Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Express
par Antoine Le Fur
Puissant et (tristement) d'actualité, "Rosie Davis" agit comme un bel uppercut cinématographique.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Sans misérabilisme, avec une lucidité cruelle et une tension permanente, le cinéaste irlandais Paddy Breathnach suit ses protagonistes dans cette ville de Dublin où l’aide de la mairie se résume à une liste d’hôtels archi pleins. On a rarement réalisé œuvre plus tendre et plus âpre sur la précarité moderne.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Au-delà de l’aspect politique, la fiction intervient pour créer un engagement émotionnel dévastateur chez le spectateur, qui n’en sort clairement pas indemne.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Elle
par Françoise Delbecq
Terriblement touchant.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Rosie Davis a capté notre attention en quelques séquences.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
Du cinéma-vérité, mais sans misérabilisme ni complaisance.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Tout ici est dans la simplicité, la justesse, la nuance : le caractère de chacun des enfants et sa réaction devant ce qui se passe ; la culpabilité latente du père qui se sent responsable ; la formidable vitalité de cette femme qui ne lâche rien. Et le dénouement, dans la nudité du silence, qui dit tout ce qu’il y a à dire.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
On sort révolté, ému, et en totale empathie avec l’héroïne ordinaire d’un récit naturaliste dont le dépouillement et l’absence de misérabilisme rappellent le cinéma des Dardenne.
Le Parisien
par La Rédaction
Un long-métrage sombre, mais d’une beauté poignante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Olivier de Bruyn
Ce film témoigne avec force d'une réalité de notre temps.
Ouest France
par La Rédaction
Un film aussi lumineux que son actrice.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une chronique sociale sensible et pudique, qui raconte, à travers le portrait d’une famille à la rue, l’échec de tout un pays, l’Irlande, à offrir une dignité à ses habitants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Fidèle à cette approche naturaliste, Paddy Breathnach a tourné à Dublin, parmi les passants, sur des parkings, dans des écoles. Il a placé sa caméra dans la voiture, collant aux visages, aux vitres embuées par la condensation, aux mouvements restreints des corps coincés dans l’espace. De cette alchimie naît un film d’une énergie folle et bouleversante.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Paddy Breathnach, cinéaste insituable ("Irish Man", 1998), signe cette adaptation d’un roman de Roddy Doyle en lorgnant parfois du côté du "Rosetta" des frères Dardenne. Sans en partager le talent hélas...
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Caméra au poing, au plus près d’un duo d’acteurs impressionnants, la mise en scène, presque étouffante, fait rapidement oublier un scénario un rien répétitif pour donner corps à la triste réalité d’une précarité incompréhensible.
Première
par Thierry Chèze
Un film aussi lumineux que son interprète.
Télérama
par Nicolas Didier
Tourné caméra à l’épaule, au plus près des personnages, Rosie Davis est une course contre la montre perpétuellement renouvelée, autrement dit, une version tragiquement réaliste d’Un jour sans fin.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Balançant constamment entre le mélodrame et la comédie – la séquence de bataille de frites joyeusement tragique en est la parfaite incarnation – le film, trop frileux à l’idée de s’engager pleinement dans une direction, stagne et n’aboutit qu’à un objet innocent, plus consensuel que révolté.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Eithne O'Neill
Où est le vrai piquant de la prose du scénariste Roddy Doyle (rappelez-vous "The Snapper") ? On espérait mieux du réalisateur de "Irish Crime".
L'Express
Puissant et (tristement) d'actualité, "Rosie Davis" agit comme un bel uppercut cinématographique.
Sud Ouest
Sans misérabilisme, avec une lucidité cruelle et une tension permanente, le cinéaste irlandais Paddy Breathnach suit ses protagonistes dans cette ville de Dublin où l’aide de la mairie se résume à une liste d’hôtels archi pleins. On a rarement réalisé œuvre plus tendre et plus âpre sur la précarité moderne.
CinemaTeaser
Au-delà de l’aspect politique, la fiction intervient pour créer un engagement émotionnel dévastateur chez le spectateur, qui n’en sort clairement pas indemne.
Elle
Terriblement touchant.
L'Humanité
Rosie Davis a capté notre attention en quelques séquences.
L'Obs
Du cinéma-vérité, mais sans misérabilisme ni complaisance.
Le Dauphiné Libéré
Tout ici est dans la simplicité, la justesse, la nuance : le caractère de chacun des enfants et sa réaction devant ce qui se passe ; la culpabilité latente du père qui se sent responsable ; la formidable vitalité de cette femme qui ne lâche rien. Et le dénouement, dans la nudité du silence, qui dit tout ce qu’il y a à dire.
Le Journal du Dimanche
On sort révolté, ému, et en totale empathie avec l’héroïne ordinaire d’un récit naturaliste dont le dépouillement et l’absence de misérabilisme rappellent le cinéma des Dardenne.
Le Parisien
Un long-métrage sombre, mais d’une beauté poignante.
Marianne
Ce film témoigne avec force d'une réalité de notre temps.
Ouest France
Un film aussi lumineux que son actrice.
aVoir-aLire.com
Une chronique sociale sensible et pudique, qui raconte, à travers le portrait d’une famille à la rue, l’échec de tout un pays, l’Irlande, à offrir une dignité à ses habitants.
Le Monde
Fidèle à cette approche naturaliste, Paddy Breathnach a tourné à Dublin, parmi les passants, sur des parkings, dans des écoles. Il a placé sa caméra dans la voiture, collant aux visages, aux vitres embuées par la condensation, aux mouvements restreints des corps coincés dans l’espace. De cette alchimie naît un film d’une énergie folle et bouleversante.
Les Fiches du Cinéma
Paddy Breathnach, cinéaste insituable ("Irish Man", 1998), signe cette adaptation d’un roman de Roddy Doyle en lorgnant parfois du côté du "Rosetta" des frères Dardenne. Sans en partager le talent hélas...
Paris Match
Caméra au poing, au plus près d’un duo d’acteurs impressionnants, la mise en scène, presque étouffante, fait rapidement oublier un scénario un rien répétitif pour donner corps à la triste réalité d’une précarité incompréhensible.
Première
Un film aussi lumineux que son interprète.
Télérama
Tourné caméra à l’épaule, au plus près des personnages, Rosie Davis est une course contre la montre perpétuellement renouvelée, autrement dit, une version tragiquement réaliste d’Un jour sans fin.
Les Inrockuptibles
Balançant constamment entre le mélodrame et la comédie – la séquence de bataille de frites joyeusement tragique en est la parfaite incarnation – le film, trop frileux à l’idée de s’engager pleinement dans une direction, stagne et n’aboutit qu’à un objet innocent, plus consensuel que révolté.
Positif
Où est le vrai piquant de la prose du scénariste Roddy Doyle (rappelez-vous "The Snapper") ? On espérait mieux du réalisateur de "Irish Crime".