Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Bande à part
par Jo Fishley
Nanni Moretti se souvient que l'ambassade d'Italie offrit l'asile aux dissidents après le coup d'Etat militaire de Pinochet en 1973 au Chili. Un documentaire saisissant, qui raconte une Italie hospitalière.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Paola Raiman
Santiago, Italia continue donc le vaste projet de Moretti : raconter l’Italie contemporaine. Mais si le geste est direct, le projet, lui, est courbe.
L'Express
par Christophe Carrière
Simple et efficace. Ce film est aussi un plaidoyer en faveur d’une solidarité de moins en moins à l’ordre du jour dans l’Italie actuelle.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Un documentaire plein d’intelligence conjugue images d’archives et témoignages afin de retracer le parcours vers la Botte de nombreux réfugiés après le coup d’État militaire le 11 septembre 1973.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Lors d'un entretien avec un militaire chilien condamné à la prison, Moretti écoute le tortionnaire protester de son innocence. Il suffit d'être impartial, dit celui-ci, pour comprendre. Moretti, royal : "Ma… non sono imparziale." Grand moment, grande émotion.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
L’épisode largement méconnu est raconté face caméra, avec beaucoup d’émotions par ceux qui l’ont vécu, mais il ne constitue qu’un tiers du film.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Nanni Moretti conjuge le passé au présent et nous alerte, apeuré de voir l’individualisme triompher. Il réaffirme la prise en compte de l’humain, des destins singuliers et de toutes les histoires, comme préalable à toute entreprise politique.
Le Figaro
par La Rédaction
Nanni Moretti, qu'on n'avait pas revu depuis Mia Madre , reconstitue cette aventure humaine singulière dans un documentaire captivant, qui repose uniquement sur la présence des témoins, sobrement mais attentivement filmés, et la puissance évocatrice de leurs récits.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Documentaire quasi-élégiaque sur une révolution réussie et sur le drame de sa défaite, le film de Moretti est tenu, mais un peu trop corseté. Pour un cinéaste qui a fait de la chose publique une affaire de corps et de mouvement, un tel effacement surprend.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marcos Uzal
Relatant le sauvetage par l’ambassade italienne au Chili de 600 personnes après le coup d’Etat de Pinochet en 1973, le cinéaste tend un miroir cinglant aux évolutions politiques de son pays.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yannick Lemarié
"Santiago, Italia" est un miroir étrange dans lequel l'Italie trouve des raisons de s'admirer et de s'inquiéter. La mélancolie appelle au combat.
Première
par Thomas Baurez
Nanni Moretti s’essaie au documentaire et ouvre une page oubliée de l’histoire chilienne et italienne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Antoine Du Jeu
Ce regard historique sur la solidarité entre deux peuples se perçoit comme un miroir déformant de l’Italie actuelle où la politique anti-humanitaire de Matteo Salvini renvoie à un autoritarisme que l’on pensait relégué aux poubelles de l’histoire.
Télérama
par Mathilde Blottière
Sous le regard bienveillant de l’auteur de Journal intime, des artistes (Carmen Castillo, Patricio Guzmán), des entrepreneurs, des ouvriers, des avocats, des enseignants ou encore des diplomates livrent leurs souvenirs, en italien ou en espagnol. (...) Mais ce sont leurs paroles, habitées et pleines d’émotion, qui donnent le plus de vie et de chair à cette épopée militante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Sylvain Blandy
En associant d’une virgule le nom de la capitale du Chili et celui de son pays, Moretti ne replie pas tant un événement sur un autre qu’il ne tisse au travers d’une série de témoignages la trame d’une réflexion intime sur la discontinuité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit édifiant et militant, qui célèbre la solidarité contre le repli sur soi.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Instructif, émouvant, le film n’en appelle pas moins quelques réserves. La première tient à sa construction, qui tarde à entrer dans le sujet pour évoquer trop longuement les circonstances générales du coup d’Etat, qu’on veut croire largement divulguées, précisément par l’entremise du cinéma.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
(…) Le spectateur comprend très vite que si Moretti enfonce le clou un peu lourdement, c’est moins par patriotisme que pour rappeler au gouvernement italien actuel qu’il fut un temps où l’Italie savait accueillir les réfugiés, avec hospitalité et honneur, sans barguigner.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Il confesse les acteurs, rebelles comme putschistes, dans un récit passionnant, sorte d’ode à la rébellion. Le tout avec ce ton si propre à Nanni Moretti, entre drame et légèreté.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
Au bout du voyage, il y a l'accueil, la solidarité, l'incroyable générosité d'un peuple se comportant comme si, lui-même, avait vécu le traumatisme. Exilés sans doute, mais réchauffés par l'élan collectif dont Nanni Moretti rapporte la vigueur, la mélancolie et l'épaisseur humaine. C'est ce qui fait le prix de son Santiago, Italia.
