Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Marianne
par Olivier De Bruyn
Réfractaire aux surenchères pseudo-spectaculaires, ennemie jurée des explications rassurantes et des dénonciations binaires (la cinéaste ne surfe sur aucun opportunisme post-#MeToo), ce film subtil et dérangeant sonde les zones d'ombre et les contradictions d'une héroïne ambiguë, prisonnière de ses silences, de son orgueil, et complice sans s'en apercevoir d'une domination masculine [...].
Marie Claire
par Emily Barnett
Antimanichéen, ce premier film allemand décrit un cheminement moral complexe et fertile en questionnements dans une mise en scène tirée au cordeau.
BIBA
par Lili Yubari
Une victime peut-elle décider de ne pas l'être ? La comédienne Aenne Schwarz, géniale, incarne une réponse passionnante.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un drame terrassant qui cristallise notre époque, comprend la femme d’aujourd’hui et réinvestit avec intelligence et compassion le basculement #MeToo au-delà du slogan.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Aenne Schwarz est saisissante de justesse, dans la peau de ce personnage un peu flottant, entre deux âges, entre deux vies, confronté à des choix professionnels et sentimentaux.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Dominique Widemann
Par des débuts très bien retenus la réalisatrice Eva Trobisch parvient à nouer un attachement au personnage et, de là, à soutenir notre attention. La comédienne Aenne Schwarz, incroyable mouvement qui modère, contribue en grand.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
[...] en préférant le non-dit à l’expression hurlante du drame, la réalisatrice ne fait pas que se distinguer, elle construit avec une rare puissance les ravages d’une tragédie enfouie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Quelques mois après #MeToo et #BalanceTonPorc, le film explore la zone grise du non-consentement assorti de déni, de remords, de regrets, d’intimité forcée, d’oubli impossible. Et au-delà, il souligne avec force et délicatesse cette capacité qu’ont les femmes à supporter.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Clarisse Fabre
Mais le film révèle d’excellents comédiens – Aenne Schwarz, qui vient du théâtre, a obtenu le Prix de la meilleure actrice à Angers. Le féminisme de son personnage réside dans cette volonté féroce d’être plus forte que l’agresseur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Clinique et anti-romanesque, mais dépourvu du moindre cynisme, "Comme si de rien n’était" ressemble fort à une refloraison du cinéma allemand par la voie d’une jeune réalisatrice inconnue qui ne devrait pas le rester.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Le subtil premier film de l’Allemande Eva Trobisch suit le parcours social et psychologique d’une éditrice qui a subi un viol, réussissant à aborder le sujet de l’agression sexuelle sans pathos ni sensationnalisme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Alain Masson
On peut certes regretter que ce premier long métrage se disperse un peu dans des intrigues secondaires [...] qui nuisent à la concision abrupte de la mise en scène. Mais il présente une vision neuve de l'autonomie féminine, cette profondeur du silence à laquelle le cinéma peut rendre justice mieux qu'aucun autre art.
Télérama
par Mathilde Blottière
Le film ne juge ni n’assène aucune leçon. Il restitue, brillamment mais cliniquement, les effets d’une bombe à retardement. En roc se découvrant soudain friable, l’actrice Aenne Schwarz est impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Avec un réalisme rare, la réalisatrice allemande Eva Trobisch décortique les conséquences insidieuses du déni.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Troublant. C’est l’adjectif qui convient le mieux à la vue de ce premier film de l’Allemande Eva Trobisch qui explore l’envers de l’émancipation féminine et les dégâts que peut causer la volonté de tout contrôler.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
L’exigence esthétique avec laquelle ce film de fin d’études est mené accompagne magnifiquement, par le cadre, le trajet de cette femme qui refuse refuse d’être victime.
Le Figaro
par La rédaction
Un film sur le déni bien écrit et bien joué mais qui ne transcende pas son sujet.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La mise en scène clinique suit les étapes de sa descente aux enfers en s’appuyant sur un scénario subtil qui fera débat.
Le Parisien
par Catherine Balle
"Comme si de rien n’était" montre le viol sous un jour non pas sensationnaliste, mais réaliste et troublant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Thierry Chèze
On est dans la tête de cette femme étouffant d’une douleur et d’une haine impossibles à enfouir éternellement, campée par Aenne Schwarz, dont l’interprétation puissante et nuancée permet d’oublier quelques scories scénaristiques.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Ici, une fois conduit à ce point final de rupture nerveuse comme par épuisement, tout enjeu a aussi disparu, laissant l’impression d’un film qui est demeuré pieds et poings liés à cette courbe psychologique comme à son seul programme.
