Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Charlie Hebdo
par Yann Diener
Manele Labidi signe son premier long-métrage avec cette comédie réussie : intéressante, drôle et intelligente.
20 Minutes
par Caroline Vié
Golshifteh Farahani éblouit par son énergie en psychanalyste qui revient dans son pays natal après avoir fait ses études en France.
Bande à part
par Benoit Basirico
Golshifteh Farahani irradie dans ce petit théâtre tragi-comique à Tunis.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Elle
par Thomas Jean
Une comédie freudienne où la folie douce fait loi.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Charmant et drôle.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Une fantaisie drôle et légère qui n’en rajoute jamais.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Magnifiquement porté par Golshifteh Farahani, dans le rôle d’une psychanalyste, le premier film de Manele Labidi est plein de fraîcheur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Une comédie drôle et profonde.
Le Parisien
par La Rédaction
Très jolie chronique d'une retour aux origines, « Un Divan à Tunis » multiplie les scènes émouvantes ou très drôles, mettant en prise cette jeune psy avec des personnages hauts en couleur ou les affres de la vie quotidienne en Tunisie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Eva Sauphie
À travers les ressorts de la comédie, la réalisatrice franco-tunisienne de 36 ans livre une fresque sociale teintée de tendresse et d'humour pour mieux dépeindre un pays en pleine reconstruction sociale, politique, économique et administrative.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Sous couvert d’une comédie qui met en scène une galerie de personnages hauts en couleur, ce premier film évoque avec humour son pays en pleine mutation.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier de Bruyn
Un divan à Tunis, avec son humour, son insolence et sa croyance dans les bienfaits de l'analyse, mérite bien qu'on lui accorde une séance.
Marie Claire
par La rédaction
Bravant les convenances sociales, ce film est une jolie radiographie de la société tunisienne à travers le profil psychique de ses habitants, scandé par de savoureuses scènes comme le trajet en voiture de l'émouvante Golshifteh Farahani avec le fantôme du docteur Freud.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par La Rédaction
Un humour aussi fin que piquant.
Positif
par Eithne O'Neill
En somme, un feel good movie populaire, haut en couleur et attachant.
Télérama
par Guillemette Odicino
Savoureuse comédie à l’italienne à Tunis, où une psychanalyste se met à l’écoute d’un peuple en souffrance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
L'écriture des situations est fine et bien sentie (…). Dommage que le film veuille à tout prix être aimable et manque un peu de cette cruauté, voire de cette folie qui font les meilleures comédies.
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Loin d'être une expérience dévastatrice pour nos sens et nos conceptions philosophiques, "Un divan à Tunis" n'en constitue pas moins un très agréable divertissement, bien plus malin que ce que l'on pourrait en penser au premier regard. Une petite thérapie qui met du baume au coeur, on serait bête de la refuser.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
La réalisatrice de cette comédie sympathique aurait pourtant gagné à creuser le paradoxe d’une parole libérée dans un pays qui, au lendemain des révolutions arabes, ne l’est guère (...). Mais il y a Golshifteh Farahani, dont la lumineuse détermination et la mélancolie tenace donnent du caractère à ce premier film qui, sans elle, en manquerait.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Marianne Meunier
Une comédie profonde où l’humour et le sérieux se marient et occupent une place égale.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Jolie force méta de ce film qui, sous des dehors mignons-modestes, fait beaucoup, beaucoup de bien.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Un divan à Tunis raconte un pays en transition par le prisme majoritaire des femmes. Et pointe par l’absurde ces traditions si difficiles à faire voler en éclats, même par un vent de liberté. Avec dans le rôle central, Golshifteh Farahani, toujours aussi subtile et rayonnante.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une comédie pétillante qui met en perspective la psychanalyse et la révolution culturelle à l’œuvre en Tunisie. Ce premier film décline un point de vue original et parfois provocateur sur la rencontre interculturelle entre une française d’origine tunisienne et le pays de son enfance
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Une hésitation qui tiédit le propos (pourtant passionnant), caricature les situations (trop vite expédiées), mais offre quelques jolis moments.
