Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
“Sauvage”, comme son titre l’indique, n’est pas très civilisé. Il est même barbare dans sa matière brute (...). Le style paraît être celui d’un documentaire, plus ou moins embusqué, c’est-à-dire à une certaine distance qui n’a rien à voir avec la pudeur ou la prudence.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Voici
par Lola Sciamma
Félix Maritaud est magistral.
20 Minutes
par Caroline Vié
Une chose est certaine : le talent de Félix Maritaud saute aux yeux comme une évidence.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Pélisson
Un grand cri d‘amour étouffé. Et la révélation d’un réalisateur et d’un acteur. Entre détermination et fragilité.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Renan Cros
Comme si les Dardenne avaient réécrit Hustler White de Bruce LaBruce, Sauvage capture la réalité crue pour en faire du cinéma tendu, vivant, en un mot humain.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Le désir de ce personnage de se sauver donne à Sauvage une pulsation héroïque. Sauvage n'est ni indigne, ni vulgaire, ni sordide.
Ecran Large
par Simon Riaux
Rarement titre aura été aussi adapté à un premier film, qui scrute la prostitution masculine avec un regard aux airs d'élan vital.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Khadija Kouyaté
POUR : Un titre puissant qui insuffle une sensation de nature et de liberté. Le film ne décevra pas cette promesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Dans les errements de Léo, ce premier film trouve sa vérité, sa fébrilité et sa sauvagerie, au sens pasolinien.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Corps enlacés, corps meurtris et souffrants, sauvés par la douceur de la caresse : Camille Vidal-Naquet porte un regard bienveillant et emphatique sur ces « tapins ». Il ne juge jamais ses personnages, mais les accompagne dans leur quête sentimentale.
Le Figaro
par Jean Talabot
POUR : Le prometteur Felix Maritaud, dont la hargne avait illuminé 120 battements par minute, se découvre bouleversant dans ce long-métrage de Camille Vidal-Naquet.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré un scénario convenu et parfois répétitif, on est captivé par ce récit tragique porté par le charisme dévastateur de Félix Maritaud.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Le portrait d’un jeune prostitué en quête de tendresse, interprété avec intensité par Félix Maritaud
Libération
par Marcos Uzal
Aussi brut que sentimental, le premier long métrage de Camille Vidal-Naquet transcende les écueils glauques de son sujet, notamment grâce à la révélation Félix Maritaud.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par La Rédaction
Un portrait à vif.
Paris Match
par Yannick Vely
Premier film percutant sur la prostitution masculine, «Sauvage» de Camille Vidal-Naquet révèle un grand espoir du cinéma français : Félix Maritaud.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par Jessica Saval
Si la nudité ou la violence - parfois extrême - de "Sauvage" ne surprennent presque plus après la première passe, son réalisme poisseux est tout bonnement remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un beau premier long métrage.
Transfuge
par Nathalie Dassa
La force de ce premier coup d’essai, on la doit surtout à son interprète, Félix Maritaud. Il offre une palette riche d’émotions, s’abandonnant à son personnage solaire qui racole sur la voie publique, dans les bois, bars et boîtes de nuit.
Télérama
par Louis Guichard
Camille Vidal-Naquet emmènera ainsi son héros en fuite vers un inquiétant tableau final, poétique et trouble, impossible à oublier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un véritable coup de poing qui confirme la vitalité du jeune cinéma d’auteur français.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Juliette Goffart
La seconde nature de Sauvage, celle du portrait d’un marginal situé à la lisière de l’échappée picaresque, dégage quant à elle un indéniable vent de fraîcheur à travers les traits de ce jeune intranquille, condamné à rester l’œil de son propre cyclone.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un film âpre, parfois éprouvant, mais avec aussi une leçon de vie ouverte sur une note d’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Ce premier film porte bien son titre. Parfois trop (...). Mais il y a là un cinéaste évident qui va s'affirmer au cours des ans, pour peu qu'il se fasse confiance.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce tableau très sombre d’une réalité sociale de notre pays serait certainement insoutenable si le cinéaste et Félix Maritaud, l’acteur qui incarne Léo, n’avaient donné au personnage une dimension solaire.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Puissant, romanesque et ambitieux dans sa ténacité, "Sauvage" ne pâtit finalement que de son système, fait de blocs elliptiques diversement inspirés, qui confère une arythmie certaine à l’ensemble, aussi sidérante par instants, qu’exsangue par d’autres.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Un film coup de poing, très cru et parfois complaisant, mais qui est porté par la présence brute de Félix Maritaud
Positif
par Ariane Allard
Le réalisateur suit au plus près, dans l'instant, la dérive de ce jeune prostitué qui cherche l'amour. Zappant toute explication et tout jugement. Une approche physique qui sonne d'autant plus juste que la caméra semble aimantée par Félix Maritaud, le comédien qui incarne (intensément) ce garçon primitif.
Première
par Christophe Narbonne
Camille Vidal-Naquet signe un premier film éprouvant mais bouleversant sur un jeune prostitué en rupture de ban.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Cyril Bégin
Platement filmé, Sauvage s’accroche caméra à l’épaule à son acteur, Félix Maritaud, comme à la bouée de sauvetage de sa mise en scène. Il fait bien : c’est la douceur cassée de Maritaud qui sauve le film d’une paradoxale fadeur.
L'Humanité
par Vincent Ostria
CONTRE : Avec un sujet similaire, le minimaliste Brothers of the night de Patric Chiha allait plus loin en baroquisant le réel. Ici, on en reste à la tranche de vie âpre et naturaliste, sans vrai projet esthétique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Point
par Catherine Balle
Sauvage se révèle d'une grande justesse. Mais il manque au film une trajectoire.