Critikat.com
par Pierre Gras
Le problème le plus important réside toutefois dans le style vériste du film, qui débouche sur un systématisme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Marianne
Réfractaire aux surenchères pseudo-spectaculaires, ennemie jurée des explications rassurantes et des dénonciations binaires (la cinéaste ne surfe sur aucun opportunisme post-#MeToo), ce film subtil et dérangeant sonde les zones d'ombre et les contradictions d'une héroïne ambiguë, prisonnière de ses silences, de son orgueil, et complice sans s'en apercevoir d'une domination masculine [...].
Marie Claire
Antimanichéen, ce premier film allemand décrit un cheminement moral complexe et fertile en questionnements dans une mise en scène tirée au cordeau.
BIBA
Une victime peut-elle décider de ne pas l'être ? La comédienne Aenne Schwarz, géniale, incarne une réponse passionnante.
CinemaTeaser
Un drame terrassant qui cristallise notre époque, comprend la femme d’aujourd’hui et réinvestit avec intelligence et compassion le basculement #MeToo au-delà du slogan.
Franceinfo Culture
Aenne Schwarz est saisissante de justesse, dans la peau de ce personnage un peu flottant, entre deux âges, entre deux vies, confronté à des choix professionnels et sentimentaux.
L'Humanité
Par des débuts très bien retenus la réalisatrice Eva Trobisch parvient à nouer un attachement au personnage et, de là, à soutenir notre attention. La comédienne Aenne Schwarz, incroyable mouvement qui modère, contribue en grand.
L'Obs
[...] en préférant le non-dit à l’expression hurlante du drame, la réalisatrice ne fait pas que se distinguer, elle construit avec une rare puissance les ravages d’une tragédie enfouie.
La Voix du Nord
Quelques mois après #MeToo et #BalanceTonPorc, le film explore la zone grise du non-consentement assorti de déni, de remords, de regrets, d’intimité forcée, d’oubli impossible. Et au-delà, il souligne avec force et délicatesse cette capacité qu’ont les femmes à supporter.
Le Monde
Mais le film révèle d’excellents comédiens – Aenne Schwarz, qui vient du théâtre, a obtenu le Prix de la meilleure actrice à Angers. Le féminisme de son personnage réside dans cette volonté féroce d’être plus forte que l’agresseur.
Les Inrockuptibles
Clinique et anti-romanesque, mais dépourvu du moindre cynisme, "Comme si de rien n’était" ressemble fort à une refloraison du cinéma allemand par la voie d’une jeune réalisatrice inconnue qui ne devrait pas le rester.
Libération
Le subtil premier film de l’Allemande Eva Trobisch suit le parcours social et psychologique d’une éditrice qui a subi un viol, réussissant à aborder le sujet de l’agression sexuelle sans pathos ni sensationnalisme.
Positif
On peut certes regretter que ce premier long métrage se disperse un peu dans des intrigues secondaires [...] qui nuisent à la concision abrupte de la mise en scène. Mais il présente une vision neuve de l'autonomie féminine, cette profondeur du silence à laquelle le cinéma peut rendre justice mieux qu'aucun autre art.
Télérama
Le film ne juge ni n’assène aucune leçon. Il restitue, brillamment mais cliniquement, les effets d’une bombe à retardement. En roc se découvrant soudain friable, l’actrice Aenne Schwarz est impressionnante.
aVoir-aLire.com
Avec un réalisme rare, la réalisatrice allemande Eva Trobisch décortique les conséquences insidieuses du déni.
La Croix
Troublant. C’est l’adjectif qui convient le mieux à la vue de ce premier film de l’Allemande Eva Trobisch qui explore l’envers de l’émancipation féminine et les dégâts que peut causer la volonté de tout contrôler.
La Septième Obsession
L’exigence esthétique avec laquelle ce film de fin d’études est mené accompagne magnifiquement, par le cadre, le trajet de cette femme qui refuse refuse d’être victime.
Le Figaro
Un film sur le déni bien écrit et bien joué mais qui ne transcende pas son sujet.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène clinique suit les étapes de sa descente aux enfers en s’appuyant sur un scénario subtil qui fera débat.
Le Parisien
"Comme si de rien n’était" montre le viol sous un jour non pas sensationnaliste, mais réaliste et troublant.
Première
On est dans la tête de cette femme étouffant d’une douleur et d’une haine impossibles à enfouir éternellement, campée par Aenne Schwarz, dont l’interprétation puissante et nuancée permet d’oublier quelques scories scénaristiques.
Cahiers du Cinéma
Ici, une fois conduit à ce point final de rupture nerveuse comme par épuisement, tout enjeu a aussi disparu, laissant l’impression d’un film qui est demeuré pieds et poings liés à cette courbe psychologique comme à son seul programme.
Critikat.com
Le problème le plus important réside toutefois dans le style vériste du film, qui débouche sur un systématisme.