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Ce qui rend si beau et si triste Ghosts of Mars, c'est la profonde égalité qui gouverne chacune de ses luttes (...) Le cinéma guerrier de Carpenter est humaniste en ce qu'il donne à voir deux choses : la solitude et la tristesse d'un monde où seule est heureuse la lutte pour la liberté.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Rien de raffiné dans ce Ghosts of Mars donc, mais une castagne à débat où l'échange des coups (tous permis faut-il le préciser) se veut échange d'arguments sans chi-chi.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
C'est (...) un avertissement... Cela pourrait être déprimant, désespérant au plus haut point, mais le cinéaste possède un tel sens du récit cinématographique que son spectacle, aussi sombre soit-il, provoque néanmoins une jouissance de tous les instants ! Ultime ambiguïté carpenterienne...
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Le savoir-faire est à son comble pour ce qui est des effets spéciaux et de l'efficacité propre au genre : aidé par une partition musicale signée du réalisateur, le film contient de nombreux moments véritablement terrifiants.
Rigolo un moment, mais peu de surprises, sinon dans les recoins d'une facture inventive, se débrouillant avec un carton pâte qui touche au féerique. Cette série B, qui semble avoir le budget d'une série Z, possède donc un charme rétro très efficace, d'autant que ses héros sont aussi délicieusement toc que ses décors.
La critique complète est disponible sur le site Aden
En abattant les deux piliers de la modernité hollywoodienne, la technologie et le second degré, Carpenter provoque l'effondrement de Ghosts of Mars. Le film est moche, mais le geste n'est pas dépourvu de grandeur
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
(...) un véritable western "martien". Du bruit, de la fureur, de la violence, le tout sur fond de heavy metal, voilà de quoi combler les fans. Les autres n'y trouveront pas forcément leur compte.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Pas à mépriser pour autant quand il retrouve le charme des séries B fauchées, même au prix d'un paradoxe : le film aurait coûté 30 millions de dollars, dix fois plus qu'il n'y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Ambiance macho et humanité réduite à ses fonctions les plus brutales. Ça ressemble la plupart du temps à un clip de hard rock grand-guignolesque (style Marilyn Manson). Assourdissant et routinier.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
(Le) dernier opus (de Carpenter), avec sa construction sans aucun intérêt en flash-backs imbriqués, ne parvient pas à être à la hauteur d'un Vampires tout aussi classique mais infiniment plus excitant.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Avec ce western primitif transposé sur Mars, Carpenter signe un réjouissant film hybride : du Hawks mâtiné de heavy metal.
Urbuz
Ce qui rend si beau et si triste Ghosts of Mars, c'est la profonde égalité qui gouverne chacune de ses luttes (...) Le cinéma guerrier de Carpenter est humaniste en ce qu'il donne à voir deux choses : la solitude et la tristesse d'un monde où seule est heureuse la lutte pour la liberté.
Chronic'art.com
Rien de raffiné dans ce Ghosts of Mars donc, mais une castagne à débat où l'échange des coups (tous permis faut-il le préciser) se veut échange d'arguments sans chi-chi.
Cine Libre
C'est (...) un avertissement... Cela pourrait être déprimant, désespérant au plus haut point, mais le cinéaste possède un tel sens du récit cinématographique que son spectacle, aussi sombre soit-il, provoque néanmoins une jouissance de tous les instants ! Ultime ambiguïté carpenterienne...
Télérama
Une quintessence de série B par un maître malicieux, John Carpenter.
Zurban
Le savoir-faire est à son comble pour ce qui est des effets spéciaux et de l'efficacité propre au genre : aidé par une partition musicale signée du réalisateur, le film contient de nombreux moments véritablement terrifiants.
Aden
Rigolo un moment, mais peu de surprises, sinon dans les recoins d'une facture inventive, se débrouillant avec un carton pâte qui touche au féerique. Cette série B, qui semble avoir le budget d'une série Z, possède donc un charme rétro très efficace, d'autant que ses héros sont aussi délicieusement toc que ses décors.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Légèrement daté, mais passionné.
Le Monde
En abattant les deux piliers de la modernité hollywoodienne, la technologie et le second degré, Carpenter provoque l'effondrement de Ghosts of Mars. Le film est moche, mais le geste n'est pas dépourvu de grandeur
Le Parisien
(...) un véritable western "martien". Du bruit, de la fureur, de la violence, le tout sur fond de heavy metal, voilà de quoi combler les fans. Les autres n'y trouveront pas forcément leur compte.
Novaplanet.com
Pas à mépriser pour autant quand il retrouve le charme des séries B fauchées, même au prix d'un paradoxe : le film aurait coûté 30 millions de dollars, dix fois plus qu'il n'y paraît.
L'Humanité
Ambiance macho et humanité réduite à ses fonctions les plus brutales. Ça ressemble la plupart du temps à un clip de hard rock grand-guignolesque (style Marilyn Manson). Assourdissant et routinier.
MCinéma.com
(Le) dernier opus (de Carpenter), avec sa construction sans aucun intérêt en flash-backs imbriqués, ne parvient pas à être à la hauteur d'un Vampires tout aussi classique mais infiniment plus excitant.
Ouirock.com
Quand série B rime avec navet interplanétaire, c'est le retour de John Carpenter.