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[C]e qui fait véritablement [la force du film] (…) c’est bien la façon dont ces idées sont mises en scène : comme un ballet, sur une scène concrète et en plein jour, un terrain où la parole, donc, rejoint l’action.
"Alice et le maire" est une brillante comédie sur la vanité du pouvoir et les incertitudes de la vocation, qui remet à l’heure quelques pendules éthiques et idéologiques. La mise en scène fluide, presque chorégraphique, a gagné en assurance, et le film se déploie avec un rythme virevoltant
Fabrice Luchini possède un flair inimitable pour choisir les films qui mettent son charisme en valeur. Comme dans Alice et le maire de Nicolas Pariser, où il incarne un homme politique à bout de souffle…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
À quelques mois des élections municipales, Nicolas Pariser débarque avec "Alice et le Maire", film intelligent et iconoclaste sur un milieu politique français à bout de souffle. Avec la talentueuse Anaïs Demoustier et Fabrice Luchini, sobre et délicat.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Sélectionnée à la Quinzaine des réalisateurs au Festival de Cannes en mai dernier, cette fable politique de Nicolas Pariser, portée par un duo d’acteurs ultracrédibles, est d’autant plus intéressante qu’elle sort à quelques mois des élections municipales.
Sous ses allures classiques, Alice et le Maire est un film d’une fausse sagesse. Deux adjectifs reviennent de manière récurrente dans le dialogue : « modeste » et « mordant », et leur accolement définit on ne peut mieux le film.
Fable cruelle, divertissante et acérée sur la médiocrité institutionnalisée de la politique française, "Alice et le maire" se suit avec beaucoup de plaisir, malgré une conclusion trop douce en regard de ce qui la précède.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Nicolas Pariser a l'élégance de ne pas noyer son spectateur dans des considérations psychologiques superflues, son récit reste fluide, léger, malgré la gravité de son propos : peut-on vraiment accorder la pensée et la pratique de la vie politicienne ?
A travers cette relation humaine autant que professionnelle, Nicolas Pariser livre une réflexion politique passionnante sur la confrontation entre la pensée et l’action.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La légèreté et la précision des dialogues, la fluidité du récit, la grâce des interprètes, rendent supportable – agréable même – le spectacle de cette impuissance. Ils ne l’empêchent pas d’être profondément troublante.
Nicolas Pariser poursuit son entreprise de vivisection du et de la politique française, avec une acuité discursive éblouissante et une foi inébranlable dans une pensée dialogale et démocratique depuis bien longtemps inopérante dans le landerneau des décideurs.
Alice et le maire n’est pas un film révolutionnaire, ni formellement ni politiquement, mais il croit en l’intelligence et en la clarté, pour ses personnages autant que pour ses spectateurs. Il ne se hisse jamais plus haut qu’eux, ne cherchant qu’à rendre partageables son savoir et sa pensée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
[...] un séduisant tandem, une satire politique mi-tendre mi-cruelle qui cultive l'art du paradoxe. Dommage qu'il suive parfois une pente trop didactique (beaucoup de dialogues) au détriment d'images plus subtiles.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Et si les seconds rôles sont un peu sacrifiés, Nicolas Pariser peut compter sur son formidable duo, Anaïs Demoustier et Fabrice Luchini, dont les jeux se complètent au fur et à mesure du récit comme deux solistes qui trouveraient peu à peu l'harmonie.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
A l’exception d’une belle parenthèse nocturne où Alice et le maire s’épanchent par téléphone sur leur sentiment d’impuissance au son de Debussy (...) « Alice et le maire » reste sagement cantonné à son programme de succédané rohmérien sur le thème de la désertion de la culture dans l’exercice de l’Etat.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
[...] un conte rohmérien comme son titre, avec des scènes joliment dialoguées mais jamais trop bavardes. Tout en croquant sans condescendance un monde politique coincé entre la théorie et l’action.
Dommage que le script tourne en rond au bout d’un moment, incapable de faire une percée plus consistante. Reste le plaisir de voir Anaïs Demoustier et Fabrice Luchini combattre sur le terrain des mots tandis que le réalisateur, Nicolas Pariser, enregistre le désenchantement du monde et l’effondrement lent de nos démocraties.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Il n'en demeure pas moins que le film ne satisfait pas complètement ce modeste projet, trop souvent emporté vers d’autres fronts, comme la satire un peu lourde du jargon des communicants et autres gestionnaires.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
Nicolas Pariser traite une question fondamentale : celle du rapport de la pensée et de l’action.
Le Figaro
Une fête des maires qui fait des étincelles.
Les Inrockuptibles
[C]e qui fait véritablement [la force du film] (…) c’est bien la façon dont ces idées sont mises en scène : comme un ballet, sur une scène concrète et en plein jour, un terrain où la parole, donc, rejoint l’action.
Positif
"Alice et le maire" est une brillante comédie sur la vanité du pouvoir et les incertitudes de la vocation, qui remet à l’heure quelques pendules éthiques et idéologiques. La mise en scène fluide, presque chorégraphique, a gagné en assurance, et le film se déploie avec un rythme virevoltant
Transfuge
[...] excellent et subtil [...].
20 Minutes
Fabrice Luchini possède un flair inimitable pour choisir les films qui mettent son charisme en valeur. Comme dans Alice et le maire de Nicolas Pariser, où il incarne un homme politique à bout de souffle…
BIBA
Enfin une comédie politique sur l'engagement dénuée de cynisme, filmée comme un conte rohmérien, où même Luchini arrive à la mettre sourdine.
