Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Voici
par La Rédaction
Un film tendre, pudique et émouvant.
L'Express
par Antoine Le Fur
Cette histoire de règlement de comptes semble avoir déjà été vue mille fois. Mais c'était compter sans la réalisation de Valeria Golino, qui réussit à éviter les écueils du genre.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
C’est un très beau film, vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gaël Golhen
Un subtil mélo italien.
Transfuge
par Steve Krief
Mise en scène de facture classique, avec des plans le plus souvent serrés pour suivre au plus près les deux frères, dialogues d'une grande justesse, personnages secondaires bien travaillés : les qualités esthétiques du film sont indéniables.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film intense et rare, dans une Italie stupéfiante d’argent et de désinvolture, où la fraternité et l’amour sont mis à l’honneur grâce à une mise en scène à la fois sobre, ironique et ambitieuse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
La mise en scène, un peu trop sage, met joliment en valeur les deux excellents interprètes principaux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Pamela Pianezza
Sous ses airs de mélodrame flamboyant, "Euforia" propose un humble mode d’emploi pour apprendre à dire adieu.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film sensible, qui n’évite pas toujours les clichés.
Le Figaro
par La Rédaction
Si ce second long-métrage de la réalisatrice italienne est bien interprété et évite le pathos, il est sans surprise.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Parfois un peu confus, le récit réserve quelques moments de grâce et confirme le talent de la réalisatrice.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Cette urgence à laquelle oblige la fin proche est portée, dans Euforia, avec une belle énergie qui donne raison au titre du film.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Voilà un film qui porte admirablement son titre en étendard, et qui substitue au cynisme empesé d’un récit de faux-semblants un regard tendre, en dépit d’un récit mal ficelé.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Eithne O'Neill
Le film glisse sur la surface brillante et tombe dans une sentimentalité clinquante.
Première
par Michaël Patin
Pur mélodrame à l’italienne, Euforiaa les qualités d’une bonne pop-song : ça semble durer moins de trois minutes, mais ça reste en tête pendant longtemps.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
D’abord très entourée — un brouhaha moins convaincant de collègues, famille, amant-ami —, la fratrie se resserre pour un dernier dialogue. Matteo, c’est Riccardo Scamarcio (Romanzo criminale), magnifique d’énergie fanfaronne et blessée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce qui manque le plus dans ce film à l’exubérance forcée, c’est l’effervescence de la Rome d’antan qui faisait la saveur de l’œuvre fellinienne de référence. Hélas, la fête est finie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Marcos Uzal
Les stéréotypes, la laideur générale des décors et des plans, donne à cette tragicomédie familiale une épaisseur qui confine souvent à la vulgarité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Voici
Un film tendre, pudique et émouvant.
L'Express
Cette histoire de règlement de comptes semble avoir déjà été vue mille fois. Mais c'était compter sans la réalisation de Valeria Golino, qui réussit à éviter les écueils du genre.
Le Parisien
C’est un très beau film, vraiment.
Ouest France
Un subtil mélo italien.
Transfuge
Mise en scène de facture classique, avec des plans le plus souvent serrés pour suivre au plus près les deux frères, dialogues d'une grande justesse, personnages secondaires bien travaillés : les qualités esthétiques du film sont indéniables.
aVoir-aLire.com
Un film intense et rare, dans une Italie stupéfiante d’argent et de désinvolture, où la fraternité et l’amour sont mis à l’honneur grâce à une mise en scène à la fois sobre, ironique et ambitieuse.
L'Obs
La mise en scène, un peu trop sage, met joliment en valeur les deux excellents interprètes principaux.
La Septième Obsession
Sous ses airs de mélodrame flamboyant, "Euforia" propose un humble mode d’emploi pour apprendre à dire adieu.
Le Dauphiné Libéré
Un film sensible, qui n’évite pas toujours les clichés.
Le Figaro
Si ce second long-métrage de la réalisatrice italienne est bien interprété et évite le pathos, il est sans surprise.
Le Journal du Dimanche
Parfois un peu confus, le récit réserve quelques moments de grâce et confirme le talent de la réalisatrice.
Le Monde
Cette urgence à laquelle oblige la fin proche est portée, dans Euforia, avec une belle énergie qui donne raison au titre du film.
Les Fiches du Cinéma
Voilà un film qui porte admirablement son titre en étendard, et qui substitue au cynisme empesé d’un récit de faux-semblants un regard tendre, en dépit d’un récit mal ficelé.
Positif
Le film glisse sur la surface brillante et tombe dans une sentimentalité clinquante.
Première
Pur mélodrame à l’italienne, Euforiaa les qualités d’une bonne pop-song : ça semble durer moins de trois minutes, mais ça reste en tête pendant longtemps.
Télérama
D’abord très entourée — un brouhaha moins convaincant de collègues, famille, amant-ami —, la fratrie se resserre pour un dernier dialogue. Matteo, c’est Riccardo Scamarcio (Romanzo criminale), magnifique d’énergie fanfaronne et blessée.
L'Humanité
Ce qui manque le plus dans ce film à l’exubérance forcée, c’est l’effervescence de la Rome d’antan qui faisait la saveur de l’œuvre fellinienne de référence. Hélas, la fête est finie.
Libération
Les stéréotypes, la laideur générale des décors et des plans, donne à cette tragicomédie familiale une épaisseur qui confine souvent à la vulgarité.