendez-vous. Mais ce n'est pas l'avis des critiques presse qui sont dithyrambiques...
    domit64
    domit64

    37 abonnés 230 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 août 2020
    Une purge ! C'est à se demander si Ozon ne fait pas appel à des stagiaires ! Acteurs mauvais, dialogues d'une pauvreté inouïe, les scènes qui se veulent tragiques sont grotesques ! Bref , autant j'avais aim Frantz autant je suis déçue !
    A éviter !
    ericsalle94
    ericsalle94

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 juillet 2020
    J'ai adoré ce film : les acteurs (magnifiques), l'histoire d'amour, la musique... et les années 80 !!! Je recommande ce film
    Florian R.
    Florian R.

    37 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juillet 2020
    Il y a dans ce film l'évidente candide beauté de deux acteurs aux toutes jeunes années, et le charme puissant d'un récit très écrit, tout écrit (situations typées, personnages et allures hyper-caractérisées, dialogues romanesques un peu apprêtés). Ce n'est pas une vie détachée du quotidien, extraite et prélevée du réel, qui est désignée par l'image mouvante : Ozon choisit de tracer l'affaire d'un destin. C'est littéralement un "roman" mis à l'image. Voici donc, pour ce qui est du style, un roman d'initiation renouvelé, avec sa drôlerie et son drame. Tout cela est neuf et cela vaut d'être souligné : une machine flaubertienne qui aborde un littoral maritime dans les années 1980 (sans lieu clairement désigné), une rencontre gay, les parents décalés des protagonistes (trop parents ici, trop peu parents là), des papiers peints et des chemisettes rétros comme il faut, et évidemment ce "Coeur simple", Alex(is), qui n'en finit pas de fondre : d'un amour éperdu et d'une tristesse folle et digne à la fois. Nous voici, spectateurs, passée la théâtrale scène du naufrage initial, à naviguer aux confins d'un récit intime, qui surfe entre témoignage, fable et tragédie.

    Amour et liberté. L'amour (d'Alex pour David) est-il une révélation ou une invention ? L'histoire/destinée est elle à l'avance inscrite en nous ou jamais encore tracée ? Quel traitement faire à ces drôles de graines vivantes-vivaces qui poussent en nous sans raison, sans pourquoi, comme ceci ou comme cela, qui se manifestent ainsi : doutes, joies, peurs, envies, excitations, émotions, demeurant cependant toujours "insensées" ?

    Bonheur et art. Ozon rappelle qu'il n'est pas nécessairement pertinent de vouloir comprendre l'incompréhensible. Nietzschéen d'une certaine façon, il invoque la possibilité de danser sur la cime de ces questions résolument irrésolues. Sur ces contrées existentielles ou psychanalytiques, Ozon répond par la force délicate d'une plume fragile et ferme, laissant à l'art l'occasion de son envol, et c'est magistral.
    Prouveur Rodolphe
    Prouveur Rodolphe

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 juillet 2020
    Le 19ème Film de François OZON est un gros coup de cœur. Etant à l'Avant-Première au Cinéma de Kinépolis de Lomme le 7/07/2020 en présence du réalisateur et de l'acteur principal Félix LEFEBVRE. Nostalgie, Mélancolie, Tendresse, Romanesque, Touchant, Emouvant et Percutant.
    Le casting est Excellent et que dire de la fabuleuse performance des acteurs principaux > Félix LEFEBVRE et Benjamin VOISIN, ils mériteront une multitude de récompenses à l'avenir grâce à ce film. Filmé à la pellicule, il donne un grain des années 80 qui donne une grande sensualité aux gros plans, une Bande Originale très réussie qui vous hantera dans votre tête pendant plusieurs jours quand vous aurai vu ce magnifique film. Courez-y !!!
    Rémy S.
    Rémy S.

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 juillet 2020
    Très bon, un ange plein de profondeur dans le rôle d'Alex !
    "Tu crois qu'on invente les gens qu'on aime ?" J'ai beaucoup aimé cette phrase qui me parle.
    Une histoire trop courte, douloureuse , avec une note d'espoir. Super
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