Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
BIBA
par Lili Yubari
À travers cette comédie noire existentielle adaptée du best-seller très politiquement incorrect de John Fante, il s'amuse à dresser un portrait férocement drôle de la vie de famille.
CNews
par La rédaction
C’est drôle, grinçant, cynique.
Closer
par La Rédaction
Une comédie drôlement convaincante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Sous ses apparences de film conjugal vachard, l’histoire raconte ce qu’être quinqua génère (...) Yvan Attal joue bien Fante, son cynisme salvateur, trash, barré, insolent, loufoque, bourré de saillies verbales aussi féroces que caustiques. Le chiant et son chien, sous des airs faussement méchants, est une tragicomédie loufoque au poil.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
L'adaptation est audacieuse, mais fidèle à l'essentiel. Voilà un film extra.
L'Express
par Christophe Carrière
A la mise en scène particulièrement soignée s'ajoute également un savoureux casting de seconds rôles (Pascale Arbillot, Eric Ruf, Sébastien Thierry...), l'ensemble faisant de ce focus sur la crise de la cinquantaine un bonheur joyeusement mordant.
Le Parisien
par La Rédaction
Yvan Attal, formidable dans le rôle du héros et bien épaulé par celle qui partage sa vie, Charlotte Gainsbourg, signe un film hors-norme épatant, qui donne matière à réfléchir…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Une comédie noire, grinçante et politiquement incorrecte. Bien vu.
Positif
par Philippe Rouyer
La qualité de ce troisième volet tient au jeu savoureux entre la part d'autobiographie et la fidélité au roman.
Première
par Sophie Benamon
POUR : Mon chien Stupide n’est pas un John Fante comme les autres. (...) Yvan Attal, s’il l’a modernisé, a rendu le propos plus universel et révèle une comédie au vitriol sur le couple et la famille. En s’appropriant l’œuvre de Fante à sa manière, il signe un de ses films les plus personnels et les plus touchants.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Jessica Saval
Vraie-fausse ode au cynisme, Mon Chien Stupide flirte vite avec une mélancolie sourde et c’est là qu’elle prend véritablement son envol. Peu importe que la vie fasse mal, le plus important c’est de continuellement la remettre en question… et se remettre en question, non sans se départir d’un soupçon de mauvaise foi et d’une dose homéopathique de misanthropie.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Goguenard, toujours prêt à contredire la pensée dominante et les bons sentiments, Yvan Attal attaque la famille au bazooka pour finir sur une note tendrement mélancolique, le constat du temps qui passe et l’espoir d’un amour qui dure.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Le style de Fante a du punch, le film d'Attal aussi, la tendresse en plus. Il est rythmé, drôle, mordant, les personnages profondément attachants.
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
C’est déjanté et grinçant, subtil et touchant. En un mot : brillant.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La deuxième partie tourne également un peu en rond et aurait gagné en rythme si elle était un peu raccourcie. "Mon chien Stupide" n’en est pas moins une réussite et loin d’être bête.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Jérôme Garcin
Adapter le roman de John Fante était une bonne manière, pour le réalisateur, de relever, sous abri, la température de son propre couple. La meilleure scène du film est la plus éloquente : assis face à face sur un canapé, épuisés après la bataille, ils se passent un joint et se chuchotent des souvenirs, des regrets, qu’ils appellent à la rescousse pour se protéger de l’avenir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Le réalisateur en joue habilement pour s’interroger, avec humour et autodérision, sur le temps qui passe, l’usure des sentiments, la paternité ou encore la difficulté pour un artiste de concilier carrière et vie de famille. Il le fait avec plus de talent pour la tendresse que pour le cynisme.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le cynisme atteint un niveau stratosphérique, on rit devant le burlesque de certaines situations. Puis, à mi-parcours, la crise conjugale se fait crise personnelle, plus mélancolique, et révèle un être médiocre, et très autocentré. Un peu comme le film d’ailleurs, à la fois séduisant et irritant, drôle et lassant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une honnête adaptation du roman de John Fante, qu’Yvan Attal s’approprie de façon ostensiblement personnelle, sans le détachement de l’humour qui lui eût apporté un peu de la légèreté qui lui manque.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Si les états d’âme d’Henri se veulent attendrissants, ils se regardent sans passion - sans ennui non plus. Un film déprimant sur la dépression.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un peu moins corrosif que l’œuvre originale, son film en garde malgré tout le ton et la profondeur.
