Avis : Le Grinch - Page 5

un film vu en famille très adorable et bien construit j'ai passé un bon moment , ainsi que les graphisme et l'histoire

En 2000, pour un budget assez important à cette époque, "Le Grinch" débarque dans nos salles de cinéma. Porté par un Jim Carrey qui était au sommet de sa forme à ce moment-là, il était bien parti pour être un projet de Noël très marquant. Finalement, même s'il garde une certaine notoriété, le long-métrage n'a pas autant marqué les gens que d'autres productions avec l'acteur. Pourtant, et c'est peut-être de là que vient le problème, Jim Carrey porte le film. Au travers d'un costume assez convaincant, il réussit à faire retranscrire son jeu très déjanté, on le reconnaît assez vite sous sa fourrure. Ses mimiques et ses expressions réussissent à faire rire, et il sublime les meilleurs moments du long-métrage. Mais globalement, il est vrai que sa présence s'avère être une bénédiction empoisonnée pour le film, car le reste ne propose rien de très intéressant finalement. L'histoire, bien qu'étant agréable à suivre, ne développe pas énormément de choses à côté de cela. Les personnages secondaires sont extrêmement anecdotiques, tout est fait pour mettre Le Grinch, et donc Jim Carrey, en valeur. On est sur une histoire assez classique du conte de Noël, avec ce narrateur qui vient nous raconter le tout. L'ensemble n'a rien de très original, et on sait évidemment où va aller le film dans sa conclusion. Malgré tout, même si ce n'est pas un projet très prenant, je reste persuadé qu'il peut faire passer de bons moments en famille. Au vu du budget, la production s'avère de qualité, avec des décors qui sentent le studio, mais qui sont extrêmement propres. Le film essaye d'aller à fond dans ce qu'il fait, même si c'est du déjà vu, et c'est ce qui lui donne un côté attachant. On ressort de ce film en n'ayant pas spécialement vu quelque chose de très élaboré, mais pour un petit moment à Noël, le long-métrage fonctionne. Grâce à un bon Jim Carrey et quelques bons passages, ce projet réussit au moins à remplir son contrat. Pour conclure, un film pas très original, mais qui est suffisamment efficace.

un film grincheux qui parle d'un grinch une créature isoler qui déteste noël (on apprend pourquoi dans le film ) le grinch est un film familial de premier plan avec son humour pour la plupart enfantinmais y a des scène qui sont très drôle voir hylarente et quelque dialogue sont rester culte . Jim Carrey qui joue le grinch s'offre encore un succès et une interprétation de haut niveau et hylarente car même avec certains dialogue qui sont pas forcement drôle il arrive à faire rire avec sont interprétation et c'est comme sa qu'on reconnais un grand acteur .

Film complètement bête sur un monstre vert poilu avec un scénario insalubre et d'acteurs qui jouent comme des pieds. Bien qu'il y'ait Jim Carrey qui joue à peu près bien. Les blagues ne sont même pas drôles. Un film raté en quelques sortes.

Jim Carrey au meilleur de sa forme, son personnage couvre toutes les niaiseries qui entourent le film ! Chaque réplique est drôle, la méchanceté et les mimiques du Grinch c'est ce qui fait son charme ! 4 étoiles bien méritées !

On l'aime bien pourtant Ron Howard... Ancien acteur sympathique, il s'est désormais imposé depuis longtemps comme un grand professionnel de la réalisation, à défaut d'avoir une profonde subtilité dans son approche ni un quelconque génie technique. Seulement, il n'est même pas question ici de savoir si Ron Howard a du génie ou même du talent, mais bien de se demander s'il s'est moqué de nous ou pas. Hideux à tout point de vue et d'une stupidité à en tomber à la renverse, "Le Grinch" s'apparente très rapidement à un one man show de Jim Carrey tournant à vide les 80% du temps, le tout beurré d'une fausse méchanceté et d'une vraie niaiserie de plus en plus insupportable, le tout tourné dans des décors de pacotilles ou la simple expression "profondeur de champ" semble être à elle seule une insulte. Bref, c'est lourd, c'est long et disons-le clairement c'est très chiant pour ne pas dire atroce : allez, on se revoit "Willow" ou "Apollo 13"? Là au moins c'était bien fait et on en avait pour notre argent. A fuir!!

