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Sofia est une expérience théorique sur la forme la plus stéréotypale du féminin, quelque chose qui vient de Bardot. Une expérience que l'actrice pousse à un point de rupture, à la fois dans l’impudeur et dans l’effacement.
Jalonné de références sixties, de Bardot à Rohmer, le film de Rebecca Zlotowski révèle en Zahia Dehar une actrice ultramoderne et subtile, au service d’une radieuse chronique sociale qui a la douceur d’un conte d’été.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ce conte amoral et balnéaire, léger comme un souffle d'été, offre à l'ex-escort girl, Zahia, un rôle inespéré, taillé sur mesure de poupée Bardot gonflable, opaque et fascinant.
Zahia Dehar n'est pas juste une nouvelle collectionneuse rohmerienne : elle donne corps avec grâce à la liberté conquise des féministes contre l'ordre viril et social, inventant un plaisir aristocratique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
"Une fille facile", à l’instar de ses héroïnes, se joue d’une futilité apparente, dissimulant une surprenante cruauté, faisant en définitive du film, le plus frontalement politique de son auteure.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dans la chaleur brûlante de la Côte d’Azur bling-bling, Rebecca Zlotowski signe un film subtil aux accents rohmériens et révèle deux actrices, Zahia Dehar et Mina Farid.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Désirs, manipulations, jalousies : le scénario orchestre des jeux de l’amour et du hasard. La mise en scène est d’une sensualité envoûtante et malaisante, révélatrice des barrières sociales infranchissables et des rêves jamais réalisés.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
"Une fille facile" n’est pas un récit d’émancipation « féministe » qui raconterait comment un personnage féminin se démarque du stéréotype qui le caractérise. La complexité du film est plus grande : raconter à travers le regard de la cousine prude donne au film l’ambiguïté dont il a besoin pour montrer la puissance des stéréotypes.
La lutte des genres rejoint la lutte des classes dans cet apprentissage de la vie qui suit un schéma qui ne manque pas de paraître assez convenu, mais qui curieusement échappe à la convention par ce qui constitue pour le coup la vraie découverte du film : Zahia.
Amorale, contemporaine mais pas trop, cette délicieuse histoire d’initiation épate par la finesse de son écriture et l’aplomb de ses personnages entre audace et retenue, cruauté et légèreté.
En dépit de quelques accents théoriques un peu plaqués, Rebecca Zlotowski signe une séduisante chronique estivale - et de lutte des classes - où étonne notamment Zahia Dehar.
Dans un conte sensuel et solaire, la réalisatrice Rebecca Zlotowski déconstruit l'archétype de la femme-objet incarné par l'ancienne escort girl Zahia Dehar.
À son meilleur, Une fille facile parvient à dessiner les linéaments d'un espace à géométrie variable, qui serait uniquement modelé par le désir de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le film est solaire, il peut évoquer, et la cinéaste le revendique, les films "riviéra" fançais ou italien. D'ailleurs, Zahia Dehar n'est pas sans rappeler Brigitte Bardot dans les années 60.
Une fille facile devrait être une comédie. L’esprit de sérieux de Zlotowski plombe ces vacances solaires. La cinéaste est une cérébrale, normalienne, agrégée de lettres. (...) Tant pis pour le jeu, la fantaisie et la sensualité incarnée par Zahia Dehar. L’ex-escort-girl reste un fantasme de bourgeoise intello. Elle mériterait un film à son image, sauvage et provocateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Étude de la beauté et de la sexualité comme armes de progression sociale en milieu tempéré, ce film de vacances gorgé de désir est une remise à zéro des compteurs pour retrouver le goût des premières fois et l'envie d'avoir envie.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Zahia constitue le cœur, le corps et l’âme du film, qui perd d’ailleurs de sa puissance dès qu’elle quitte le cadre. Le choix de faire vivre ce récit à travers le regard de sa cousine de 16 ans le fait trop souvent bifurquer vers le registre plus banal de la coming of age story. Mais, sur la longueur, le film sait résister à cet écueil (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
La cinéaste adopte finalement une position de surplomb, qui manque un peu de tact, tant dans sa façon de faire valoir la profondeur de son héroïne que d’articuler une critique sociale.
L'histoire n'a que peu d'intérêt (prévisible de bout en bout, grossièrement dramatisée) et Zahia est une très mauvaise comédienne (mais personne ne lui demandait sans doute d'être bonne).
Si Rebecca Zlotowski est indéniablement une grande réalisatrice française, elle se perd avec ce portrait de fille facile dans un fatras de vacuité, en réduisant son héroïne principale à une caricature d’un autre temps.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
Sofia est une expérience théorique sur la forme la plus stéréotypale du féminin, quelque chose qui vient de Bardot. Une expérience que l'actrice pousse à un point de rupture, à la fois dans l’impudeur et dans l’effacement.
Libération
Jalonné de références sixties, de Bardot à Rohmer, le film de Rebecca Zlotowski révèle en Zahia Dehar une actrice ultramoderne et subtile, au service d’une radieuse chronique sociale qui a la douceur d’un conte d’été.
Positif
[...] "Une fille facile" est bel et bien un conte narquois, contemporain, qui interroge -mine de rien- la représentation du féminin.
BIBA
Ce conte amoral et balnéaire, léger comme un souffle d'été, offre à l'ex-escort girl, Zahia, un rôle inespéré, taillé sur mesure de poupée Bardot gonflable, opaque et fascinant.
