Les Plus belles années d'une vie : Critique presse
Les Plus belles années d'une vie
Note moyenne
3,4
14 titres de presse
Le Parisien
La Croix
La Voix du Nord
Ouest France
Positif
Première
Télé Loisirs
Télérama
L'Obs
Le Figaro
Le Monde
Les Inrockuptibles
L'Express
Cahiers du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Écrit sur le fil du désir de faire confiance en la vie, ce film, présenté au Festival de Cannes, est de l’émotion pure, avec l’humour, la tendresse et l’imprévisible qui lui donnent toutes leurs nuances de saveur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Loin d’être une œuvre funèbre, cet hymne à la vie et à l’amour, émouvant et gai, est irradié par la malice de Jean-Louis Trintignant et la beauté lumineuse d’Anouk Aimée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Merci à Claude Lelouch d’avoir une fois encore réuni Jean-Louis Trintignant et Anouk Aimée. Et de les avoir filmés avec autant d’amour.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Les voix, des gestes simples, quelques regards et sourires déclenchent l'émotion.
Positif
par Michel Cieutat
Cinquante-trois plus tard, Lelouch renoue avec la sensibilité qui faisait tout le charme de l'original.
Première
par Sophie Benamon
Claude Lelouch présente hors-compétition Les plus belles années d'une vie, suite à Un homme et une femme, cinquante-trois ans après. En retrouvant l’inoubliable tandem Jean-Louis Trintignant/Anouk Aimée, il signe son plus grand film depuis près de vingt ans.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par La Rédaction
Ils se sont connus voilà bien longtemps. Un homme et une femme, dont l’histoire d’amour fulgurante, inattendue, saisie dans une parenthèse devenue mythique, aura révolutionné notre façon de voir l’amour. Aujourd’hui, l’ancien pilote de course se perd un peu sur les chemins de sa mémoire.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Anne Dessuant
Un séduisant tête-à-tête autant qu’un émouvant hommage au septième art.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Jérôme Garcin
Deux grandes vies de comédiens glissent soudain sur leurs visages mélancoliques comme des nuages pommelés sur la plage de Deauville. Tout le reste est une suite inutile de leloucheries. Mais, pour cet instant magique où se reforme sous nos yeux, et sans illusions, le couple d’autrefois, où les regards d’Anouk Aimée et de Jean-Louis Trintignant transpercent le temps, il faut voir ce film (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Mais, à travers ses personnages légendaires, Claude Lelouch rend d’abord hommage à des comédiens qu’il aime plus que tout. Comme s’il refusait de refermer un album de photographies anciennes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
C’est une relation tendre, légère et loufoque qui anime les deux personnages, dont la vieillesse et les regards émeuvent. On peut toutefois regretter que la bande-son soit aussi pesante, ramenant les personnages dans le passé, alors qu’ils voudraient tant vivre au présent.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Ce qui pourrait être agaçant prend lentement la forme d'une ritournelle, d'une prière, d'une méditation, d'une psalmodie. Le spectateur tombe dans une faille de l'espace-temps, ou plus simplement dans un état mental proche de l'hypnose. Ce qui n'est pas désagréable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Express
par Christophe Carrière
Trintignant bouffe l'écran, les mots sont délectables. Il y a deux autres séquences du même acabit. Des moments si forts que tout le reste, soit une bonne moitié du long-métrage, est dispensable.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
À la demande pas tout à fait générale, Claude Lelouch nous ressert son plus grand tube.
Le Parisien
Écrit sur le fil du désir de faire confiance en la vie, ce film, présenté au Festival de Cannes, est de l’émotion pure, avec l’humour, la tendresse et l’imprévisible qui lui donnent toutes leurs nuances de saveur.
La Croix
Loin d’être une œuvre funèbre, cet hymne à la vie et à l’amour, émouvant et gai, est irradié par la malice de Jean-Louis Trintignant et la beauté lumineuse d’Anouk Aimée.
La Voix du Nord
Merci à Claude Lelouch d’avoir une fois encore réuni Jean-Louis Trintignant et Anouk Aimée. Et de les avoir filmés avec autant d’amour.
Ouest France
Les voix, des gestes simples, quelques regards et sourires déclenchent l'émotion.
Positif
Cinquante-trois plus tard, Lelouch renoue avec la sensibilité qui faisait tout le charme de l'original.
Première
Claude Lelouch présente hors-compétition Les plus belles années d'une vie, suite à Un homme et une femme, cinquante-trois ans après. En retrouvant l’inoubliable tandem Jean-Louis Trintignant/Anouk Aimée, il signe son plus grand film depuis près de vingt ans.
Télé Loisirs
Ils se sont connus voilà bien longtemps. Un homme et une femme, dont l’histoire d’amour fulgurante, inattendue, saisie dans une parenthèse devenue mythique, aura révolutionné notre façon de voir l’amour. Aujourd’hui, l’ancien pilote de course se perd un peu sur les chemins de sa mémoire.
Télérama
Un séduisant tête-à-tête autant qu’un émouvant hommage au septième art.
L'Obs
Deux grandes vies de comédiens glissent soudain sur leurs visages mélancoliques comme des nuages pommelés sur la plage de Deauville. Tout le reste est une suite inutile de leloucheries. Mais, pour cet instant magique où se reforme sous nos yeux, et sans illusions, le couple d’autrefois, où les regards d’Anouk Aimée et de Jean-Louis Trintignant transpercent le temps, il faut voir ce film (...).
Le Figaro
Mais, à travers ses personnages légendaires, Claude Lelouch rend d’abord hommage à des comédiens qu’il aime plus que tout. Comme s’il refusait de refermer un album de photographies anciennes.
Le Monde
C’est une relation tendre, légère et loufoque qui anime les deux personnages, dont la vieillesse et les regards émeuvent. On peut toutefois regretter que la bande-son soit aussi pesante, ramenant les personnages dans le passé, alors qu’ils voudraient tant vivre au présent.
Les Inrockuptibles
Ce qui pourrait être agaçant prend lentement la forme d'une ritournelle, d'une prière, d'une méditation, d'une psalmodie. Le spectateur tombe dans une faille de l'espace-temps, ou plus simplement dans un état mental proche de l'hypnose. Ce qui n'est pas désagréable.
L'Express
Trintignant bouffe l'écran, les mots sont délectables. Il y a deux autres séquences du même acabit. Des moments si forts que tout le reste, soit une bonne moitié du long-métrage, est dispensable.
Cahiers du Cinéma
À la demande pas tout à fait générale, Claude Lelouch nous ressert son plus grand tube.