Voici
par A.V.
Un récit sympathique de la crise existentielle d'un quinqua (...).
aVoir-aLire.com
par Eric Françonnet
Cette comédie à la tonalité sombre et qui se veut avant tout familiale, est un pari filmique pour Yvan Attal. En cela le film est une réussite.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Cette comédie familiale à l’humour féroce, adaptée du livre posthume de John Fante, manque de mordant à trop forcer le trait.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Même en s’empêchant de penser à ce que les Coen auraient pu faire du roman de Fante, cette adaptation, fidèle mais laborieuse, déçoit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
De cette matière triviale sublimée par la faconde irrésistiblement acide de l’écrivain, dégommant les cadres du bonheur conjugal et familial, ne restent que des accessoires de jeu peu reluisants (la misanthropie, le machisme, le grivois) et le geste, plus inoffensif qu’insolent, d’un admirateur se fantasmant comme le rescapé d’un monde en perdition.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thomas Baurez
CONTRE : On voit bien que le cinéaste aimerait se voir en Cassavetes séduisant sa Rowlands, témoin cette scène gênante sur le canapé où les vapeurs d’un joint autorisent une complicité de couple devenue inédite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Charlotte Gainsbourg, en épouse dépressive d’un auteur improductif, éclaire cette adaptation poussive de John Fante. Où Yvan Attal flirte avec l’autofiction.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
BIBA
À travers cette comédie noire existentielle adaptée du best-seller très politiquement incorrect de John Fante, il s'amuse à dresser un portrait férocement drôle de la vie de famille.
CNews
C’est drôle, grinçant, cynique.
Closer
Une comédie drôlement convaincante.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Sous ses apparences de film conjugal vachard, l’histoire raconte ce qu’être quinqua génère (...) Yvan Attal joue bien Fante, son cynisme salvateur, trash, barré, insolent, loufoque, bourré de saillies verbales aussi féroces que caustiques. Le chiant et son chien, sous des airs faussement méchants, est une tragicomédie loufoque au poil.
Femme Actuelle
L'adaptation est audacieuse, mais fidèle à l'essentiel. Voilà un film extra.
L'Express
A la mise en scène particulièrement soignée s'ajoute également un savoureux casting de seconds rôles (Pascale Arbillot, Eric Ruf, Sébastien Thierry...), l'ensemble faisant de ce focus sur la crise de la cinquantaine un bonheur joyeusement mordant.
Le Parisien
Yvan Attal, formidable dans le rôle du héros et bien épaulé par celle qui partage sa vie, Charlotte Gainsbourg, signe un film hors-norme épatant, qui donne matière à réfléchir…
Le Point
Une comédie noire, grinçante et politiquement incorrecte. Bien vu.
Positif
La qualité de ce troisième volet tient au jeu savoureux entre la part d'autobiographie et la fidélité au roman.
Première
POUR : Mon chien Stupide n’est pas un John Fante comme les autres. (...) Yvan Attal, s’il l’a modernisé, a rendu le propos plus universel et révèle une comédie au vitriol sur le couple et la famille. En s’appropriant l’œuvre de Fante à sa manière, il signe un de ses films les plus personnels et les plus touchants.
Rolling Stone
Vraie-fausse ode au cynisme, Mon Chien Stupide flirte vite avec une mélancolie sourde et c’est là qu’elle prend véritablement son envol. Peu importe que la vie fasse mal, le plus important c’est de continuellement la remettre en question… et se remettre en question, non sans se départir d’un soupçon de mauvaise foi et d’une dose homéopathique de misanthropie.
