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McTiernan est intouchable et garde, avec ce grand carnaval barbare et fellinien (Jean Reno est époustouflant en clown berlusconien grotesque), au moins 10 ans d'avance sur tous ses concurrents hollywoodiens.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Non content d'avoir massacré le film au montage, on l'assassine dans sa distribution. Rollerball mérite-t-il un tel traitement ? Mille fois non. (...) Il va sans dire que Rollerball est le contraire du film bourrin et sans cervelle que certains ont stigmatisé. (...) c'est au contraire une oeuvre moraliste sur la violence. Un grand film en somme.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aux commandes, John McTiernan, le réalisateur de Piège de cristal : tous les espoirs étaient permis. Lui arriva ce qui lui était déjà arrivé avec Le Treizième Guerrier : des pressions, un remontage du film non conforme à sa volonté... Bref, la débâcle. Et John McTiernan n'est pas content. Nous non plus.
Chris Klein (...) est bien fade en comparaison du James Caan de l'époque. Et que fait donc Jean Réno, plus ridicule que crédible, dans ces jeux du cirque dont il est censé tirer les ficelles? John Mc Tiernan nous avait habitué à mieux (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le même discours hypocrite, relevé par une ironie déplaisante, est tenu sur l'immoralité du spectacle de la brutalité. Comme celle-ci a visiblement été édulcorée par le producteur, ne demeure qu'une bouillie visuelle et sonore.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
ROLLERBALL s'apparente à un brouillon bâclé d'où n'émerge que l'essentiel, sans aucune transition entre les éléments. Sans parler de la fadeur du jeune Klein ou des extravagances pesantes de Reno. Mais... mais McTiernan nous offre à nouveau des moments d'action de haute volée, et sa griffe inimitable comblera par moments le désespoir du spectateur. Ça ne fait pas un film, même amputé.
Même si la version finale est celle des studios et non la sienne, on peut penser que Mc Tiernan s'est au fond fait piéger par son sujet en utilisant les arguments putassiers qu'il voulait dénoncer.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Les actions de jeu (...) sont parfois bien photographiées mais restent globalement confuses. Ce qui se passe hors-stade est encore plus incompréhensible. Les acteurs font de leur mieux avec des personnages grossièrement ébauchés et des dialogues indigents.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Rollerball est une oeuvre d'une rage et d'une énergie interne inouïes.
Chronic'art.com
McTiernan est intouchable et garde, avec ce grand carnaval barbare et fellinien (Jean Reno est époustouflant en clown berlusconien grotesque), au moins 10 ans d'avance sur tous ses concurrents hollywoodiens.
Urbuz
Non content d'avoir massacré le film au montage, on l'assassine dans sa distribution. Rollerball mérite-t-il un tel traitement ? Mille fois non. (...) Il va sans dire que Rollerball est le contraire du film bourrin et sans cervelle que certains ont stigmatisé. (...) c'est au contraire une oeuvre moraliste sur la violence. Un grand film en somme.
Télérama
John Mc Tiernan, en petite forme, réussit une superbe séquence d'ouverture et puis s'en va, laissant la mise en scène sur pilotage automatique.
Aden
Aux commandes, John McTiernan, le réalisateur de Piège de cristal : tous les espoirs étaient permis. Lui arriva ce qui lui était déjà arrivé avec Le Treizième Guerrier : des pressions, un remontage du film non conforme à sa volonté... Bref, la débâcle. Et John McTiernan n'est pas content. Nous non plus.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Chris Klein (...) est bien fade en comparaison du James Caan de l'époque. Et que fait donc Jean Réno, plus ridicule que crédible, dans ces jeux du cirque dont il est censé tirer les ficelles? John Mc Tiernan nous avait habitué à mieux (...).
Le Monde
Le même discours hypocrite, relevé par une ironie déplaisante, est tenu sur l'immoralité du spectacle de la brutalité. Comme celle-ci a visiblement été édulcorée par le producteur, ne demeure qu'une bouillie visuelle et sonore.
Libération
le Rollerball bis qui commence ne restera pas comme le meilleur Jean Reno. (...) Même nul, Reno est agréable à retrouver (...).
MCinéma.com
ROLLERBALL s'apparente à un brouillon bâclé d'où n'émerge que l'essentiel, sans aucune transition entre les éléments. Sans parler de la fadeur du jeune Klein ou des extravagances pesantes de Reno. Mais... mais McTiernan nous offre à nouveau des moments d'action de haute volée, et sa griffe inimitable comblera par moments le désespoir du spectateur. Ça ne fait pas un film, même amputé.
Novaplanet.com
Même si la version finale est celle des studios et non la sienne, on peut penser que Mc Tiernan s'est au fond fait piéger par son sujet en utilisant les arguments putassiers qu'il voulait dénoncer.
Première
Les actions de jeu (...) sont parfois bien photographiées mais restent globalement confuses. Ce qui se passe hors-stade est encore plus incompréhensible. Les acteurs font de leur mieux avec des personnages grossièrement ébauchés et des dialogues indigents.