Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
C’est peut-être l’un des films les plus directs, condensés et rageurs de la filmographie de Robert Guédiguian. Plus qu’un constat amer sur notre société gagnée par le repli sur soi et l’aliénation, Gloria Mundi clame, dès son titre désemparé, la soif de son auteur de voir le monde sortir de sa crise individualiste pour se diriger vers davantage de solidarité. Un récit implacable, qui prend sa source dans les mythes fondateurs de notre culture et de notre inconscient collectif.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Chez Guédiguian, il y a les films de réparation, mus par une croyance dans les solidarités instinctives, et il y a les films, comme Gloria Mundi, dont la noirceur tragique, le désespoir et la colère ne trouvent une rémission que dans de rares épiphanies.
Gloria Mundi est un mélodrame. Et qu’on ne prenne pas cela pour une réserve. Qu’on fait d’autre Douglas Sirk ou Fassbinder, sinon parler de familles confrontées à la nécessité de survivre dans une époque donnée ? C’est bien de cela qu’il s’agit dans ce film, et c’est sa grandeur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Tout ce qui constitue la veine mélancolique du cinéma de Robert Guédiguian - une manière bien à lui de conférer à ses drames sociaux une dimension mélodramatique, parfois teintée de film noir -, est porté dans Gloria Mundi à un degré bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Guédiguian porte un regard dur sur la société, mais, comme il se plaît à l’affirmer, le réalisateur reste d’un optimisme gramscien – celui de la volonté, qui est allié au pessimisme de la raison –, animé d’une fibre communiste.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le constat social de ce système déshumanisé des gens d’en bas est implacable et pourrait se suffire à lui-même, mais Robert Guédiguian y ajoute une strate de dramaturgie, dans une forme de tragédie grecque, faite de déchirements, d’adultère et de trahison familiale.
Ce drame social de Robert Guédiguian frappe droit au par son humanisme, sa sincérité et la justesse avec laquelle il dépeint la situation d'une famille recomposée de classe moyenne [...].
Gloria Mundi frappe fort et juste en montrant à quel point la rationalité économique, vouée à tout envahir, s’infiltre désormais jusqu’au noeud des relations familiales, au dernier degré de l’intime.
Avec ce récit effrayant et bouleversant, sur le mode mélodramatique qui est le sien, Guédiguian décrit un monde qui va, ou même qui touche déjà, à sa perte. Un monde si perturbé que seul un homme providentiel pourra le reconstruire. Mais l'amertume de Guédiguian demeure. Il cite souvent cette phrase de La Vie de Galilée de Brecht : "Malheur aux peuples qui ont besoin de héros".
Au-dessus de cette humanité blessée, il y a la musique envoûtante de Ravel inspirée d’un conte de Perrault. Tout se rejoue et se déjoue perpétuellement. C’est magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Première
La patte de Guédiguian n’a pas pris une ride. Entourés de la plupart de ses compagnons de cinéma, il offre un drame familial et marseillais, intense et lumineux. Gloria Mundi est un film beau, tout simplement beau, qui aspire au bonheur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Toujours en colère, le réalisateur marseillais poursuit son travail engagé. Sans grands discours, avec une caméra qui prend son temps, presque contemplative, et avec sa famille de comédiens, et notamment le trio Ascaride, Darroussin, Meylan, toujours aussi justes.
Le cinéaste mêle encore avec brio sentimental et social en orchestrant un engrenage dramatique autour d’une famille modeste qui ressemble fort à un microcosme de notre société.
Bande à part
C’est peut-être l’un des films les plus directs, condensés et rageurs de la filmographie de Robert Guédiguian. Plus qu’un constat amer sur notre société gagnée par le repli sur soi et l’aliénation, Gloria Mundi clame, dès son titre désemparé, la soif de son auteur de voir le monde sortir de sa crise individualiste pour se diriger vers davantage de solidarité. Un récit implacable, qui prend sa source dans les mythes fondateurs de notre culture et de notre inconscient collectif.
Cahiers du Cinéma
Chez Guédiguian, il y a les films de réparation, mus par une croyance dans les solidarités instinctives, et il y a les films, comme Gloria Mundi, dont la noirceur tragique, le désespoir et la colère ne trouvent une rémission que dans de rares épiphanies.
Elle
Un film époustouflant où la valeur de l'humain existe envers et contre tout.
L'Humanité
Gloria Mundi est un mélodrame. Et qu’on ne prenne pas cela pour une réserve. Qu’on fait d’autre Douglas Sirk ou Fassbinder, sinon parler de familles confrontées à la nécessité de survivre dans une époque donnée ? C’est bien de cela qu’il s’agit dans ce film, et c’est sa grandeur.