Le plus beau conte de Noël qui soit. Rien n'est plus magique que de voir ce film en période des fêtes. Le jeu de Jim Carrey embelit les scènes: c'est drôle, touchant et entrainant. Je le conseille à tous les enfants et tous les grands enfants!!

Un excellent film de Noel avec Jim Carrey en croque mitaine vert de rage très drôle et machalévique.

Un jolie conte pour enfant, un personnage detestable à souhait mais au grand coeur et un jim Carrey méconnaissable. Au bilan, on passe un bon moment sans réél surprise mais dans un univers attachant.

Bon conte de noel, Jim Carrey est énorme

Merveilleux et drôle conte de Noël a savourer en famille. Avec en haut de l'affiche le fabuleux Jim Carrey encore plus drôle et "bête" que jamais ! L'ambiance festives est agréable, le film aussi et l'histoire peut être aussi émouvante que drôle. Un bon petit film qui conviendra certes plus aux enfants, mais qui ne déplaira pas aux adultes.

Plutôt improbable voire même étrange, cette idée d’avoir nommé Ron Howard en tant que réalisateur. Producteur, pourquoi pas, mais mettre un réalisateur d’un tel acabit, cela sonne faux !
Après Apollo 13 (1995) & La Rançon (1997) et bien avant Un Homme d'exception (2002) ou encore Da Vinci Code (2006), Howard s’essaye à la comédie burlesque et cartoonesque pour le plus grand plaisir des petits mais aussi pour le plus grand malheur des plus grands !
Le scénario est lamentable, d’un ennui perceptible dès les toutes premières minutes du film. L’univers Burtonnien est décelable, mais pour s’en inspirer, il faut en avoir la carrure, car ici, les décors sont d’une immondice sans nom, sans parler du côté comique du film, que l’on doit à Jim Carrey., seul personne grâce à qui on ne regrette pas trop d’avoir perdu notre temps à voir cette comédie de Noêl.

Remarqué par « Willow », « Backdraft » et « Apollo 13 », Ron Howard est plutôt polyvalent dans l’exercice de style, mais reste tout de même un yes man dont la patte d’auteur empathie grandement. Il adapte ainsi le roman de Theodor Seuss Geisel, dont le protagoniste illustre le fléau de la fête de Noël, dans un conte qui évoque la notion de famille et d’unité lors des traditions. Entre le ton qui se veut sombre et le décor, vêtu de teintes trop vive, le film s’égare dans le vulgaire, avant que l’enchantement puisse opérer. Fort heureusement, quelques gags auront le don de nous réveiller dans une succession de banalités nauséeuses.

On introduit alors le Grinch, croquemitaine vert, qui insuffle la peur et l’antithèse du Père Noël. Alors que l’un cherche à faire le bonheur de tous, l’autre cherche à répandre le dégoût. Dans cette démarche, calquée sur la touche humoristique d’un Jim Carrey méconnaissable, notamment grâce au maquillage de Rick Baker, on se permet de critiquer la débauche commerciale de l’événement clé de tous les hivers. Le message écologique est sublimé lors de la découverte du faciès de Carrey dans cette peau malléable et plutôt étonnante. Tout droit sortie d’un cartoon, le reste de l’univers manque de créativité et ne parvient pas à se hisser au même niveau que son porte-parole. La magie et l’esprit de Noël, tout est artificiel dans le village de Chouville, où tous vivent pour ces offrandes qui semblent n’acheter que des problèmes. Les cadeaux divisent plus qu’ils ne rassemblent et le discours semble bien représenter que l’auteur souhaitait transmettre, mais l’hommage se perd à mi-chemin et use de mises en scène maladroites pour illustrer les propos.