Bande à part
À quelques mois des élections municipales, Nicolas Pariser débarque avec "Alice et le Maire", film intelligent et iconoclaste sur un milieu politique français à bout de souffle. Avec la talentueuse Anaïs Demoustier et Fabrice Luchini, sobre et délicat.
CNews
Sélectionnée à la Quinzaine des réalisateurs au Festival de Cannes en mai dernier, cette fable politique de Nicolas Pariser, portée par un duo d’acteurs ultracrédibles, est d’autant plus intéressante qu’elle sort à quelques mois des élections municipales.
Cahiers du Cinéma
Sous ses allures classiques, Alice et le Maire est un film d’une fausse sagesse. Deux adjectifs reviennent de manière récurrente dans le dialogue : « modeste » et « mordant », et leur accolement définit on ne peut mieux le film.
Ecran Large
Fable cruelle, divertissante et acérée sur la médiocrité institutionnalisée de la politique française, "Alice et le maire" se suit avec beaucoup de plaisir, malgré une conclusion trop douce en regard de ce qui la précède.
Femme Actuelle
Subtil et nuancé.
Franceinfo Culture
Nicolas Pariser a l'élégance de ne pas noyer son spectateur dans des considérations psychologiques superflues, son récit reste fluide, léger, malgré la gravité de son propos : peut-on vraiment accorder la pensée et la pratique de la vie politicienne ?
La Croix
A travers cette relation humaine autant que professionnelle, Nicolas Pariser livre une réflexion politique passionnante sur la confrontation entre la pensée et l’action.
La Septième Obsession
Un état des lieux politique d’une rare intelligence, entre dialectisme rohmerien et entomologie provinciale grinçante toute chabrolienne.
Le Monde
La légèreté et la précision des dialogues, la fluidité du récit, la grâce des interprètes, rendent supportable – agréable même – le spectacle de cette impuissance. Ils ne l’empêchent pas d’être profondément troublante.
Le Point
Un film brillant.
Les Fiches du Cinéma
Nicolas Pariser poursuit son entreprise de vivisection du et de la politique française, avec une acuité discursive éblouissante et une foi inébranlable dans une pensée dialogale et démocratique depuis bien longtemps inopérante dans le landerneau des décideurs.
Libération
Alice et le maire n’est pas un film révolutionnaire, ni formellement ni politiquement, mais il croit en l’intelligence et en la clarté, pour ses personnages autant que pour ses spectateurs. Il ne se hisse jamais plus haut qu’eux, ne cherchant qu’à rendre partageables son savoir et sa pensée.
Marie Claire
[...] un séduisant tandem, une satire politique mi-tendre mi-cruelle qui cultive l'art du paradoxe. Dommage qu'il suive parfois une pente trop didactique (beaucoup de dialogues) au détriment d'images plus subtiles.
Ouest France
Un film pétillant, drôle et intelligent.
Paris Match
Et si les seconds rôles sont un peu sacrifiés, Nicolas Pariser peut compter sur son formidable duo, Anaïs Demoustier et Fabrice Luchini, dont les jeux se complètent au fur et à mesure du récit comme deux solistes qui trouveraient peu à peu l'harmonie.
Télé Loisirs
[...] cette jolie fable offre un regard à la fois drôle et attendrissant sur les édiles.
Télérama
Refusant la facilité de la satire, le cinéaste fait l’audacieux pari de l’intelligence et de la lenteur dans une époque affolée par la réactivité.
L'Obs
A l’exception d’une belle parenthèse nocturne où Alice et le maire s’épanchent par téléphone sur leur sentiment d’impuissance au son de Debussy (...) « Alice et le maire » reste sagement cantonné à son programme de succédané rohmérien sur le thème de la désertion de la culture dans l’exercice de l’Etat.
La Voix du Nord
Anaïs Demoustier et Fabrice Luchini remarquables dans une fable pas suffisamment jubilatoire.
Le Journal du Dimanche
[...] un conte rohmérien comme son titre, avec des scènes joliment dialoguées mais jamais trop bavardes. Tout en croquant sans condescendance un monde politique coincé entre la théorie et l’action.
Première
Face à la vibrante Anaïs Demoustier, Fabrice Luchini tient son meilleur rôle depuis L’Hermine.
Sud Ouest
Dommage que le script tourne en rond au bout d’un moment, incapable de faire une percée plus consistante. Reste le plaisir de voir Anaïs Demoustier et Fabrice Luchini combattre sur le terrain des mots tandis que le réalisateur, Nicolas Pariser, enregistre le désenchantement du monde et l’effondrement lent de nos démocraties.
Télé 7 Jours
Fabrice Luchini et Anaïs Demoustier sont les subtils messagers de cette savoureuse variation du cogito : "Je pense, donc je suis".
Voici
Une fable psycho-politique hyperréaliste, dénuée de cynisme, et subtilement incarnée par l'excellent duo d'acteurs.
Critikat.com
Il n'en demeure pas moins que le film ne satisfait pas complètement ce modeste projet, trop souvent emporté vers d’autres fronts, comme la satire un peu lourde du jargon des communicants et autres gestionnaires.
Le Parisien
Le duo d’acteurs Anaïs Demoustier-Fabrice Luchini ne parvient pas à sauver le film de Nicolas Pariser, qui se révèle vite ennuyeux.
aVoir-aLire.com
Un film froid qui n’explore pas le potentiel et la sensibilité de Luchini.