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Après avoir vilipendé le régime des colonels grecs dans son troisième film, Z (1969), Costa-Gavras se penche à nouveau sur le dernier désastre, cette fois socio-économique, qui frappe son pays d’origine. "Adults in the Room" est un réquisitoire cinglant contre l’obstination légaliste de l’Union européenne dans son refus de reconsidérer le surendettement de la Grèce. Une réussite totale, qui tient de la gageure : comment transformer en un suspense haletant une situation conflictuelle aussi complexe ? Costa-Gavras nous offre un exploit de narration cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Du cinéma, cette merveille de mise en scène n’en manque pas quand le réalisateur évolue au milieu de réunions faisant penser à des parties d’échecs grandeur nature.
A 86 ans, Costa-Gavras revient sur sa terre natale et signe sans doute son meilleur film depuis très longtemps, une tragédie grecque sur la destinée d’un pays en pleine déroute, retrouvant fugacement un espoir grâce à la gauche, avant les cruelles désillusions suivant le référendum du 5 juillet 2015.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Sans jamais simplifier ni amoindrir les enjeux de son sujet, Costa-Gavras livre un de ses meilleurs films, une attaque frontale contre la politique européenne et sa logique de prédation libérale. Passionnant, malgré quelques carences dramaturgiques dans un dernier acte un peu précipité.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Une immersion passionnante dans les coulisses les moins reluisantes des institutions européennes où règnent le rapport de force, le cynisme, voire une dose de racisme.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
A 86 ans, le réalisateur Costa-Gavras n’a rien perdu de son énergie. En témoigne ce saisissant «Adults in the room», véritable thriller économique autour de la dette grecque en 2015.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Dernier homme d’un cinéma engagé de gauche, Costa-Gavras s’attaque à la crise grecque en reconstituant la bataille de Varoufakis contre les instances européennes. Le résultat est pédagogique, parfois timide formellement, mais courageux et salvateur.
Le courage politique de Costa-Gavras, lui, est en tout cas très fort, de pointer ainsi la doxa de l’Union Européenne, figure si surfaite du Vrai, du Juste et du Progrès, un imaginaire de plus en plus difficile à imposer aux peuples d’Europe.
Le film, construit comme un piège fatal, retrace la mise à mort politique d’un homme et de son peuple. Costa-Gavras réussit un tour de force : un thriller palpitant dans le huis clos des cabinets ministériels et des réunions de travail.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le cinéaste grec filme toujours aussi bien, diversifie ses cadres, monte de beaux travellings dans les couloirs labyrinthiques de l’institution et dirige des acteurs convaincants. Mais le flot de paroles déversé et leur répétition stérile encombrent le film. On en vient à se demander si le sujet est cinématographique.
Costa-Gavras bastonne le système, avec raison. Mais, surtout, il revient en Grèce, où, depuis son départ il y a soixante ans, il n’a jamais tourné. Et c’est le plus émouvant, dans ce film de colère.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Costa-Gavras réussit à transformer l’âpreté de ces débats technocratiques, qui décident du sort des peuples, en thriller fascinant et instructif. Et à faire de son brûlot politique une tragédie grecque, revisitée par Machiavel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Un sujet dense et complexe que Costa Gavras parvient à éclaircir au fil d’un thriller politique – genre dont il est l’une des figures de proue – classique mais efficace, parfois oppressant, emmené par des comédiens convaincants et l’hellénique musique d’Alexandre Desplat.
Quelles que soient les convictions ou opinions qu’inspire le cas grec, la méthode Gavras atteint au moins l’un de ses objectifs, puisqu’elle force à repenser cet épisode, à prendre en compte sa dimension théâtrale. Manque toutefois un élément qu’on aurait cru indispensable, le choeur.
[...] le cinéaste s’engouffre dans le détail des arguties, guerres de positions et twists diplomatico-économiques avec un appétit d’observateur de gauche pas complètement passionné par les nuances.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les ressemblances pour incarner des figures politiques connues ont tendance à phagocyter le récit, c’est le danger du genre. Le film a néanmoins le mérite d’apporter un éclairage précieux sur ces transactions féroces, montrant de l’intérieur ce que fut le déroulement de cette bataille dont les Grecs continuent de payer l’addition.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
La prestation malicieuse de Christos Loulis en Varoufakis et la BO sirtaki d’Alexandre Desplat sont supposées servir de contrepoint ironique, mais l’austérité forcenée du film donne rétrospectivement au déjà très mou et très terne Capital (le précédent Costa-Gavra).
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
Après avoir vilipendé le régime des colonels grecs dans son troisième film, Z (1969), Costa-Gavras se penche à nouveau sur le dernier désastre, cette fois socio-économique, qui frappe son pays d’origine. "Adults in the Room" est un réquisitoire cinglant contre l’obstination légaliste de l’Union européenne dans son refus de reconsidérer le surendettement de la Grèce. Une réussite totale, qui tient de la gageure : comment transformer en un suspense haletant une situation conflictuelle aussi complexe ? Costa-Gavras nous offre un exploit de narration cinématographique.
L'Humanité
Un film puissant, sans concession.
