Note moyenne
3,0
10 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Chronic'art.com
Ni une révolution ni en aucun cas une surprise pour qui a vu les deux premiers films de Mostow : simplement un très grand film d'action.
Les Inrockuptibles
(...) Plus surprenant, le voyage dans le passé s'avère une entreprise culottée de démolition du blockbuster d'aujourd'hui et prône un retour à la SF dépressive et intelligente des années 60-70.
Le Monde
Mis en scène par Jonathan Mostow, (...) , ce troisième opus ne possède pas le souffle des deux premiers. Après sa déroutante ouverture, il ressemble à un remake du précédent volet, mais la manière dont Jonathan Mostow s'en démarque, malgré un scénario conventionnel, est exemplaire.
Le Parisien
Les cascades et les scènes de destruction sont réussies et impressionnantes. Truffé d'effets spéciaux, le film fait la part belle à l'action et aux armes.
Libération
Côté chaos, le spectateur de cet honnête divertissement estival en a pour son argent. (...) Mais aussi spectaculaires soient ces scènes de destruction massive, leur impact est neutralisé par l'impression persistante d'avoir déjà vu le film trois fois.
MCinéma.com
On attendait beaucoup du retour du super-cyborg, vendu comme le film "le plus cher de tous les temps " (tiens, encore un !). (...) Vidé de cette moelle technologique, ce n'est qu'un film "pop-corn" poussif avec un scénario qui peine à démarrer.
Première
Pas de surprise donc, mais une surenchère dans les SDM (scènes de destruction massive), qui sont à la hauteur du budget record du film.
Télérama
Une superproduction sans surenchère, qui flirte avec la parodie. (...) Aux deux tiers, le film patine (cependant) un peu, et la pirouette finale, laissant entrevoir les prémices du quatrième épisode, tombe à plat.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Zurban
Aussi nonchalant dans sa façon de traverser les murs de flammes que d'enfoncer les portes ouvertes, (le robot Schwarzy) efface la superbe blonde qui lui sert d'adversaire et muscle un scénario qui se contente d'annoncer l'épisode à venir.