Le Figaro
par La Rédaction
CONTRE : Un peu fastidieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
“Sauvage”, comme son titre l’indique, n’est pas très civilisé. Il est même barbare dans sa matière brute (...). Le style paraît être celui d’un documentaire, plus ou moins embusqué, c’est-à-dire à une certaine distance qui n’a rien à voir avec la pudeur ou la prudence.
Voici
Félix Maritaud est magistral.
20 Minutes
Une chose est certaine : le talent de Félix Maritaud saute aux yeux comme une évidence.
Bande à part
Un grand cri d‘amour étouffé. Et la révélation d’un réalisateur et d’un acteur. Entre détermination et fragilité.
CinemaTeaser
Comme si les Dardenne avaient réécrit Hustler White de Bruce LaBruce, Sauvage capture la réalité crue pour en faire du cinéma tendu, vivant, en un mot humain.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le désir de ce personnage de se sauver donne à Sauvage une pulsation héroïque. Sauvage n'est ni indigne, ni vulgaire, ni sordide.
Ecran Large
Rarement titre aura été aussi adapté à un premier film, qui scrute la prostitution masculine avec un regard aux airs d'élan vital.
L'Humanité
POUR : Un titre puissant qui insuffle une sensation de nature et de liberté. Le film ne décevra pas cette promesse.
L'Obs
Dans les errements de Léo, ce premier film trouve sa vérité, sa fébrilité et sa sauvagerie, au sens pasolinien.
La Septième Obsession
Corps enlacés, corps meurtris et souffrants, sauvés par la douceur de la caresse : Camille Vidal-Naquet porte un regard bienveillant et emphatique sur ces « tapins ». Il ne juge jamais ses personnages, mais les accompagne dans leur quête sentimentale.
Le Figaro
POUR : Le prometteur Felix Maritaud, dont la hargne avait illuminé 120 battements par minute, se découvre bouleversant dans ce long-métrage de Camille Vidal-Naquet.
Le Journal du Dimanche
Malgré un scénario convenu et parfois répétitif, on est captivé par ce récit tragique porté par le charisme dévastateur de Félix Maritaud.
Le Monde
Le portrait d’un jeune prostitué en quête de tendresse, interprété avec intensité par Félix Maritaud
Libération
Aussi brut que sentimental, le premier long métrage de Camille Vidal-Naquet transcende les écueils glauques de son sujet, notamment grâce à la révélation Félix Maritaud.
Marie Claire
Un portrait à vif.
Paris Match
Premier film percutant sur la prostitution masculine, «Sauvage» de Camille Vidal-Naquet révèle un grand espoir du cinéma français : Félix Maritaud.
Rolling Stone
Si la nudité ou la violence - parfois extrême - de "Sauvage" ne surprennent presque plus après la première passe, son réalisme poisseux est tout bonnement remarquable.
Sud Ouest
Un beau premier long métrage.
Transfuge
La force de ce premier coup d’essai, on la doit surtout à son interprète, Félix Maritaud. Il offre une palette riche d’émotions, s’abandonnant à son personnage solaire qui racole sur la voie publique, dans les bois, bars et boîtes de nuit.
Télérama
Camille Vidal-Naquet emmènera ainsi son héros en fuite vers un inquiétant tableau final, poétique et trouble, impossible à oublier.
aVoir-aLire.com
Un véritable coup de poing qui confirme la vitalité du jeune cinéma d’auteur français.
Critikat.com
La seconde nature de Sauvage, celle du portrait d’un marginal situé à la lisière de l’échappée picaresque, dégage quant à elle un indéniable vent de fraîcheur à travers les traits de ce jeune intranquille, condamné à rester l’œil de son propre cyclone.
Franceinfo Culture
Un film âpre, parfois éprouvant, mais avec aussi une leçon de vie ouverte sur une note d’espoir.
L'Express
Ce premier film porte bien son titre. Parfois trop (...). Mais il y a là un cinéaste évident qui va s'affirmer au cours des ans, pour peu qu'il se fasse confiance.
La Croix
Ce tableau très sombre d’une réalité sociale de notre pays serait certainement insoutenable si le cinéaste et Félix Maritaud, l’acteur qui incarne Léo, n’avaient donné au personnage une dimension solaire.
Les Fiches du Cinéma
Puissant, romanesque et ambitieux dans sa ténacité, "Sauvage" ne pâtit finalement que de son système, fait de blocs elliptiques diversement inspirés, qui confère une arythmie certaine à l’ensemble, aussi sidérante par instants, qu’exsangue par d’autres.
Ouest France
Un film coup de poing, très cru et parfois complaisant, mais qui est porté par la présence brute de Félix Maritaud
Positif
Le réalisateur suit au plus près, dans l'instant, la dérive de ce jeune prostitué qui cherche l'amour. Zappant toute explication et tout jugement. Une approche physique qui sonne d'autant plus juste que la caméra semble aimantée par Félix Maritaud, le comédien qui incarne (intensément) ce garçon primitif.
Première
Camille Vidal-Naquet signe un premier film éprouvant mais bouleversant sur un jeune prostitué en rupture de ban.
Cahiers du Cinéma
Platement filmé, Sauvage s’accroche caméra à l’épaule à son acteur, Félix Maritaud, comme à la bouée de sauvetage de sa mise en scène. Il fait bien : c’est la douceur cassée de Maritaud qui sauve le film d’une paradoxale fadeur.
L'Humanité
CONTRE : Avec un sujet similaire, le minimaliste Brothers of the night de Patric Chiha allait plus loin en baroquisant le réel. Ici, on en reste à la tranche de vie âpre et naturaliste, sans vrai projet esthétique.
Le Point
Sauvage se révèle d'une grande justesse. Mais il manque au film une trajectoire.
Le Figaro
CONTRE : Un peu fastidieux.