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    La Belle époque
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    Fargo Boy
    Fargo Boy

    80 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 novembre 2019
    Bravo Monsieur Nicolas Bedos ! Un film brillant du début jusqu'à la fin avec un jeu d'acteur fabuleux, des éclairs de génie et de l'émotion tout du long. Vous faites rayonner le cinéma français. Excellent moment de passion et de tendresse. Du grand cinéma.
    7fabcool7
    7fabcool7

    48 abonnés 595 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2019
    Sympathique réalisation de Nicolas BEDOS, que pourtant je n'apprécie guère…. On est transporté dans cette fiction drôle, émouvante, & originale Se mêlent fiction et réalité avec beaucoup de finesse Les acteurs sont bons. Un vrai bon moment d'émotion. Et comme en plus, j'adore Daniel Auteuil. Par contre; les dix premières minutes sont nulles.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    620 abonnés 2 716 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2019
    #LaBelleEpoque est donc une romance a travers le temps efficace.

    Le concept est génial, Daniel Auteuil est parfait, et les ressorts émotionnels fonctionnent.

    Pour autant c'est parfois trop a l'eau de rose, trop mécanique, pour totalement convaincre.

    https://onsefaituncine.com/2019/11/12/la-belle-epoque-retour-nostalgique-dans-les-annees-1970/
    antony Z.
    antony Z.

    68 abonnés 1 038 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 novembre 2019
    4,2 - Un très bon film porté par des talents prodigieux. Le charisme de D. Auteuil et celui de F. Ardent... Belle découverte également avec D. Tillié. Un récit tendre et juste sur la vie de couple et le temps qui passe traité avec originalité. Ainsi, N. Bedos propose une mise en scène aussi soignée que sa plume...
    Fan2ciné
    Fan2ciné

    23 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 octobre 2019
    Quand les Rolls Royce d'acteurs que sont Canet, Ardan, Auteuil, Arditi, Podalydès (et une mention spéciale à Doria Tillier) roulent à tout va dans un scénario jouant sur la nostalgie et les méandres de la vie, ils emmènent tout le monde et surtout nous dans leur voyage. Les rôles de Canet, Ardan, Auteuil, Arditi semblent avoir été ciselés sur mesure, ils apparaissent comme si c'était eux, comme si tout était vrai alors que non bien sur et ceci à double niveau dans le film. Quel plaisir de les voir s'amuser, de jouer les scènes à fond et nous capter complément à certains moments magiques. Bedos m'a épaté, je le pensais pas aussi fort, un vrai bon film d'auteur populaire, une vrai vision du cinéma à la française. J'adore. En France, on a pas de pétrole, mais on a de très grands acteurs et d'excellents cinéastes.
    Stéphane J.
    Stéphane J.

    16 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 septembre 2019
    Après un début pétaradant, on entre avec plaisir dans cette histoire un peu dingue, surprenante et tellement drôle. L'âge mûr, l'évolution du couple et de l'amour, l'envie de retrouver la flamme du début : voilà de quoi parle ce film réjouissant. J'ai remarqué que les comédiens – Daniel Auteuil, Fanny Ardant et Dora Tillier en tête – se sont beaucoup amusés en interprétant leurs rôles, c'est peut-être pour cela qu'ils jouent avec autant de générosité et de brio. Les dialogues sont savoureux, les répliques fusent et font mouche : le spectateur éclate de rire. J'ai également trouvé la reconstitution des années 70 réussie et belle, et il y a une multitude de personnages secondaires qui apportent beaucoup à l'ensemble. Un excellent film signé Nicolas Bedos. (Vu dans le cadre du label des spectateurs UGC.)
    DanDan
    DanDan

    79 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2019
    Superbe film émouvant nostalgique et vivant à voir et revoir ... Beau film qui rappelle un peu les films d'antan
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    82 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 novembre 2019
    Après avoir été présenté à Cannes en sélection officielle mais hors compétition, La belle époque démarre son exploitation en salles. Le deuxième long-métrage réalisé par Nicolas Bedos suit dans son passéisme le personnage principal interprété par Daniel Auteuil. Surproduit et sur-découpé, le voyage temporel proposé n’offre jamais le vertige espéré. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com/2019/11/08/la-belle-epoque/
    Jorik V
    Jorik V