Bande à part
Zahia Dehar n'est pas juste une nouvelle collectionneuse rohmerienne : elle donne corps avec grâce à la liberté conquise des féministes contre l'ordre viril et social, inventant un plaisir aristocratique.
Culturopoing.com
"Une fille facile", à l’instar de ses héroïnes, se joue d’une futilité apparente, dissimulant une surprenante cruauté, faisant en définitive du film, le plus frontalement politique de son auteure.
L'Humanité
Dans la chaleur brûlante de la Côte d’Azur bling-bling, Rebecca Zlotowski signe un film subtil aux accents rohmériens et révèle deux actrices, Zahia Dehar et Mina Farid.
L'Obs
Désirs, manipulations, jalousies : le scénario orchestre des jeux de l’amour et du hasard. La mise en scène est d’une sensualité envoûtante et malaisante, révélatrice des barrières sociales infranchissables et des rêves jamais réalisés.
La Croix
Un film solaire, léger et sensuel, ode à la puissance et à liberté des femmes.
La Septième Obsession
"Une fille facile" n’est pas un récit d’émancipation « féministe » qui raconterait comment un personnage féminin se démarque du stéréotype qui le caractérise. La complexité du film est plus grande : raconter à travers le regard de la cousine prude donne au film l’ambiguïté dont il a besoin pour montrer la puissance des stéréotypes.
Le Dauphiné Libéré
La lutte des genres rejoint la lutte des classes dans cet apprentissage de la vie qui suit un schéma qui ne manque pas de paraître assez convenu, mais qui curieusement échappe à la convention par ce qui constitue pour le coup la vraie découverte du film : Zahia.
Le Journal du Dimanche
Amorale, contemporaine mais pas trop, cette délicieuse histoire d’initiation épate par la finesse de son écriture et l’aplomb de ses personnages entre audace et retenue, cruauté et légèreté.
Le Monde
Une fille facile brille dans sa façon de montrer que ce monde illusoire repose sur d’implacables rapports de classe.
Les Fiches du Cinéma
En dépit de quelques accents théoriques un peu plaqués, Rebecca Zlotowski signe une séduisante chronique estivale - et de lutte des classes - où étonne notamment Zahia Dehar.
Marie Claire
Dans un conte sensuel et solaire, la réalisatrice Rebecca Zlotowski déconstruit l'archétype de la femme-objet incarné par l'ancienne escort girl Zahia Dehar.
Ouest France
Parlant de féminité et d'émancipation sexuelle avec une amoralité savoureuse, Une fille facile révèle surtout le talent de comédienne de Zahia (...).
Télérama
Après Planetarium, la cinéaste signe un beau récit d’initiation.
Voici
Un conte amoral, solaire et voluptueux.
Critikat.com
À son meilleur, Une fille facile parvient à dessiner les linéaments d'un espace à géométrie variable, qui serait uniquement modelé par le désir de ses personnages.
Franceinfo Culture
Le film est solaire, il peut évoquer, et la cinéaste le revendique, les films "riviéra" fançais ou italien. D'ailleurs, Zahia Dehar n'est pas sans rappeler Brigitte Bardot dans les années 60.
Le Figaro
Une fille facile devrait être une comédie. L’esprit de sérieux de Zlotowski plombe ces vacances solaires. La cinéaste est une cérébrale, normalienne, agrégée de lettres. (...) Tant pis pour le jeu, la fantaisie et la sensualité incarnée par Zahia Dehar. L’ex-escort-girl reste un fantasme de bourgeoise intello. Elle mériterait un film à son image, sauvage et provocateur.
Le Parisien
« Une Fille facile » est un conte sensuel, irradié par le naturel bluffant de Mina Farid et par la lascivité de Zahia Dehar.
Paris Match
Étude de la beauté et de la sexualité comme armes de progression sociale en milieu tempéré, ce film de vacances gorgé de désir est une remise à zéro des compteurs pour retrouver le goût des premières fois et l'envie d'avoir envie.
Première
Zahia constitue le cœur, le corps et l’âme du film, qui perd d’ailleurs de sa puissance dès qu’elle quitte le cadre. Le choix de faire vivre ce récit à travers le regard de sa cousine de 16 ans le fait trop souvent bifurquer vers le registre plus banal de la coming of age story. Mais, sur la longueur, le film sait résister à cet écueil (...).
Télé Loisirs
La réalisatrice Rebecca Zlotowski interroge avec finesse la féminité et la violence des rapports de classe.
Cahiers du Cinéma
La cinéaste adopte finalement une position de surplomb, qui manque un peu de tact, tant dans sa façon de faire valoir la profondeur de son héroïne que d’articuler une critique sociale.
L'Express
L'histoire n'a que peu d'intérêt (prévisible de bout en bout, grossièrement dramatisée) et Zahia est une très mauvaise comédienne (mais personne ne lui demandait sans doute d'être bonne).
Transfuge
Tarte à la crème de la "profondeur psychologique" qui réduit le film à une illustration pesante du proverbe "l'habit ne fait pas le moine".
aVoir-aLire.com
Si Rebecca Zlotowski est indéniablement une grande réalisatrice française, elle se perd avec ce portrait de fille facile dans un fatras de vacuité, en réduisant son héroïne principale à une caricature d’un autre temps.