Le Parisien
Radical et bouleversant.
Libération
Tout ce qui constitue la veine mélancolique du cinéma de Robert Guédiguian - une manière bien à lui de conférer à ses drames sociaux une dimension mélodramatique, parfois teintée de film noir -, est porté dans Gloria Mundi à un degré bouleversant.
Marianne
Emouvant et nécessaire.
20 Minutes
Le cinéaste filme Ariane Ascaride avec un amour puissant qui se communique à l’œuvre tout entière.
Culturopoing.com
Guédiguian porte un regard dur sur la société, mais, comme il se plaît à l’affirmer, le réalisateur reste d’un optimisme gramscien – celui de la volonté, qui est allié au pessimisme de la raison –, animé d’une fibre communiste.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le constat social de ce système déshumanisé des gens d’en bas est implacable et pourrait se suffire à lui-même, mais Robert Guédiguian y ajoute une strate de dramaturgie, dans une forme de tragédie grecque, faite de déchirements, d’adultère et de trahison familiale.
Femme Actuelle
Un film élégant, maîtrisé et sensible.
L'Express
Gloria Mundi, d'une incroyable intensité, est un uppercut.
L'Obs
Cyniques, individualistes et modeux, passez plutôt votre chemin, ce film n’est pas pour vous.
La Croix
Une tragédie sombre et puissante.
Le Journal du Dimanche
Ce drame social de Robert Guédiguian frappe droit au par son humanisme, sa sincérité et la justesse avec laquelle il dépeint la situation d'une famille recomposée de classe moyenne [...].
Le Monde
Gloria Mundi frappe fort et juste en montrant à quel point la rationalité économique, vouée à tout envahir, s’infiltre désormais jusqu’au noeud des relations familiales, au dernier degré de l’intime.
Les Inrockuptibles
Avec ce récit effrayant et bouleversant, sur le mode mélodramatique qui est le sien, Guédiguian décrit un monde qui va, ou même qui touche déjà, à sa perte. Un monde si perturbé que seul un homme providentiel pourra le reconstruire. Mais l'amertume de Guédiguian demeure. Il cite souvent cette phrase de La Vie de Galilée de Brecht : "Malheur aux peuples qui ont besoin de héros".
Ouest France
Un drame poignant sur les valeurs du peuple.
Positif
La grande force de "Gloria Mundi" réside dans sa dramaturgie, sa manière de nouer le drame dans sa terrible prévisibilité.
Première
Au-dessus de cette humanité blessée, il y a la musique envoûtante de Ravel inspirée d’un conte de Perrault. Tout se rejoue et se déjoue perpétuellement. C’est magnifique.
Sud Ouest
Oeuvre contemplative où la tragédie couve, et dont Robert Guédiguian tire un grand film poignant, pétri d’humanité.
Télérama
Un terrible mélodrame social.
Voici
Fidèle à ses idéaux et ses acteurs, le cinéma social de Guédiguian l'humaniste est de plus en plus sombre.
aVoir-aLire.com
La patte de Guédiguian n’a pas pris une ride. Entourés de la plupart de ses compagnons de cinéma, il offre un drame familial et marseillais, intense et lumineux. Gloria Mundi est un film beau, tout simplement beau, qui aspire au bonheur.
Critikat.com
Loin de sombrer dans un pathos artificiel, le caractère pathétique de nombreuses scènes sonne ici toujours juste et devient une arme de dénonciation.
Franceinfo Culture
Toujours en colère, le réalisateur marseillais poursuit son travail engagé. Sans grands discours, avec une caméra qui prend son temps, presque contemplative, et avec sa famille de comédiens, et notamment le trio Ascaride, Darroussin, Meylan, toujours aussi justes.
La Septième Obsession
Le cinéaste mêle encore avec brio sentimental et social en orchestrant un engrenage dramatique autour d’une famille modeste qui ressemble fort à un microcosme de notre société.
La Voix du Nord
Une œuvre clairvoyante, mais sacrément déprimante.
Le Dauphiné Libéré
L'engrenage est terrible, le constat sombre, l'histoire tragique: l'horreur économique libérale nous tue. Déprimant.
Les Fiches du Cinéma
Le constat est pertinent et la forme est belle, mais Guédiguian peine à faire vivre des personnages qu’il ne peut pas vraiment aimer.
Le Figaro
Dans Gloria Mundi, Robert Guédiguian dénonce la société ultralibérale. Trop noir.