Charlie Hebdo
Manele Labidi signe son premier long-métrage avec cette comédie réussie : intéressante, drôle et intelligente.
20 Minutes
Golshifteh Farahani éblouit par son énergie en psychanalyste qui revient dans son pays natal après avoir fait ses études en France.
Bande à part
Golshifteh Farahani irradie dans ce petit théâtre tragi-comique à Tunis.
Elle
Une comédie freudienne où la folie douce fait loi.
Femme Actuelle
Charmant et drôle.
La Voix du Nord
Une fantaisie drôle et légère qui n’en rajoute jamais.
Le Figaro
Magnifiquement porté par Golshifteh Farahani, dans le rôle d’une psychanalyste, le premier film de Manele Labidi est plein de fraîcheur.
Le Journal du Dimanche
Une comédie drôle et profonde.
Le Parisien
Très jolie chronique d'une retour aux origines, « Un Divan à Tunis » multiplie les scènes émouvantes ou très drôles, mettant en prise cette jeune psy avec des personnages hauts en couleur ou les affres de la vie quotidienne en Tunisie.
Le Point
À travers les ressorts de la comédie, la réalisatrice franco-tunisienne de 36 ans livre une fresque sociale teintée de tendresse et d'humour pour mieux dépeindre un pays en pleine reconstruction sociale, politique, économique et administrative.
Les Fiches du Cinéma
Sous couvert d’une comédie qui met en scène une galerie de personnages hauts en couleur, ce premier film évoque avec humour son pays en pleine mutation.
Marianne
Un divan à Tunis, avec son humour, son insolence et sa croyance dans les bienfaits de l'analyse, mérite bien qu'on lui accorde une séance.
Marie Claire
Bravant les convenances sociales, ce film est une jolie radiographie de la société tunisienne à travers le profil psychique de ses habitants, scandé par de savoureuses scènes comme le trajet en voiture de l'émouvante Golshifteh Farahani avec le fantôme du docteur Freud.
Ouest France
Un humour aussi fin que piquant.
Positif
En somme, un feel good movie populaire, haut en couleur et attachant.
Télérama
Savoureuse comédie à l’italienne à Tunis, où une psychanalyste se met à l’écoute d’un peuple en souffrance.
Cahiers du Cinéma
L'écriture des situations est fine et bien sentie (…). Dommage que le film veuille à tout prix être aimable et manque un peu de cette cruauté, voire de cette folie qui font les meilleures comédies.
Ecran Large
Loin d'être une expérience dévastatrice pour nos sens et nos conceptions philosophiques, "Un divan à Tunis" n'en constitue pas moins un très agréable divertissement, bien plus malin que ce que l'on pourrait en penser au premier regard. Une petite thérapie qui met du baume au coeur, on serait bête de la refuser.
L'Obs
La réalisatrice de cette comédie sympathique aurait pourtant gagné à creuser le paradoxe d’une parole libérée dans un pays qui, au lendemain des révolutions arabes, ne l’est guère (...). Mais il y a Golshifteh Farahani, dont la lumineuse détermination et la mélancolie tenace donnent du caractère à ce premier film qui, sans elle, en manquerait.
La Croix
Une comédie profonde où l’humour et le sérieux se marient et occupent une place égale.
Les Inrockuptibles
Jolie force méta de ce film qui, sous des dehors mignons-modestes, fait beaucoup, beaucoup de bien.
Première
Un divan à Tunis raconte un pays en transition par le prisme majoritaire des femmes. Et pointe par l’absurde ces traditions si difficiles à faire voler en éclats, même par un vent de liberté. Avec dans le rôle central, Golshifteh Farahani, toujours aussi subtile et rayonnante.
aVoir-aLire.com
Une comédie pétillante qui met en perspective la psychanalyse et la révolution culturelle à l’œuvre en Tunisie. Ce premier film décline un point de vue original et parfois provocateur sur la rencontre interculturelle entre une française d’origine tunisienne et le pays de son enfance
Le Monde
Une hésitation qui tiédit le propos (pourtant passionnant), caricature les situations (trop vite expédiées), mais offre quelques jolis moments.