    1 214 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 janvier 2020
    Quelle belle et originale idée que celle de « La belle époque ». Même si on pense un tantinet à l’illustre « The Truman Show » ou même un peu à « The Game » avec lesquels le film développe quelques similitudes, il s’en éloigne vite que ce soit sur la forme ou sur le fond. Le postulat que développe le long-métrage est novateur et imparable. Selon finances, on y voit une société recréer les moments préférés de la vie de personnes, des moments propices à la nostalgie, peu importe l’époque. Mais au cinéma il ne suffit pas d’avoir l’idée en or, encore faut-il savoir la développer, voire la transcender pour qu’elle soit viable à l’écran. Et ici le scénario comme la mise en scène y parviennent royalement. Cela fait du bien de voir un film dont le contenu tout à fait original sorte à ce point des sentiers battus et que son exécution soit tout aussi exemplaire. Et Nicolas Bedos confirme avec ce second film tout le bien que l’on pensait de lui avec l’excellent premier coup de maître qu’était « Monsieur et Madame Adelman ».



    « La belle époque » nous cueille, nous intrigue et nous captive dès ses premières images sans passer par l’étape du générique. On est tout de suite immergé dans le concept original du film et durant une bonne heure on n’en décrochera pas. Le long-métrage débute par l’une des mises en scène réalisées par cette entreprise pas comme les autres… en pleine Renaissance dans un château. Il va sans dire qu’on est perturbé avec plaisir car on ne s’y attend pas le moins du monde et l’effet de surprise sur grand écran se faisant plutôt rare on ne va pas le bouder. Puis, d’une manière limpide et grâce à un montage d’une fluidité exemplaire, on se focalise à la fois sur le quotidien du personnage principal incarné par Daniel Auteuil et sur son couple proche du naufrage mais aussi en parallèle sur celui, pas au beau fixe non plus, composé du directeur de cette boîte pas comme les autres et de sa petite amie actrice. En vingt minutes, Bedos nous livre une leçon de mise en scène admirable ainsi qu’un schéma narratif hors pair nous accrochant à son concept avec force et modernité. Et la séquence de dispute entre Auteuil et une Fanny Ardant en grande forme est un modèle de tempo comique dans son genre mais aussi de précision d’écriture dans les dialogues. Une scène drôle et vraiment jubilatoire dont chaque réplique se délecte avec plaisir.



    Mais la réussite du film ne se limite pas à ça. Bedos jongle entre ces deux couples avec maestria, aussi bien grâce à un scénario riche qu’il maîtrise de bout en bout que par le biais d’une mise en scène en perpétuel mouvement et adaptée à chaque situation. La caméra virevolte avec bonheur entre les différents personnages et décors de la plus belle des manières. On regrette donc que la seconde partie soit un peu plus faible que la première. Forcément avec un tel démarrage, difficile de tenir la cadence sur deux heures. Bedos aurait peut-être donc dû couper un peu dans le gras ou renouveler encore plus son script pour continuer à nous surprendre. De la même manière, la fin semble un peu consensuelle au vu du reste. Mais cela reste un sacrément bel ouvrage où on prend plaisir comme un gamin à découvrir tous les mécanismes mis en place par cette société avant-gardiste (mais dont on ne serait pas étonné qu’elle voie le jour, un jour) mais aussi à suivre les atermoiements sentimentaux du personnage principal. Un film frais, innovant, abouti et qui marquera le cinéma français en dépit de sa relâche en seconde partie. On a hâte de voir la suite de ce que nous réserve son réalisateur.



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    Alain D.
    Alain D.

    515 abonnés 3 219 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mars 2020
    Une très bonne Comédie écrite et mise en scène par Nicolas Bedos. Son excellente histoire mérite amplement son César du Meilleur scénario original. Il nous réserve quelques surprises, un joli grain de folie, des rires et même une belle note de poésie et d'émotion. Après une introduction un peu longue et surtout amère, l'histoire prend son envol avec bon nombre de scènes surréalistes ; les répliques fusent sur des dialogues pertinents. La réalisation nous offre aussi des décors sympathiques et une très belle bande musicale avec des insertions attractives des années 70, Alain Souchon, Billie Holiday ou Janis Joplin joliment interprétée par Doria Tillier ...
    La cerise sur le gâteau nous est offerte par le casting avec la toujours excellente Fanny Ardant (elle aussi Césarisé), de jolis moments avec Daniel Auteuil et Guillaume Canet lui aussi très bon dans son rôle délicat du réalisateur acrimonieux.
    Xavier B
    Xavier B

