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Si "Project Power" semble tout d'abord s'inscrire dans la vague de productions interchangeables qu'accueille Netflix, sa violence, son intensité et sa rugosité en font une série B aussi énervée que sympathique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
[...] on n’a pas envie de casser trop de sucre sur le dos de "Project Power" et qu’on ne refoule pas notre petit plaisir pris. Il se prend très peu au sérieux, ne cherche pas à cacher ses grosses faiblesses et s’assume pour ce qu’il est : une série B violente avec une dose de super-héros.
Toutefois, à se croire dans un jeu vidéo, les réalisateurs loupent des scènes d'action de ce thriller futuriste. Ils réusissent malgré tout à donner un peu d'épaisseur aux trois protagonistes.
Henry Joost et Ariel Schulman persévèrent ici dans la réalisation tape-à-l'oeil, dans une totale absence de direction d'acteurs, et dans l'exploitation putassière de pseudo high concept assorti d'un sermon final qui devrait, dans une société civilisée, inciter à foutre son écran par la fenêtre.
Télé Loisirs
Un scénario malin et des séquences visuellement époustouflantes donnent un relief supplémentaire à cette série B.
Ecran Large
Si "Project Power" semble tout d'abord s'inscrire dans la vague de productions interchangeables qu'accueille Netflix, sa violence, son intensité et sa rugosité en font une série B aussi énervée que sympathique.
Le Journal du Geek
[...] on n’a pas envie de casser trop de sucre sur le dos de "Project Power" et qu’on ne refoule pas notre petit plaisir pris. Il se prend très peu au sérieux, ne cherche pas à cacher ses grosses faiblesses et s’assume pour ce qu’il est : une série B violente avec une dose de super-héros.
Télé 7 Jours
Toutefois, à se croire dans un jeu vidéo, les réalisateurs loupent des scènes d'action de ce thriller futuriste. Ils réusissent malgré tout à donner un peu d'épaisseur aux trois protagonistes.
Mad Movies
Henry Joost et Ariel Schulman persévèrent ici dans la réalisation tape-à-l'oeil, dans une totale absence de direction d'acteurs, et dans l'exploitation putassière de pseudo high concept assorti d'un sermon final qui devrait, dans une société civilisée, inciter à foutre son écran par la fenêtre.