Mon compte
    Les Misérables
    Note moyenne
    4,0
    18681 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Les Misérables ?

    1 095 critiques spectateurs

    5
    280 critiques
    4
    418 critiques
    3
    153 critiques
    2
    87 critiques
    1
    70 critiques
    0
    87 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Stefed G
    Stefed G

    10 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 novembre 2019
    Film montrant les flics comme les méchants et les gosses de la cité les gentils.

    Une honte, pourtant porté d'excellents acteurs.
    Elean
    Elean

    8 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 mars 2020
    J'ai du mal à comprendre ce film, et à comprendre le nombre d'avis positifs, alors qu'il me paraît vraiment juste comme un film de propagande. Je suis ressortie nauséeuse en sortant de la séance car très mal à l'aise.
    Seb S
    Seb S

    6 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 novembre 2019
    alors là il y a du lourd...c'est tout simplement nul, rien d autre à dire ce film est nul.....le jeu d acteur (si on peut appeler ça des acteurs )est pauvre, le scénario est une suite de clichés de moins en moins crédibles jusqu'à la fin ou les gentils imans viennent sauver le monde...AU SECOUR!!!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 novembre 2019
    Tout les clichés réunis, poncés, éculés. Non franchement ça marche plus trop ce genre de chose à l'heure d'internet. Les policiers tombés dans un guet apens tout récemment en savent quelque chose. Assez de confondre victime et agresseur.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    387 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mai 2019
    C’est peu dire que le réalisateur cherche à provoquer une réaction chez le spectateur. Mais à force de le vouloir, il le perd en chemin. Si le rapport avec le livre n’est pas inintéressant dans sa première partie, le long-métrage tombe rapidement dans les stéréotypes et les facilités.
    Camille P.
    Camille P.

    18 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 septembre 2019
    Stéphane vient d’intégrer la Brigade Anti Criminalité de Montfermeil, ville de banlieue parisienne en Seine Saint Denis.
    Ses 2 coéquipiers, Chris et Gwada, vont lui faire découvrir les quartiers de la cité, et les codes et tensions qui existent entre des individus tous issus de groupes ou communautés entremêlés : les gitans, les nigériens, les pakis, les frères musulmans, les gamins, les jeunes, les filles, les mères etc …
    Malgré leur allure de cow-boys sûrs d’eux et de leur pouvoir de maintien de l’ordre, on comprend que les coéquipiers de Stéphane sont dépassés par leur mission, flirtent sans arrêt avec la ligne jaune et ne se comportent guère mieux que les délinquants du quartier.
    La violence, exclusivement verbale au début du film, empire spoiler: au fil des bavures de la BAC et des méfaits des habitants de la cité.
    Ce film est un coup de projecteur sur la France que beaucoup ne voient pas ou ne veulent pas voir.
    spoiler: On y voit la pauvreté, les tensions, la violence, le chômage, le communautarisme, le manque d’effectifs de la police, le désœuvrement de la jeunesse et des parents totalement dépassés qui laissent la rue éduquer leurs enfants.
    On aimerait que Jean Valjean vienne en aide à ces misérables du 21ème siècle mais il est introuvable. On aimerait que la France aide les banlieues à se redresser et trouver la dignité qu’elles méritent.
    Ce film, dont toutes les scènes ont été filmées caméra à l’épaule par Ladj Ly, est une vraie claque.
    Il mérite amplement le prix du jury qu’il a remporté au Festival de Cannes et d’autant plus que les trois quarts des comédiens sont des habitants de Clichy sous Bois et Montfermeil.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 mars 2020
    Trop de faussetés pour ma part, une nullité sans genre !! A éviter absolument !! Quant au César, cela fera plaisir à toute la classe bobogauchiste !!
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    70 abonnés 483 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 novembre 2019
    On cherche ses mots !
    Film d’une force incroyable, qui réussit à voir les « événements » au ras des cités... et de la police, en évitant de prendre partie…Les « microbes » (enfants!); pas faciles à maîtriser…..et entre « grands frères » et policiers, il faut bien négocier
    pour que le vivre ensemble reste envisageable; c’est pas gagné !

    Le regard aigu du réalisateur, reste bienveillant! Il nous montre les conflits, au ras de la rue, puis s’élève à hauteur des immeubles, pour contempler leur « lieu de vie »: « LES MISÉRABLES !!!
    Encore sous le choc!
     Kurosawa
    Kurosawa