    4 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 novembre 2019
    L'idee de départ est top, vraiment génial. Mais, malheureusement, ça s'arrête là. Malgré une belle réalisation , une belle photo, de beaux décors et costumes, le scénario et les dialogues ne fonctionnent pas. Et surtout Bedos a commis l'imprudence de copier le "Truman Show" qui fait parti de mes films cultes. Après Copy-Comic, Vas t'on faire "Copy Cinema?". Ou va t il nous la faire à la Gad Elmaleh "Non, non, promis je me suis juste inspiré!!". Franchement Nicolas c'est pas sérieux là.. surtout avec un scénario aussi bancal, si tu pompes les ricains au moins fais le bien quoi... Le jeu d'acteur de Canet sonne toujours aussi faux que le tocsin, et quand à Auteuil, Arditi, et Ardant, les trois A, je leur dirais que "La belle époque" des Truffaut, Sautet, Verneuil, Yves Robert etc, est, je le crains fort, désormais révolue.
    Serge Bvlr
    Serge Bvlr

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 novembre 2019
    Comment exprimer le ressenti perçu du dernier Doss de Nicolas "Bedos" et vous faire partager l'envie de foncer voir ce film ... à part m'incliner devant autant de talent créatif, au point même parfois d'en être un peu jaloux.....
    à ce niveau là, ce n'est plus du cinema, mais un partage de fulgurances émotionnelles, de transmission d'intelligence par paquets, de sensibilités conditionnées par un texte ciselé et sublime, et de la mise en tristesse et en beauté d'une magnifique histoire d'amour...
    Ou même de la force même de l'Amour et de ce qu'il renferme de plus subtil et de plus beau au travers de l'échelle du temps qui le traverse, tout en devenant finalement intemporel.
    Quelle force et quel maitrise, une histoire racontée par un réalisateur de génie, comme peu sont capables de savoir le faire ...
    je ne me rappelle plus avoir vu un film de cette qualité creative et remplie de ce charme Français unique, à la fois désuet et magnétique, depuis Amelie POULAIN...
    Des acteurs beaux à en crever, une fanny "ardente" de vérité, un Daniel Auteuil sur l'Anapurna de son Art, un Guillaume CANET magnifique paumé, et amoureux transi, un Podalydès jubilatoire de réserve et de retenue, un Arditi attachant, surprenant et à tomber...
    Et une Doria Tillier inapprivoisable, sensuelle sauvage, et magnétique, et qui sans nul doute, à l'issue de ce film, risque de devenir la fiancée de tous les français, faute de rester celle de Guillaume CANET, et de detenir le rôle de sa pourtant "jeune" vie d'actrice, au point d'exploser chaque plan de sa beauté cinégénique.
    Des éllipses sur ellipses, subtiles et hyper travaillées, une construction narrative de très haut vol, des maux traduits par des mots d'une incroyable intelligence, une schizophrénie filmée, racontée et maitrisée avec tellement de talent, tout en étant paradoxalement narrée de manière fluide, évidente et toujours brillante.
    Un film français, mais tellement français au sens noble du terme, que tous les codes temporels de l'époque et de l'émotion qu'ils renvoient à nos mémoires, sont visibles ou suggérés, et distillés de manière subtile tout au long de cette parenthèse, ou le telespectateur oscille sans cesse entre la verité et la fiction, entre le vrai faux, et le faux vrai, entre la conscience et la magie, entre la vérité et l'imagination... tel un voyeur funambule...
    Bref, ce film est un chef d'oeuvre, si le prisme de ce qu'il raconte est abordé avec un regard candide et sensible comme ce fut mon cas...
    Et quelle idée de scénario habile, subtile et teintée de nostalgie, et qui ne pouvait sortir que des méandres cortiquées d'un Nicolas BEDOS brillant, imposant à nouveau une signature singulière et une empreinte teintée de cette intelligence rare au cinéma, et qui le définit, cette intelligence de l'observation, de la narration, de la subtilité de perception, celles qui nous malmènent les yeux de larmes d'émotion, nous fait réfléchir le coeur de palpitations, nous fais rire aux larmes ou bien pleurer de joies, et nous fais dire que le cinéma, parfois... est bien plus que du cinema...
    Je suis certain que l'idée rare et originale de ce film sera racheté par des Américains qui tenteront vaille que vaille d'en faire une pale copie, mais je vous le conseille, foncez voir ce bijou, et ainsi honorer le talent de ce mec qui merite largement les larmes et les rires, que ces presque deux heures de lévitation emotionelle, vous permettront de lui offrir ...
    Merci Monsieur BEDOS, de la qualité incommensurable de ce travail ..... et de ce cadeau magnifique...
    J'ai adoré !!!!
    Henri G.
    Henri G.

