Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Marie Claire
par Fabrice Gaignault
[Une] comédie très réussie.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une réjouissante comédie.
Positif
par Ariane Allard
Reste que l’élan contagieux de "La Bonne Epouse" ne saurait être réduit à ces performances drôlissimes. Non, si le nouveau film de Martin Provost emballe autant, en définitive, c’est parce qu’il nous parle d’un (vieux) monde qui se fissure... pour le meilleur.
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette comédie remonte le moral tout en défendant la cause des femmes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Après "Séraphine" et "Violette", Martin Provost se veut le porte-drapeau de la condition féminine avec cette comédie fantasque, colorée et chorégraphiée qui tord le cou aux préjugés.
Closer
par La Rédaction
Un film dans l'air du temps aux dialogues drôlement ciselés. Il donne l'occasion à Juliette Binoche, épatante en bourge coincée, Yolande Moreau, impayable et Noémie Lvovsky de nous parler de d'émancipation sans pontifier.
Elle
par Françoise Delbecq
Casting de luxe et humour vintage pour ce film aux petits oignons sur une émancipation salutaire.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Cette excellente comédie, fine et drôle, nous rappelle que, pour les femmes, ce n’était guère mieux avant. On a fait du chemin... et on en fera encore.
Le Figaro
par La Rédaction
Le film remue des choses de la vie qui sont de tous les temps, les rêves et les révoltes de la jeunesse, l’ennui, l’envie de se libérer des carcans quotidiens, la passion amoureuse qui troublera toujours l’ordre établi.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Le trio féminin central est une merveille de casting.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Une comédie engagée hilarante, portée par un trio d'actrices excellentes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Marie Sauvion
Actrices étincelantes, réalisation intelligente : une réussite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
De situations cocasses en dialogues pétillants, La bonne épouse suit son cheminement de comédie mutine et gentiment désuète, que l’évocation des célébrités du moment (d’Adamo à Anne-Marie Peysson, en passant par Joe Dassin, Ménie Grégoire ou Guy Lux) enrichit d’une tendre nostalgie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Une comédie hybride énergisante, dont la fantaisie apparente cache la noirceur en profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
En force, un trio d’actrices déchaînées : Juliette Binoche en veuve joyeuse ; Yolande Moreau en vieille fille sentimentale ; Noémie Lvovsky en bonne sœur qui dévoile un esprit bien plus libre qu’on ne croie sous la coiffe.
L'Obs
par François Forestier
Dans « La Bonne épouse », de Martin Provost, sympathique comédie qui ressuscite une école ménagère des sixties, on plonge dans l’ambiance amidonnée des bonnes familles.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Martin Provost réunit un casting étincelant pour cette fantaisie à la tonalité parfois (trop) changeante et aux couleurs délicieusement surannées.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
En force, un trio d’actrices déchaînées : Juliette Binoche en veuve joyeuse ; Yolande Moreau en vieille fille sentimentale ; Noémie Lvovsky en bonne sœur qui dévoile un esprit bien plus libre qu’on ne croie sous la coiffe.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Entre légèreté et gravité, le réalisateur aborde frontalement des sujets comme l'identité ou la sexualité, avec un petit vent de folie cathartique.
Sud Ouest
par Sophie Avon
La comédie, gentiment ironique, n’a d’autre ambition que de faire sourire en rappelant que les inégalités ne sont jamais loin, et si elle manque de rythme, c’est sans doute que les jeunes gens de 68 n’ont pas encore fait leur révolution. Du moins, Noémie Lvovski en religieuse à la mine patibulaire est-elle d’une drôlerie à toute épreuve…
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
[...] une comédie pleine de fantaisie sur l'émancipation [des femmes].
Télé Loisirs
par Claire Picard
Un petit vent de folie souffle sur cet innocent manifeste pour l'émancipation féminine, grâce à l'interprétation touchante et décalée de ses actrices.
Voici
par A.V.
Une comédie féministe sympathique.
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
À travers le destin subitement contrarié de la directrice d’une école ménagère, Martin Provost évoque, sur le ton de la comédie, la libération des femmes en 1968. Hélas, le conte sonne un peu faux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Servie par un joli casting, cette comédie d’émancipation féminine au souffle kitsch se perd en cours de route. La cocasserie du début s’évapore et le film dégringole à mesure qu’il égrène des scènes qui ne sont envisagées que comme des bouées de sauvetage scénaristiques – et donc purement anecdotiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Hormis quelques rares gags visuels sentis [...], le récit se plie à un exposé pépère et cocasse du vacillement des valeurs qui charpentent pareille institution.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
On pense beaucoup à Potiche, l’ironie et la méchanceté cinglantes en moins.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Pour rappeler l’histoire de l’émancipation des femmes, Martin Provost fait le choix de la comédie (poussée à la caricature) et de l’esthétique compassée du cinéma de papa. Le jeu des acteurs marche à l’unisson de ces partis pris, marqués par l’outrance, jusqu’à la dernière séquence (musicale). Un sommet de ridicule.
Marie Claire
[Une] comédie très réussie.