    523 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 mai 2019
    Le film de Ladj Ly est présenté à raison comme un film coup de poing : son final embrasé suffirait à justifier l’appellation mais c'est plus globalement la description précise et brûlante des relations entre flics et résidents des banlieues qui imprègne l'ensemble d'une tension continue. Loin de cantonner les flics au rôle de vilains fauteurs de troubles, Ladj Ly montre bien que ces derniers sont confrontés à des conditions de travail dangereuses, susceptibles de les pousser à la faute à n'importe quel moment. C'est ce qui arrive dans "Les misérables" lors d'une interpellation qui tourne mal : l'un des "Bacqueux" commet une bavure et son action est filmée par un drone appartenant à un jeune de la cité. Tandis que la première partie observait les différences de caractères des trois flics et la manière dont un conflit pouvait se régler dans un lieu où les clans sont nombreux et les hiérarchies improvisées, la seconde mêle davantage l'action au politique. Les flics ne font pas la loi dans un quartier révolté suite à la résolution controversée et temporaire d'un événement dramatique; ils sont une composante parmi d'autres lors de discussions dont le but est de maintenir un semblant d'apaisement. Gagné par un rythme haletant qui dit l'urgence de la situation, le film met en scène ce dialogue entre des flics dans leur tort et les différentes figures d'autorité de la banlieue pour parvenir à un accord. Si le nouveau venu Stéphane fait référence à l'absence de conséquences des émeutes de 2005 – les responsables politiques les ont minimisées –, son contradicteur Salah l'avertit d'une révolte à venir, laquelle serait menée par une nouvelle génération prête à faire face à la fois aux flics et à leurs aînés. Entre réalisation brute et documentaire (la caméra à l'épaule, les cuts violents) et mise en scène plus virtuose (le drone comme régime d'image abstrait), "Les misérables" retranscrit avec précision les rapports de force du réel et s'arrête avec intelligence à un moment déterminant qui en dit long sur le discours de ce jeune cinéaste prometteur : le plus important n'est pas la résultante des tensions (on la connaît : tout sera étouffé par le pouvoir) mais comment on en est arrivé là.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 novembre 2019
    Un mauvais film de science fiction tout au plus. Les méchants policiers blancs, les pauvres jeunes de cité qui n'ont pas le choix... La victimisation du réalisateur est camouflée dans un scénario mal ficelé.
    eric B.
    eric B.

    7 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 novembre 2019
    Tous les clichés de la banlieue sont réunis dans ce film. Flics racistes, situations peu crédibles, victimisation incessante des "jeunes" et message final dangereux. Une belle réussite pour mettre le feu.
    Barnabé Jarrot
    Barnabé Jarrot

    16 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 novembre 2019
    Quelle claque ! 25 ans après La Haine, enfin un film sur la banlieue qui renoue avec la France des invisibles. Mis en scène avec virtuosité et évitant tout manichéisme, Les Misérables est un film puissant, brillant, nécessaire.
    A voir de toute urgence.
    Yetcha
    Yetcha

    758 abonnés 4 292 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 décembre 2019
    Forcément polémique, ce film visite les rapports entre police et jeunes des cités tournant au drame et à la bavure. Une mise en exergue des situations sociales dramatiques qui règnent au cœur des cités dortoir de France. Le parallèle avec La Haine des années 90 est inévitable mais dans le monde d'aujourd'hui. Un film fort et des scènes parfois difficiles qui nous fait réfléchir sur la détresse et le désarroi des populations paupérisées. Un film à découvrir
    Chris58640
    Chris58640