Sud Ouest
Goguenard, toujours prêt à contredire la pensée dominante et les bons sentiments, Yvan Attal attaque la famille au bazooka pour finir sur une note tendrement mélancolique, le constat du temps qui passe et l’espoir d’un amour qui dure.
Télé 7 Jours
Le style de Fante a du punch, le film d'Attal aussi, la tendresse en plus. Il est rythmé, drôle, mordant, les personnages profondément attachants.
Télé Loisirs
C’est déjanté et grinçant, subtil et touchant. En un mot : brillant.
Franceinfo Culture
La deuxième partie tourne également un peu en rond et aurait gagné en rythme si elle était un peu raccourcie. "Mon chien Stupide" n’en est pas moins une réussite et loin d’être bête.
L'Obs
Adapter le roman de John Fante était une bonne manière, pour le réalisateur, de relever, sous abri, la température de son propre couple. La meilleure scène du film est la plus éloquente : assis face à face sur un canapé, épuisés après la bataille, ils se passent un joint et se chuchotent des souvenirs, des regrets, qu’ils appellent à la rescousse pour se protéger de l’avenir.
La Croix
Le réalisateur en joue habilement pour s’interroger, avec humour et autodérision, sur le temps qui passe, l’usure des sentiments, la paternité ou encore la difficulté pour un artiste de concilier carrière et vie de famille. Il le fait avec plus de talent pour la tendresse que pour le cynisme.
La Voix du Nord
Le cynisme atteint un niveau stratosphérique, on rit devant le burlesque de certaines situations. Puis, à mi-parcours, la crise conjugale se fait crise personnelle, plus mélancolique, et révèle un être médiocre, et très autocentré. Un peu comme le film d’ailleurs, à la fois séduisant et irritant, drôle et lassant.
Le Dauphiné Libéré
Une honnête adaptation du roman de John Fante, qu’Yvan Attal s’approprie de façon ostensiblement personnelle, sans le détachement de l’humour qui lui eût apporté un peu de la légèreté qui lui manque.
Le Figaro
Si les états d’âme d’Henri se veulent attendrissants, ils se regardent sans passion - sans ennui non plus. Un film déprimant sur la dépression.
Le Journal du Dimanche
Un peu moins corrosif que l’œuvre originale, son film en garde malgré tout le ton et la profondeur.
Voici
Un récit sympathique de la crise existentielle d'un quinqua (...).
aVoir-aLire.com
Cette comédie à la tonalité sombre et qui se veut avant tout familiale, est un pari filmique pour Yvan Attal. En cela le film est une réussite.
Le Monde
Cette comédie familiale à l’humour féroce, adaptée du livre posthume de John Fante, manque de mordant à trop forcer le trait.
Les Fiches du Cinéma
Même en s’empêchant de penser à ce que les Coen auraient pu faire du roman de Fante, cette adaptation, fidèle mais laborieuse, déçoit.
Les Inrockuptibles
De cette matière triviale sublimée par la faconde irrésistiblement acide de l’écrivain, dégommant les cadres du bonheur conjugal et familial, ne restent que des accessoires de jeu peu reluisants (la misanthropie, le machisme, le grivois) et le geste, plus inoffensif qu’insolent, d’un admirateur se fantasmant comme le rescapé d’un monde en perdition.
Première
CONTRE : On voit bien que le cinéaste aimerait se voir en Cassavetes séduisant sa Rowlands, témoin cette scène gênante sur le canapé où les vapeurs d’un joint autorisent une complicité de couple devenue inédite.
Télérama
Charlotte Gainsbourg, en épouse dépressive d’un auteur improductif, éclaire cette adaptation poussive de John Fante. Où Yvan Attal flirte avec l’autofiction.