Ouest France
Une réjouissante comédie.
Positif
Reste que l’élan contagieux de "La Bonne Epouse" ne saurait être réduit à ces performances drôlissimes. Non, si le nouveau film de Martin Provost emballe autant, en définitive, c’est parce qu’il nous parle d’un (vieux) monde qui se fissure... pour le meilleur.
20 Minutes
Cette comédie remonte le moral tout en défendant la cause des femmes.
CNews
Après "Séraphine" et "Violette", Martin Provost se veut le porte-drapeau de la condition féminine avec cette comédie fantasque, colorée et chorégraphiée qui tord le cou aux préjugés.
Closer
Un film dans l'air du temps aux dialogues drôlement ciselés. Il donne l'occasion à Juliette Binoche, épatante en bourge coincée, Yolande Moreau, impayable et Noémie Lvovsky de nous parler de d'émancipation sans pontifier.
Elle
Casting de luxe et humour vintage pour ce film aux petits oignons sur une émancipation salutaire.
Femme Actuelle
Cette excellente comédie, fine et drôle, nous rappelle que, pour les femmes, ce n’était guère mieux avant. On a fait du chemin... et on en fera encore.
Le Figaro
Le film remue des choses de la vie qui sont de tous les temps, les rêves et les révoltes de la jeunesse, l’ennui, l’envie de se libérer des carcans quotidiens, la passion amoureuse qui troublera toujours l’ordre établi.
Le Parisien
Le trio féminin central est une merveille de casting.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie engagée hilarante, portée par un trio d'actrices excellentes.
Télérama
Actrices étincelantes, réalisation intelligente : une réussite.
aVoir-aLire.com
De situations cocasses en dialogues pétillants, La bonne épouse suit son cheminement de comédie mutine et gentiment désuète, que l’évocation des célébrités du moment (d’Adamo à Anne-Marie Peysson, en passant par Joe Dassin, Ménie Grégoire ou Guy Lux) enrichit d’une tendre nostalgie.
Bande à part
Une comédie hybride énergisante, dont la fantaisie apparente cache la noirceur en profondeur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
En force, un trio d’actrices déchaînées : Juliette Binoche en veuve joyeuse ; Yolande Moreau en vieille fille sentimentale ; Noémie Lvovsky en bonne sœur qui dévoile un esprit bien plus libre qu’on ne croie sous la coiffe.
L'Obs
Dans « La Bonne épouse », de Martin Provost, sympathique comédie qui ressuscite une école ménagère des sixties, on plonge dans l’ambiance amidonnée des bonnes familles.
La Voix du Nord
Martin Provost réunit un casting étincelant pour cette fantaisie à la tonalité parfois (trop) changeante et aux couleurs délicieusement surannées.
Le Dauphiné Libéré
En force, un trio d’actrices déchaînées : Juliette Binoche en veuve joyeuse ; Yolande Moreau en vieille fille sentimentale ; Noémie Lvovsky en bonne sœur qui dévoile un esprit bien plus libre qu’on ne croie sous la coiffe.
Le Journal du Dimanche
Entre légèreté et gravité, le réalisateur aborde frontalement des sujets comme l'identité ou la sexualité, avec un petit vent de folie cathartique.
Sud Ouest
La comédie, gentiment ironique, n’a d’autre ambition que de faire sourire en rappelant que les inégalités ne sont jamais loin, et si elle manque de rythme, c’est sans doute que les jeunes gens de 68 n’ont pas encore fait leur révolution. Du moins, Noémie Lvovski en religieuse à la mine patibulaire est-elle d’une drôlerie à toute épreuve…
Télé 7 Jours
[...] une comédie pleine de fantaisie sur l'émancipation [des femmes].
Télé Loisirs
Un petit vent de folie souffle sur cet innocent manifeste pour l'émancipation féminine, grâce à l'interprétation touchante et décalée de ses actrices.
Voici
Une comédie féministe sympathique.
La Croix
À travers le destin subitement contrarié de la directrice d’une école ménagère, Martin Provost évoque, sur le ton de la comédie, la libération des femmes en 1968. Hélas, le conte sonne un peu faux.
Les Inrockuptibles
Servie par un joli casting, cette comédie d’émancipation féminine au souffle kitsch se perd en cours de route. La cocasserie du début s’évapore et le film dégringole à mesure qu’il égrène des scènes qui ne sont envisagées que comme des bouées de sauvetage scénaristiques – et donc purement anecdotiques.
Libération
Hormis quelques rares gags visuels sentis [...], le récit se plie à un exposé pépère et cocasse du vacillement des valeurs qui charpentent pareille institution.
Première
On pense beaucoup à Potiche, l’ironie et la méchanceté cinglantes en moins.
Le Monde
Pour rappeler l’histoire de l’émancipation des femmes, Martin Provost fait le choix de la comédie (poussée à la caricature) et de l’esthétique compassée du cinéma de papa. Le jeu des acteurs marche à l’unisson de ces partis pris, marqués par l’outrance, jusqu’à la dernière séquence (musicale). Un sommet de ridicule.