    185 abonnés 731 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 décembre 2019
    Il y a un peu moins de 200 ans, Victor Hugo racontait Montfermeil : C’est là où vivaient les Thénardier, où ils faisaient trimer Cosette jusqu’à ce qu’un repris de justice ne la rachète, au sens littéral du terme. Montfermeil, aujourd’hui, c’est là où Ladj Ly a grandit, là où il vu maintes fois la BAC en action, et c’est là qu’il décide de tourner « Les Misérables », son film coup de poing. Entre le générique de début, qui se situe le 15 juillet 2018 lors de la finale de la Coupe du Monde, et la dernière image de fin, à peine quelques jours plus tard dans un immeuble de Montfermeil, 1h40 d’un film inoubliable, remarquablement bien scénarisé, bien filmé, au casting soigneusement réfléchis et qui ne peut laisser personne indifférent. Il n’est pas très long, son film, mais c’est vrai qu’il est éprouvant car c’est 1h40 de tension palpable, sans jamais de temps mort pour souffler, sans une minute sans un sujet à réflexion qui bouscule nos certitudes. « Les Misérables » n’est pas un film de détente que l’on va voir comme ça, pour se faire une toile sympa entre copains, c’est une séance à laquelle il faut un peu se préparer, et dont il faut se remettre ! Techniquement déjà, la qualité du film saute aux yeux. Ladj Ly tourne beaucoup caméra à l’épaule et pourtant on n’a jamais cette impression de mal au cœur qui accompagne parfois cette manière de tourner. Plans soignés (notamment aériens), musique très peu présente mais remarquablement bien utilisée (une musique un peu assourdie, qui « pèse » sur l’image), un montage hyper dynamique, Ladj Ly maitrise pleinement son sujet. Il s’agit là de son premier long métrage de fiction, autant dire qu’avec un grand prix à Cannes il pose déjà la barre très haute et qu’on va très vite entendre de nouveau parler de lui. Avant de parler du point fort du film, à savoir son scénario, je voudrais faire deux mentions spéciales pour Damien Bonnard et Alexis Manenti, deux comédiens qui m’étaient jusqu’ici inconnus mais qui sont impressionnants. Le premier dans le rôle du candide, qui découvre la réalité de Montfermeil, et pose un regard mi ébahi – mi effaré sur la Cité, mais aussi sur l’attitude de ses deux collègues. Le second, dans le rôle difficile et ingrat du bacqueux raciste et impulsif, imbu de son petit pouvoir de cow-boy, un type foncièrement dangereux que la Police Nationale devrait d’urgence changer d’affectation. Il est parfait, Alexis Manteni, dans le rôle de Chris. De tous les personnages plus ou moins fréquentables de Montfermeil, c’est lui qui me fait le plus peur, objectivement. Et puis je m’en voudrais de ne pas mentionner Issa Perica, dont le regard dans la tout ’image de fin, juste avant le fondu au noir et le générique, s’est imprimé dans ma rétine et pour longtemps. Mais c’est par l’intelligence et l’équilibre de son scénario que Ladj Ly emporte la timbale. Alors qu’il y a 25 ans, Mathieu Kassowitz filmait plus ou moins la même réalité du point du vue unique de 3 lascars de banlieue, Ladj Ly choisit un double regard, celui la Cité et celui de la BAC. Son intrigue se cale sur à peine plus de 24 heures, une poignée d’heures qui suffit à embraser toute la cité et qui conduit à l’irréparable. Un vol d’un petit lionceau dans un cirque, les esprits qui s’échauffent, une interpellation faites trop vite, dans de mauvaises conditions et tout l’équilibre précaire de la Cité vole en éclat. Le film montre parfaitement la rapidité inouïe avec laquelle les choses dégénérèrent. Là où le film est pertinent, c’est qu’il ne décerne jamais de bons points ou de mauvais points : les gamins désœuvrés, les caïds que la mairie paye pour maintenir la paix sociale, les policiers qui font ce travail depuis trop longtemps (et parfois y prenne un plaisir malsain), les dealers qui veulent la paix pour continuer à trafiquer tranquille, les Frères Musulmans qui cassent les trafics et maintiennent le calme mais pour mieux répandre leur prêches mortifères, Ladj Ly les renvoient dos à dos. Ou plutôt non, ils ne les renvoient pas dos à dos (ce qui serait stérile), il montre qu’ils sont tous responsables de la situation, qu’ils en sont tous les victimes (voir l’incroyable scène de fin) mais ils ont tous en eux également, sans doute, la solution. Ce que vous croyez savoir de la vie en banlieue, bien calée dans votre fauteuil devant votre 20h, vole en éclat sous vos yeux devant « Les Misérables », le film bouscule les certitudes de ceux qui en avaient, la complexité inextricable du « problème » vous laisse sur le flanc, et vous comprenez que les « Plans Banlieue », les solutions politiques à l’emporte pièce, les discours incantatoires sur les « Quartiers Difficiles », tout cela n’a aucune chance de produire un jour une amélioration. Il n’y aura aucune solution simple à une situation si complexe, et ceux qui prêchent le contraire nous mentent. Il y a beaucoup de scènes fortes dans « Les Misérables », sans parler de la scène finale, qui vous laisse pétrifié sur votre fauteuil de cinéma. Beaucoup mettent mal à l’aise car elle montre des policiers se comporter de façon au mieux navrante (la scène de l’arrêt de bus) parfois irresponsable (« Ne t’excuse jamais, ici on a toujours raison »), au pire indigne voire presque criminelle (avec le gamin blessé). Ladj Ly, qui a beaucoup filmé la BAC en action dans sa cité n’a surement rien inventé. Et pourtant, il ne porte pas sur ces flics un regard idéologique, ceux qui seraient tenté de croire cela se trompe et devraient aller voir le film. Les bacqueux des « Misérables » sont aussi des habitants des quartiers, ils sont aussi des victimes d’un contexte qui les écrase, ils ne sont ni des fascistes, ni des machines, juste des êtres humains à qui la société a confié un sale boulot mal payé et mal reconnu. La toute dernière image, terrifiante, celle qui précède le fondu au noir et le générique de fin est un point d’interrogation, c’est la manière intelligente qu’à trouvé Ladj Ly pour montrer que tout n’est pas fichu, que la solution est en chacun des protagonistes, qu’il suffit parfois de faire un geste spoiler: (de baisser un bras)
    , pour que la raison et l’humanité l’emporte au final. Il y croit encore, je suis sure qu’il est dans le vrai.
    lionelb30
    lionelb30

    391 abonnés 2 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2019
    Film brut , direct ,sans partie pris et qui peut laisser perplexe. Le casting est impeccable , la réalisation également donc pas grand chose a reprocher. Maintenant l’évolution des quartiers empire depuis 40 ans avec le communautarisme , les religieux , les flics débordés voir ripoux pour certain , les pseudo grand frères , pas d'espoir et d’amélioration en vue , déprimant.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top