Avis : Midsommar - Page 3

Nul nul nul et nul.
Rien à sauver dans cette daube prétentieuse.
Long ennuyeux musique insupportable histoire sans queue ni tête. À eviter

Extra ordinaire, au sens littéral. Ce film est un OVNI, porté par une caméra au top et une musique presque premier rôle. Quel claque!

#Midsommar  n’est pas la claque promise. #AriAster  se perd dans un propos interminable et relativement vide d’intérêt sur une communauté alternative. Les ressorts horrifiques demeurent assez sages. On est bien loin de la profondeur et de la terreur de #Hérédité.

https://onsefaituncine.com/2019/09/17/midsommar-retour-sur-la-fable-horrifique-de-ari-aster/?fbclid=IwAR25w--zjScLEfYXEpxV4FwjNdwYn7cjwOzcfxGGoTbAMxpd2-bKZVvqs5I

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Ce film est un piège qui se referme sur nous malheureusement.
C’est beau, c’est soigné esthétiquement, mais c’est détestable. D’abord, parce que le film dure, mais dure et n’en finit pas. Ensuite, parce qu’on devine les calamités avant qu’elles n’arrivent et avant les personnages. Enfin, parce qu’à chaque image, le réalisateur semble dire : « Voyez comme je suis excellent », et cette autosatisfaction est très pénible. L’histoire ? Un groupe d’étudiants américains est invité dans une secte suédoise, où tout le monde est beau, tout le monde est gentil, mais c’est une façade trompeuse. On joue du flûtiau, on se balade au soleil, on s’habille en blanc, on communie dans les rites, et, en fait, on est chez des monstres, tout cela au nom de certaines pratiques.
La salle qui n'était pourtant pas bien remplie au début, s'est vidée peu à peu, logique.

Grande fan de son premier film « Hérédité », Ari Aster revient avec un thème semblable mais dans un contexte totalement différent : les personnages vont être peu à peu prisonniers d'une longue situation qui leur échappe, comme si leurs destins semblent scellés. Mais cette fois-ci, cette tragédie se déroule dans un petit village de Suède, coupé du monde où la nuit n'existe pas.
La communauté (secte) qui y vit paraît charmante aux premiers abords bien qu'étrange. Mais leurs coutumes vont transformer ce petit coin de paradis en lent et douloureux cauchemar pour nos hôtes.
Le casting est impeccable, la sensation de malaise plane tout du long et la réalisation est très soignée. Moins percutant qu'Hérédité pour ma part, mais qui laisse tout de même une sensation de mauvais trip en sortant de la salle. Tant mieux, mon but en allant voir ce film était d'être dérangée et marquée par certaines scènes, c'est réussi.

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IN-TER-MiNABLE...Ok certe trés esthétique dans les costumes etc , début de l'histoire est accrochante , les trips , suspenses, images choc , la jeune fille joue bien , manière de filmer est intéressante .On se dit tiens un film d'horreur qui sort de l'ordinaire c'est cool. Mais l'histoire n'a plus de sens fin au bout d'un moment , il y a des longueurs , on s'ennuie...Alors je ne sais pas si il faut avoir fait une grande école de cinémas pour comprendre ce le "Film d'auteur d'épouvante" ou clairement si c'est une daube !!

C'est l'été, nous sommes en Suède avec quelques jeunes touristes américains venus découvrir un festival rare et costumé dans un village perdu. Les festivités s'annoncent étranges et originales...
Autant le dire tout de suite, ce film ne laisse pas indifférent : on aime ou on déteste, mais ce mélange des genres surprend forcément et peut plaire ou totalement choquer !
En effet, oser faire le pari d'un thriller horrifique engagé, esthétique et gore à la fois est étonnant, risqué et très déconcertant.
Mon ressenti final reste totalement mitigé : autant la réalisation globale est sublime et léchée (bravo à Ari Aster), autant l'histoire déçoit vraiment au niveau de l'intensité et du dénouement.
J'ai également trouvé le format trop long (2h27) et malgré de bonnes idées pour dénoncer l'absurdité des sectes, l'ajout de quelques scènes crues et indigestes nuit à la puissance dénonciatrice de l'oeuvre.
Déroutant, dérangeant et brutal, tentez l'expérience si vous aimez la douce folie sordide : vous êtes prévenus !
Site www.cinemadourg.free.fr

Après Hérédité, Ari Aster confirme qu’il est un réalisateur à l’univers original avec Midsommar. Toutefois, cette fois, le résultat est moins convaincant car ce second film est trop long et n’arrive pas à réellement rendre le tout effrayant mais juste intrigant et un peu ennuyant à la longue (la fin semble trop tirer en longueur). Cette plongée dans une secte constitue donc une déception.