Bande à part
Nanni Moretti se souvient que l'ambassade d'Italie offrit l'asile aux dissidents après le coup d'Etat militaire de Pinochet en 1973 au Chili. Un documentaire saisissant, qui raconte une Italie hospitalière.
Cahiers du Cinéma
Santiago, Italia continue donc le vaste projet de Moretti : raconter l’Italie contemporaine. Mais si le geste est direct, le projet, lui, est courbe.
L'Express
Simple et efficace. Ce film est aussi un plaidoyer en faveur d’une solidarité de moins en moins à l’ordre du jour dans l’Italie actuelle.
L'Humanité
Un documentaire plein d’intelligence conjugue images d’archives et témoignages afin de retracer le parcours vers la Botte de nombreux réfugiés après le coup d’État militaire le 11 septembre 1973.
L'Obs
Lors d'un entretien avec un militaire chilien condamné à la prison, Moretti écoute le tortionnaire protester de son innocence. Il suffit d'être impartial, dit celui-ci, pour comprendre. Moretti, royal : "Ma… non sono imparziale." Grand moment, grande émotion.
La Croix
L’épisode largement méconnu est raconté face caméra, avec beaucoup d’émotions par ceux qui l’ont vécu, mais il ne constitue qu’un tiers du film.
La Septième Obsession
Nanni Moretti conjuge le passé au présent et nous alerte, apeuré de voir l’individualisme triompher. Il réaffirme la prise en compte de l’humain, des destins singuliers et de toutes les histoires, comme préalable à toute entreprise politique.
Le Figaro
Nanni Moretti, qu'on n'avait pas revu depuis Mia Madre , reconstitue cette aventure humaine singulière dans un documentaire captivant, qui repose uniquement sur la présence des témoins, sobrement mais attentivement filmés, et la puissance évocatrice de leurs récits.
Les Fiches du Cinéma
Documentaire quasi-élégiaque sur une révolution réussie et sur le drame de sa défaite, le film de Moretti est tenu, mais un peu trop corseté. Pour un cinéaste qui a fait de la chose publique une affaire de corps et de mouvement, un tel effacement surprend.
Libération
Relatant le sauvetage par l’ambassade italienne au Chili de 600 personnes après le coup d’Etat de Pinochet en 1973, le cinéaste tend un miroir cinglant aux évolutions politiques de son pays.
Positif
"Santiago, Italia" est un miroir étrange dans lequel l'Italie trouve des raisons de s'admirer et de s'inquiéter. La mélancolie appelle au combat.
Première
Nanni Moretti s’essaie au documentaire et ouvre une page oubliée de l’histoire chilienne et italienne.
Transfuge
Ce regard historique sur la solidarité entre deux peuples se perçoit comme un miroir déformant de l’Italie actuelle où la politique anti-humanitaire de Matteo Salvini renvoie à un autoritarisme que l’on pensait relégué aux poubelles de l’histoire.
Télérama
Sous le regard bienveillant de l’auteur de Journal intime, des artistes (Carmen Castillo, Patricio Guzmán), des entrepreneurs, des ouvriers, des avocats, des enseignants ou encore des diplomates livrent leurs souvenirs, en italien ou en espagnol. (...) Mais ce sont leurs paroles, habitées et pleines d’émotion, qui donnent le plus de vie et de chair à cette épopée militante.
Critikat.com
En associant d’une virgule le nom de la capitale du Chili et celui de son pays, Moretti ne replie pas tant un événement sur un autre qu’il ne tisse au travers d’une série de témoignages la trame d’une réflexion intime sur la discontinuité.
Le Journal du Dimanche
Un récit édifiant et militant, qui célèbre la solidarité contre le repli sur soi.
Le Monde
Instructif, émouvant, le film n’en appelle pas moins quelques réserves. La première tient à sa construction, qui tarde à entrer dans le sujet pour évoquer trop longuement les circonstances générales du coup d’Etat, qu’on veut croire largement divulguées, précisément par l’entremise du cinéma.
Les Inrockuptibles
(…) Le spectateur comprend très vite que si Moretti enfonce le clou un peu lourdement, c’est moins par patriotisme que pour rappeler au gouvernement italien actuel qu’il fut un temps où l’Italie savait accueillir les réfugiés, avec hospitalité et honneur, sans barguigner.
Paris Match
Il confesse les acteurs, rebelles comme putschistes, dans un récit passionnant, sorte d’ode à la rébellion. Le tout avec ce ton si propre à Nanni Moretti, entre drame et légèreté.
Sud Ouest
Au bout du voyage, il y a l'accueil, la solidarité, l'incroyable générosité d'un peuple se comportant comme si, lui-même, avait vécu le traumatisme. Exilés sans doute, mais réchauffés par l'élan collectif dont Nanni Moretti rapporte la vigueur, la mélancolie et l'épaisseur humaine. C'est ce qui fait le prix de son Santiago, Italia.