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Mais loin de se contenter d'une anthropologie et d'une sociologie lourdes qui prendraient le film et ses spectateurs en otages, Teona Strugar Mitevska propose un récit complexe qui joue sur plusieurs niveaux d'analyse pour nous offrir une riche méditation sur le bonheur et la chance. Et invente, mine de rien, l'un des plus beaux personnages de femme vus depuis longtemps au cinéma [...].
[...] ce film ambitieux, complexe, témoignant d’un tempérament affirmé (notamment dans l’écriture de la narration et par son utilisation percutante des décors).
Présenté en compétition à Berlin, tiré d'une histoire vraie, ce film venu de Macédoine du nord raconte avec intelligence le combat d'une jeune femme confrontée aux relents traditionalistes et misogynes d'une société patriarcale.
Oui, Petrunya est là, et elle ne sortira pas du champ. Non seulement personne ne la virera, mais elle fera un genre de révolution sans que jamais le scénario ne ressemble à un conte de fées ou à une histoire morale, bref, sans que la fiction ne soit artificielle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La seconde partie du film, un huis clos au commissariat, est moins enlevée que la première. Et plus on approche de la conclusion, plus la menace d’une idylle romantique se précise, à l’encontre même du propos du film. Reste que Dieu existe parvient, à travers les idiosyncrasies historiques et religieuses de la situation, à une espèce d’universalité dans son évocation de la lutte des genres.
Mais l’ensemble ne se départit jamais d’une trop grande sagesse. Comme la copie parfaite d’une élève un peu trop scolaire qui ne réussit pas à sortir des cadres qu’elle a elle-même élaborés.
La critique complète est disponible sur le site Première
Petrunya n’a pas de chance, elle est née à Stip, petite ville de Macédoine où les hommes, religieux ou non, sont bêtes et méchants. Une comédie féministe lourdingue.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
Mais loin de se contenter d'une anthropologie et d'une sociologie lourdes qui prendraient le film et ses spectateurs en otages, Teona Strugar Mitevska propose un récit complexe qui joue sur plusieurs niveaux d'analyse pour nous offrir une riche méditation sur le bonheur et la chance. Et invente, mine de rien, l'un des plus beaux personnages de femme vus depuis longtemps au cinéma [...].
Transfuge
[...] ce film ambitieux, complexe, témoignant d’un tempérament affirmé (notamment dans l’écriture de la narration et par son utilisation percutante des décors).
Le Dauphiné Libéré
Une plongée décapante au sein d’une société patriarcale, où la figure de la femme, superbement incarnée, prend quasiment valeur christique.
Les Fiches du Cinéma
Présenté en compétition à Berlin, tiré d'une histoire vraie, ce film venu de Macédoine du nord raconte avec intelligence le combat d'une jeune femme confrontée aux relents traditionalistes et misogynes d'une société patriarcale.
Libération
Oui, Petrunya est là, et elle ne sortira pas du champ. Non seulement personne ne la virera, mais elle fera un genre de révolution sans que jamais le scénario ne ressemble à un conte de fées ou à une histoire morale, bref, sans que la fiction ne soit artificielle.
Paris Match
[...] si le film manque parfois de relief dans la mise en scène, la jeune actrice est excellente dans le rôle titre.
L'Obs
L'idée est sympa, la critique du patriarcat est acérée et, surtout, le message est rapidement compris.
Le Journal du Dimanche
S’il n’est pas totalement abouti, ce drôle de drame amuse autant qu’il déconcerte. Il bénéficie également d’une actrice inspirée.
Le Monde
La seconde partie du film, un huis clos au commissariat, est moins enlevée que la première. Et plus on approche de la conclusion, plus la menace d’une idylle romantique se précise, à l’encontre même du propos du film. Reste que Dieu existe parvient, à travers les idiosyncrasies historiques et religieuses de la situation, à une espèce d’universalité dans son évocation de la lutte des genres.
Télérama
A la fois conte, comédie et brûlot féministe, le film hésite mais touche juste.
Les Inrockuptibles
Une fable enlevée contre le patriarcat qui se désagrège malheureusement dans son emballage final.
Première
Mais l’ensemble ne se départit jamais d’une trop grande sagesse. Comme la copie parfaite d’une élève un peu trop scolaire qui ne réussit pas à sortir des cadres qu’elle a elle-même élaborés.
Le Figaro
Petrunya n’a pas de chance, elle est née à Stip, petite ville de Macédoine où les hommes, religieux ou non, sont bêtes et méchants. Une comédie féministe lourdingue.