Un film qui est bien dans ses 2 premières heures. Ensuite du grand n'importe quoi. Ça n'a aucun intérêt et surtout quel est le but. La scène de sexe est à mourir de rire. La scène de danse pareil. Dommage car esthétiquement c'est beau et la mise en scène est top. On a une très belle musique. Après ceux qui on trouver le film choquant on pas du voir beaucoup de film trash et glauque. J'ai même lu beaucoup de gore. On est loin du final hard-core d'un Martyrs. Ou de la violence d'un Eden Lake. De très bon film on passe à film moyen. Par contre je comprend pas les éloges de certains.

Passé une première partie totalement maitrisé, subtile, tendu... Le cinéaste nous sert un plat trop bourratif, il en met trop, en rajoute des tonnes et du coup la tension se délite. Les personnages deviennent vraiment idiots (même si ils sont bien défoncés). Reste un film malsain, étrange avec des moments incroyables mais quel dommage que le réalisateur ne se soit pas limité dans ses effets. A vouloir en mettre plein la vue, on vit les tics et les intentions et on lache un peu l'histoire (surtout les moments très limites au niveau scénario)

Je lui accorde 1,5 étoiles parce qu'il a eu le mérite de me faire rire une bonne dizaine de fois. Certaines scènes sont tellement insensées et gênantes qu'on ne peut s'empêcher d'en rire. le jeu d'acteur, les décors et les musiques sont bons. Mais sur le fond, l'histoire est vide d'intérêt, complètement malsaine, lente et ennuyante. Tu sors avec la nette impression d'avoir perdu 2h30 de ta vie. Je ne recommande vraiment pas

Ari Aster sait nous mettre mal à l'aise, et ici Midsomar ne fait pas exception à cela. C'est dérangé que je regarde ce film jusqu'au bout, pourtant surpris sur ce que j'allais voir... mais agréablement bien sûr. C'est une sensation bizarre, mais j'ai aimé ce film, après plusieurs lectures je me suis rendu compte de beaucoup de choses.

Franchement les qualificatifs me manquent mais ma note suffit, un film tellement incohérent complètement ridicule , on y crois pas une seconde tellement c'est abusé dans la stupidité...

C'est bon, je me suis pris la claque horrifique que je voulais voir cette année.
Ari Aster nous avait pondu avec Hereditary un coup de maître, là le gars transforme l'essai et nous offre un film solaire horrifique des plus dérangeant et malsain qui soit.
2h20 où la tension ne fait qu'augmenter au fur et à mesure s'en jamais s'atténuer, avec une réalisation sublime et des plans magnétiques qui nous collent à la rétine.
La musique est tout aussi stressante et participe grandement à rendre le tout vraiment stressant et effrayant.
Les scènes chocs sont superbement bien rendus, et nous imprègnent d'images difficilement oubliables.
Les acteurs sont vraiment très bon, l'actrice principale est vraiment une belle découverte, je ne la connaissais pas mais son jeu est excellent, rien à redire.
Juste merci à Ari Aster de nous sortir ce genre de films, de ne pas faire une énième bouse horrifique à base de jump scare facile et autres claquements de portes... Merci de sortir ce petit joyau qui j'espère aura le succès qu'il mérite.
Vivement son prochain film, et foncez voir Midsommar !

Pour le second film d'Ari Aster, Midsommar nous invite dans un cauchemars folklorique remarquablement réalisé. Capté par l'univers que propose cette descente aux enfers, je regrette toutefois que les proies de ce périple (passant subitement d'environ 15 nouveaux festivaliers à 7) se contentent de subir l'action plutôt que de s'en émanciper. Là où des films comme Hostel, Green Inferno, Get out... plantent un décor morbide, ils entrouvrent sur leur dernier acte l'idée éventuelle d'une issue de secours. Ici rien n'échappe au contrôle de la fatalité, pas même leur jugeote (si l'on s'en réfère à quelques scènes macabres du film). Par ailleurs tout ce petit manège détient la fâcheuse tendance à incorporer multiples indices sur le sort de ces protagonistes nous ôtant alors tout effet de surprise lorsque leur tour arrive enfin ! Au final les enjeux sont pauvres (ou du moins malsains)  et nous sortons tous de la salle désemparés par le spectacle auxquels nous venons d'assister : pour ma part, des idées pleins les poches mais s'apparentant plus à un premier jet d'écriture.