Caricatural jusque dans l’emballage, on ressent un travail honnête et peut-être trop pour que l’on accepte de parader aux côtés du Grinch ou de la bienveillance des enfants. Mais c’est justement là où la complexité vient tout dérégler dans ce divertissement qui se voulait ouvert, mais qui se restreint aux farces et autres gags insistants, sans modération. Le regard d’un adulte aura déjà vite tout évalué dans ce récit manquant de nuances, alors que l’enfant ne retiendra que la démarche incongrue du Grinch et la noblesse aveugle de son fidèle chien Max. Les histoires secondaires ne seront jamais totalement abouties, ni traitées avec le respect qu’on leur devrait. L’amour improbable et impossible, la réconciliation entre la bêtise et les valeurs de la famille ne seront pas exploités dans leur totalité et dans la justesse dont il conviendrait.

À l’image de la fête de Noël, « Le Grinch » de Ron Howard n’est qu’un déguisement, qui chercher à envelopper tout un ensemble de cicatrice, trop profonde pour que la comédie et l’envoûtement réussissent là où la morale réussit à peine à émouvoir. Le succès ne sera pas au rendez-vous et le divertissement résonnera comme un spectacle de fin d’année des écoles primaires, surcotées et oubliables derrière les décorations qui jurent avec l’esprit de fête.

Cela faisait très longtemps que je n'avais pas vu ce film mais étant donné que les fêtes approchent et que j'en avais gardé un bon souvenir, j'en ai profité pour le revoir et je ne regrette pas une seconde car je trouve que c'est un bon film qui fait passer une bonne soirée en toute simplicité. Réalisé par Ron Howard et sorti en 2000, je m'étonne que ce film ai autant de mauvaises critiques (comme la plupart des films de Howard d'ailleurs, chose que je ne comprends pas bien non plus) car je le trouve vraiment bon et sympa. Le scénario met en donc en scène le Grinch, un personnage tiré du roman "Le Grincheux qui voulait gâcher Noël" de Theodor Seuss Geisel et ensuite du dessin-animé du même nom des années 60, que je n'ai lu ni vu et que je ne pourrais donc pas comparer au niveau de la fidélité. En tout cas, nous avons un personnage tout vert et grincheux dont le seul but est de gâcher le Noël des habitants de Chouville et même si c'est assez cliché, l'histoire est tout de même bien faite. Ce que j'aime beaucoup, c'est que dans ce compte de Noël fantaisiste, nous avons pas mal de métaphores par rapport à la "vraie vie" comme par exemple le fait que Noël soit maintenant beaucoup commercial et hypocrite, chose que les films de Noël habituels n'avancent pas beaucoup. Les personnages spoiler: comprennent quand même donc la leçon à la fin et deviennent plus proches des uns des autres ainsi que le Grinch qui, sous un coup de bipolarité, devient gentil et rapporte tous les cadeaux
. Tout ça est donc bien cliché mais il ne faut pas oublier que c'est Noël et que spoiler: tout finit bien
à cette époque de l'année ! Pour ce qui est de la réalisation, ce n'est pourtant pas le genre de Howard de faire de tels films mais en tout cas, il accentue beaucoup l'effet fantaisiste avec des angles et des mouvements de caméra bien choisis qui font mouche. Du côté des acteurs, ils jouent tous assez bien mais on retiendra surtout Jim Carrey dans le rôle du personnage principal qui lui permet d'ailleurs de faire toutes les grimaces qu'il veut. "Le Grinch" n'est donc bien-sûr pas un grand film mais se classe tout de même parmi les classiques dans les films de Noël.

Ron Howard signe ici un superbe conte de noël drôle et attachant.Le tout emmener par un Jim Carrey hilarant.