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Ces portraits de femmes blessées ne seraient pas aussi admirables sans les personnages secondaires que le réalisateur parvient à faire exister en quelques scènes inoubliables.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cela ne va pas sans lenteur, et la route est longue, parfois même lassante. Mais une puissance dramatique tire le récit vers l’avant. Vers une fin, qui pourrait n’en être pas une.
Mais c’est parce qu’on est happé par leur terrible destin que ce film, si beau dans son esthétique du cadre et si cruel dans ses sentiments, prend aux tripes.
Kantemir Balagov paraphe une partition cruelle et trouble entre celle qui voulait un enfant et celle qui n'en voulait pas. Brillant, tranchant, bouleversant.
C'est beau, fort, d'une radicalité dans la mise en scène (récompensée dans la section Un Certain Regard du dernier Festival de Cannes) qui laissent souvent pantois d'admiration.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Mais l'intelligence de [la] démarche [de Kantemir Balagov], son goût pour les personnages féminins transgressifs (quel directeur d'actrices !) et surtout l'inspiration formelle de son univers (avec un emploi toujours visionnaire de la couleur) font de ce film une expérience mémorable [...].
S’éloignant toujours plus de son élan initial pour se perdre en détours narratifs, le film fait pourtant mine de se clore par un retour à la confrontation primaire des corps : mais, désormais, les jeux sensibles de couleurs et de regards ne sont plus que surfaces symboliques à décoder.
Pendant un long moment Une grande fille ressemble à un fleuve au dégel, qui reprend son mouvement, mais libère aussi les vestiges de catastrophes passées, jusqu’ici prises dans les glaces.
Fatalisme, épuisement, habitude de voir les hommes, les femmes, les enfants, les proches tomber : c’est ce que décrit "Une grande fille", avec des excès de mise en scène, des lenteurs pesantes (parfois quinze secondes entre chaque réplique...), une accumulation de drames sans fin, mais avec efficacité.
Balagov entend ainsi dénoncer, comme dans "Tesnota", l'enfermement des femmes dans des cadres étriqués. Sauf que cette fois-ci, son film contribue à cette mise à l'étroit.
Second long-métrage pour Kantemir Balagov : un film de costumes au demeurant très classique. Peut-être un peu trop pour ceux qui regretteront son rythme monocorde. Et pourtant, le propos féministe sous-jacent que portent ses deux héroïnes en fait un film on-ne-peut-plus moderne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
C’est du rare, du costaud. On est là pour éprouver des sentiments plus grands que nature. L’ambition est palpable.
Télérama
Ces portraits de femmes blessées ne seraient pas aussi admirables sans les personnages secondaires que le réalisateur parvient à faire exister en quelques scènes inoubliables.
Bande à part
"Une grande fille" nous emmène malgré nous dans un territoire hostile et plein d’imprévus. Une réussite.
CinemaTeaser
Après Tesnota, Kantemir Balagov confirme la singularité de son regard.
L'Obs
Un film asphyxiant aux couleurs éclatantes.
La Croix
Ce film sidérant avance à tâtons au cœur de l’âme, toujours palpitante au milieu des ruines.
Le Dauphiné Libéré
Cela ne va pas sans lenteur, et la route est longue, parfois même lassante. Mais une puissance dramatique tire le récit vers l’avant. Vers une fin, qui pourrait n’en être pas une.
Le Journal du Dimanche
Mais c’est parce qu’on est happé par leur terrible destin que ce film, si beau dans son esthétique du cadre et si cruel dans ses sentiments, prend aux tripes.
Le Point
Les deux actrices apportent tout leur charme et leur mystérieuse beauté slave à ce drame très russe.
Les Fiches du Cinéma
Kantemir Balagov paraphe une partition cruelle et trouble entre celle qui voulait un enfant et celle qui n'en voulait pas. Brillant, tranchant, bouleversant.
Marianne
Un road movie féministe empreint d'émotion et de douceur.
Paris Match
C'est beau, fort, d'une radicalité dans la mise en scène (récompensée dans la section Un Certain Regard du dernier Festival de Cannes) qui laissent souvent pantois d'admiration.
Positif
Mais l'intelligence de [la] démarche [de Kantemir Balagov], son goût pour les personnages féminins transgressifs (quel directeur d'actrices !) et surtout l'inspiration formelle de son univers (avec un emploi toujours visionnaire de la couleur) font de ce film une expérience mémorable [...].
Voici
Un drame tragique et romanesque, superbement interprété.
Cahiers du Cinéma
S’éloignant toujours plus de son élan initial pour se perdre en détours narratifs, le film fait pourtant mine de se clore par un retour à la confrontation primaire des corps : mais, désormais, les jeux sensibles de couleurs et de regards ne sont plus que surfaces symboliques à décoder.
L'Humanité
Cette grande fille étrange mérite donc le détour, en attendant le prochain film du cinéaste, qu’on souhaite plus contemporain.
Le Monde
Pendant un long moment Une grande fille ressemble à un fleuve au dégel, qui reprend son mouvement, mais libère aussi les vestiges de catastrophes passées, jusqu’ici prises dans les glaces.
Les Inrockuptibles
Fatalisme, épuisement, habitude de voir les hommes, les femmes, les enfants, les proches tomber : c’est ce que décrit "Une grande fille", avec des excès de mise en scène, des lenteurs pesantes (parfois quinze secondes entre chaque réplique...), une accumulation de drames sans fin, mais avec efficacité.
Transfuge
Balagov entend ainsi dénoncer, comme dans "Tesnota", l'enfermement des femmes dans des cadres étriqués. Sauf que cette fois-ci, son film contribue à cette mise à l'étroit.
aVoir-aLire.com
Second long-métrage pour Kantemir Balagov : un film de costumes au demeurant très classique. Peut-être un peu trop pour ceux qui regretteront son rythme monocorde. Et pourtant, le propos féministe sous-jacent que portent ses deux héroïnes en fait un film on-ne-peut-plus moderne.
Critikat.com
En dépit de qualités certaines, Une grande fille aura fait du legs de ses aînés la feuille de route d’un chemin paradoxalement bien trop fléché.
Première
Non, Une grande fille ne manque pas de caractère, mais sans doute de souffle.