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Et c'est ce fantasme-là, lumineux, tour à tour facétieux et poignant, des pleins pouvoirs de l'enfance, qui donne au film, dans ce monde en déréliction, miroir (à peine) brisé du Mexique d'aujourd'hui, sa belle vitalité.
Le cinéaste signe une œuvre protéiforme qui fait dialoguer l'onirique, l'abstrait, le figuratif, le conte, l'horrifique et le réalisme. Cette diversité constitue la limite du film, mais aussi sa force. En refusant l'unicité de ton, il se dote d'une large palette d'émotions.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ces limites n’empêchent pas Comprame un revolver d’arriver à ses fins : mettre sous les yeux du monde (enfin, de ceux de ses habitants qui voudront bien aller voir ce beau film) le sort des premières victimes de la violence de la guerre qui ravage l’Amérique centrale : les enfants.
En transposant le monde de Mark Twain dans le désert mexicain, le réalisateur nous montre la transformation d’une fillette en Huckleberry Finn. Le lien familial est constamment menacé par la violence et les enfants sont contraints de se débrouiller seuls.
"Cómprame un Revólver" n’a rien du film du siècle. Mais il possède un côté vibrant, rapide dans son geste à peine esquissé, abrupt, un peu délirant sans rechercher la poésie, qui lui donne une vie étrange.
Ce sous-Mad Max dans un Mexique dystopique, dominé par les cartels, raconte la survie tourmentée d’un père toxico et de sa fille, sur un terrain de base-ball abandonné. N’est pas George Miller ou Quentin Tarantino qui veut.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Tous ces éléments militants sont présents dans un film dont l’ancrage dans le réel fait une œuvre puissante, en prise directe avec son temps.
Le Figaro
Impressionnant et éprouvant.
Rolling Stone
Avec Cómprame un revólver, le quotidien des cartels mexicains s’expose dans toute sa sécheresse et sa cruauté.
Transfuge
Et c'est ce fantasme-là, lumineux, tour à tour facétieux et poignant, des pleins pouvoirs de l'enfance, qui donne au film, dans ce monde en déréliction, miroir (à peine) brisé du Mexique d'aujourd'hui, sa belle vitalité.
L'Obs
Le cinéaste signe une œuvre protéiforme qui fait dialoguer l'onirique, l'abstrait, le figuratif, le conte, l'horrifique et le réalisme. Cette diversité constitue la limite du film, mais aussi sa force. En refusant l'unicité de ton, il se dote d'une large palette d'émotions.
Le Monde
Ces limites n’empêchent pas Comprame un revolver d’arriver à ses fins : mettre sous les yeux du monde (enfin, de ceux de ses habitants qui voudront bien aller voir ce beau film) le sort des premières victimes de la violence de la guerre qui ravage l’Amérique centrale : les enfants.
Les Fiches du Cinéma
En transposant le monde de Mark Twain dans le désert mexicain, le réalisateur nous montre la transformation d’une fillette en Huckleberry Finn. Le lien familial est constamment menacé par la violence et les enfants sont contraints de se débrouiller seuls.
Les Inrockuptibles
"Cómprame un Revólver" n’a rien du film du siècle. Mais il possède un côté vibrant, rapide dans son geste à peine esquissé, abrupt, un peu délirant sans rechercher la poésie, qui lui donne une vie étrange.
Positif
S'il nous laisse sur notre envie de cinéma, "Cómprame un Revólver" ne manque pas de maîtrise stylistique.
Le Journal du Dimanche
On adhère ou non à une proposition qui ne manque pas d’audace.
Télérama
Ce sous-Mad Max dans un Mexique dystopique, dominé par les cartels, raconte la survie tourmentée d’un père toxico et de sa fille, sur un terrain de base-ball abandonné. N’est pas George Miller ou Quentin Tarantino qui veut.