    2 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Beau film, sympathique et plaisant avec un très bon casting, un bon scénario mais rien d'exceptionnel
    Yves G.
    Yves G.

    1 329 abonnés 3 326 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2019
    Victor (Daniel Auteuil) est un vieux dessinateur de BD qui affiche volontiers sa détestation du monde qui l’entoure. Sa femme Marianne (Fanny Ardant) étouffe aux côtés de ce misanthrope. Cette brillante psychanalyste a pris un amant (Denis Podalydès) et finit par mettre son ami à la porte.
    C’est le moment que Victor choisit pour utiliser le cadeau que son fils lui a fait à son dernier anniversaire : un voyage dans le temps à l’époque de son choix.
    Le service est fourni par la société d’Antoine (Guillaume Canet) : avec un soin maniaque, ce réalisateur despotique reconstitue pour ses riches clients l’époque qu’il rêveraient d’avoir connu. Pour Victor, ce sera le 6 mai 1974, à Lyon, le jour où Marianne est entrée dans sa vie. Antoine convainc Margot (Dora Tillier), avec laquelle il entretient une relation compliquée, d’interpréter le rôle de Marianne jeune.

    Comment filmer le temps qui passe ? Comment faire toucher du doigt au spectateur de cinéma l’épaisseur du temps qui passe et le poignard de la nostalgie ? Trois solutions logiques existent. La première : la fresque historique. raconter une histoire qui se déroule sur plusieurs décennies en suivant son fil chronologique. C’était le parti retenu par Nicolas Bedos – que la question du temps et de la nostalgie décidément taraude – dans son premier film, le très réussi "Monsieur et Madame Adelman". Le deuxième : les flashbacks. On oublie que des chefs d’oeuvre comme "Citizen Kane", "Amadeus", "Cinema Paradiso" ou "Titanic" – ou "La Recherche" de Proust – sont construits sur un flashback qui en décuple la profondeur. Le troisième, plus audacieux, c’est le voyage dans le temps science-fiction et ses innombrables apories.

    "La Belle Époque" en invente un quatrième : la reconstitution théâtrale. Faire jouer aux personnages d’une époque leur propre rôle dans le passé. Une sorte de "Truman show" dans le temps. Le procédé pourrait tourner court. Car Victor sait bien qu’il joue une reconstitution historique et que tous les personnages qu’il y croise sont des acteurs dûment préparés et rémunérés. Mais, miraculeusement, le procédé fonctionne grâce à une mécanique scénaristique d’une impressionnante efficacité et grâce à un quatuor d’acteurs épatants.

    Dans ce quatuor, on peut néanmoins faire la fine bouche et reprocher à Guillaume Canet d’interpréter un rôle qu’il a décidément trop joué, celui quasi-autobiographique de l’homme de cinéma tyrannique, et à Fanny Ardant – dont je sais qu’elle compte des admirateurs inconditionnels – les limites de son jeu de vieille bourgeoise un peu foldingue. En revanche, Daniel Auteuil et Doria Tillier sont épatants. Daniel Auteuil, comme Catherine Deneuve et Isabelle Huppert, on l’a beaucoup vu ces trente dernières années. Trop peut-être. Dans des comédies pas drôles qui ne le flattaient guère. Loin du cabotinage qui pollue souvent son jeu, il compose ici un Victor attachant qui réussit, sans être ridicule à (re)tomber amoureux d’une femme de quarante ans plus jeune que lui. Mais c’est Doria Tillier qui crève l’écran. Elle n’est jamais aussi belle que quand Nicolas Bedos, son compagnon à la ville, la filme. Une scène est touchante où Guillaume Canet, double toxique de Nicolas Bedos lui-même, la guidant avec une oreillette, lui fait la confession de l’amour qui lui porte. On imagine que ces lignes ont été écrites par Nicolas pour Doria et on en est profondément ému.

    Comme le faisait le mois dernier "Chambre 212", "La Belle Époque" interroge intelligemment le couple. Le couple vieillissant de deux sexagénaires qui s’exaspèrent. Le couple naissant de deux trentenaires qui ne savent pas s’aimer. Et le couple improbable formé par Victor et Margot sur lequel l’ultime plan du film laisse planer l’éventualité d’un impossible dénouement.
    Idf2306
    Idf2306

    6 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 novembre 2019
    Bedos est passé à 2 doigts d'un grand film,
    Et Comme il n’arrivait pas à choisir une fin à son film ça traîne et l’émotion ne vient jamais...
    Mention spéciale pour Hardant et Auteuil.
    Canet insupportable.
    Dommage.
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