20 Minutes
Du cinéma, cette merveille de mise en scène n’en manque pas quand le réalisateur évolue au milieu de réunions faisant penser à des parties d’échecs grandeur nature.
Culturopoing.com
A 86 ans, Costa-Gavras revient sur sa terre natale et signe sans doute son meilleur film depuis très longtemps, une tragédie grecque sur la destinée d’un pays en pleine déroute, retrouvant fugacement un espoir grâce à la gauche, avant les cruelles désillusions suivant le référendum du 5 juillet 2015.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce film de l’intérieur de l’UE est un récit palpitant.
Ecran Large
Sans jamais simplifier ni amoindrir les enjeux de son sujet, Costa-Gavras livre un de ses meilleurs films, une attaque frontale contre la politique européenne et sa logique de prédation libérale. Passionnant, malgré quelques carences dramaturgiques dans un dernier acte un peu précipité.
Femme Actuelle
Une oeuvre utile.
L'Express
[...] un long-métrage instructif, édifiant et passionnant.
LCI
Un mélange habile de pédagogie et d’humour noir.
La Voix du Nord
Une immersion passionnante dans les coulisses les moins reluisantes des institutions européennes où règnent le rapport de force, le cynisme, voire une dose de racisme.
Le Parisien
A 86 ans, le réalisateur Costa-Gavras n’a rien perdu de son énergie. En témoigne ce saisissant «Adults in the room», véritable thriller économique autour de la dette grecque en 2015.
Les Fiches du Cinéma
Dernier homme d’un cinéma engagé de gauche, Costa-Gavras s’attaque à la crise grecque en reconstituant la bataille de Varoufakis contre les instances européennes. Le résultat est pédagogique, parfois timide formellement, mais courageux et salvateur.
Marianne
Un film coup de poing sur l'arbitraire des politiques d'austérité et ses conséquences.
Ouest France
Une leçon d'histoire contemporaine passionnante.
Positif
Le courage politique de Costa-Gavras, lui, est en tout cas très fort, de pointer ainsi la doxa de l’Union Européenne, figure si surfaite du Vrai, du Juste et du Progrès, un imaginaire de plus en plus difficile à imposer aux peuples d’Europe.
Télérama
Le film, construit comme un piège fatal, retrace la mise à mort politique d’un homme et de son peuple. Costa-Gavras réussit un tour de force : un thriller palpitant dans le huis clos des cabinets ministériels et des réunions de travail.
aVoir-aLire.com
Le réalisateur filme une tragédie grecque, qui pose la question de la démocratie européenne au cœur même d’un pays qui l’a vue naître.
Franceinfo Culture
Le cinéaste grec filme toujours aussi bien, diversifie ses cadres, monte de beaux travellings dans les couloirs labyrinthiques de l’institution et dirige des acteurs convaincants. Mais le flot de paroles déversé et leur répétition stérile encombrent le film. On en vient à se demander si le sujet est cinématographique.
L'Obs
Costa-Gavras bastonne le système, avec raison. Mais, surtout, il revient en Grèce, où, depuis son départ il y a soixante ans, il n’a jamais tourné. Et c’est le plus émouvant, dans ce film de colère.
La Croix
Costa-Gavras réussit à transformer l’âpreté de ces débats technocratiques, qui décident du sort des peuples, en thriller fascinant et instructif. Et à faire de son brûlot politique une tragédie grecque, revisitée par Machiavel.
Le Figaro
Pour pallier le côté laborieusement technique des confrontations, le réalisateur mène les choses tambour battant.
Le Journal du Dimanche
Un sujet dense et complexe que Costa Gavras parvient à éclaircir au fil d’un thriller politique – genre dont il est l’une des figures de proue – classique mais efficace, parfois oppressant, emmené par des comédiens convaincants et l’hellénique musique d’Alexandre Desplat.
Le Monde
Quelles que soient les convictions ou opinions qu’inspire le cas grec, la méthode Gavras atteint au moins l’un de ses objectifs, puisqu’elle force à repenser cet épisode, à prendre en compte sa dimension théâtrale. Manque toutefois un élément qu’on aurait cru indispensable, le choeur.
Libération
[...] le cinéaste s’engouffre dans le détail des arguties, guerres de positions et twists diplomatico-économiques avec un appétit d’observateur de gauche pas complètement passionné par les nuances.
Sud Ouest
Les ressemblances pour incarner des figures politiques connues ont tendance à phagocyter le récit, c’est le danger du genre. Le film a néanmoins le mérite d’apporter un éclairage précieux sur ces transactions féroces, montrant de l’intérieur ce que fut le déroulement de cette bataille dont les Grecs continuent de payer l’addition.
Critikat.com
Empêtré dans une héroïsation à gros traits de son personnage principal, Adults in the room n’est pas le grand film politique promis.
Première
La prestation malicieuse de Christos Loulis en Varoufakis et la BO sirtaki d’Alexandre Desplat sont supposées servir de contrepoint ironique, mais l’austérité forcenée du film donne rétrospectivement au déjà très mou et très terne Capital (le précédent Costa-Gavra).