Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
L'Express
par Eric Libiot
"Sofia" n'est pas sans rappeler les meilleurs longs-métrages d'Asghar Farhadi, expert en dentelle scénaristique.
Positif
par Denitza Bantcheva
[...] pour un coup d'essai, c'est virtuose. Surtout, ce que "Sofia" offre de plus remarquable, c'est la mise en scène qui allie puissance et subtilité.
Studio Magazine
par Antoine Le Fur
Un grand film de femmes.
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce premier film fait découvrir les inégalités de la société marocaine d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
BIBA
par Lili Yubari
Un premier film implacable et complexe d'une jeune Franco-Marocaine sur qui il faudra désormais compter.
CNews
par La rédaction
Un drame bouleversant.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Sofia impressionne par l’habileté avec laquelle l’événement intime qu’il met en scène révèle la société entière à elle-même.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un scénario fort et une mise en scène d'une épatante sobriété.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce film percutant pose l’épineuse question du statut de la femme au Maroc et dresse le tableau d’un pays figé.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Sans jamais juger les personnages, Meryem Benm'Barek casse les représentations trop naïves habituellement à l'écran dans le cinéma marocain.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce premier film courageux et implacable [...] dresse un état des lieux édifiant de la condition des femmes au Maroc.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Haletant du début à la fin, vibrant, parfois éprouvant, « Sofia » se regarde comme un thriller. Mais le film raconte aussi avec finesse le piège dans lequel se retrouvent des jeunes femmes à cause de la loi ou d’enjeux familiaux qui se révèlent parfois plus violents encore.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
C’est avec cette part d’opacité irréductible que Meryem Benm’Barek échappe au propos convenu ou à une dramaturgie prévisible et fait du bon cinéma, ce qui ne l’empêche pas de parler de la condition féminine au Maroc et, plus largement, des rapports de classe et même des effets résiduels du postcolonialisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Anne Diatkine
Ce premier long métrage de Meryem Benm’Barek était l’une des plus belles surprises du dernier Festival de Cannes (section Un certain regard). Et quelques mois après, ce portrait d’une ville, d’une société reproduite dans la bulle familiale, est toujours saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marie Claire
par Emily Barnett
Portrait au vitriol d'une société régie par les convenances et par l'argent, ce premier film dénonce la condition de la femme au Maroc sans tomber dans le piège de la victimisation.
Ouest France
par Michel Oriot
Un film sur l'hypocrisie de la société porté par un scénario solide.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Filmé sans fioriture ni sentimentalisme, "Sofia" embarque le spectateur dans un thriller social qui fait froid dans le dos [...]. Au final, un constat général implacable sur les faux-semblants entourant la liberté des femmes et le patriarcat.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Pierre Murat
Le dénouement du film est terrifiant : une société totalement exsangue émerge de ce conte amoral et cinglant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Un premier film coup de poing.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un film âpre et direct qui, sous couvert de s’intéresser à la condition de la femme au Maroc, trace avant tout le portait d’un pays en proie à une sévère fracture sociale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Meryem Benm’Barek montre ce qu’il en est non seulement de la loi du pays, mais aussi des règles coutumières marocaines : la honte sur la famille, l’exclusion de la coupable, et la nécessité absolue de lui trouver un mari, seul moyen pour que les choses rentrent dans l’ordre. La complexité dramatique reflète une société arabe régie par des traditions contraignantes.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le premier film d’une réalisatrice franco-marocaine pointe les hypocrisies et la dureté des rapports de classe dans un pays en mouvement.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Traité avec délicatesse et aplomb, le film est émouvant et réaliste. Il y a là un talent à suivre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
La jeune Meryem Benm’Barek impressionne par sa maturité de scénariste.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un premier long métrage d’une intelligence impressionnante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Des voix discordantes qui racontent par leur affrontement la société marocaine dans son ensemble où la puissance de la tradition vient se heurter sans cesse au désir d’évolution des nouvelles générations. Le tout en 80 minutes d’une intensité jamais prise en défaut qui révèlent deux grands talents : Maha Alemi et Sarah Perles.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
La réalisatrice Meryem Benm’Barek brosse le portrait d’un pays où les différences sociales et le statut de la femme, mais aussi celui des hommes, bâtissent une société d’apparences, injuste et sans espoir.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Critikat.com
par Clara Tabard
Le balancement entre l’apathie du monde adulte et l’impuissance des jeunes est la parfaite manifestation des intentions de la cinéaste, mais cette binarité visuelle donne au long métrage une approche didactique très artificielle [...].
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
"Sofia" n'est pas sans rappeler les meilleurs longs-métrages d'Asghar Farhadi, expert en dentelle scénaristique.
Positif
[...] pour un coup d'essai, c'est virtuose. Surtout, ce que "Sofia" offre de plus remarquable, c'est la mise en scène qui allie puissance et subtilité.
Studio Magazine
Un grand film de femmes.
20 Minutes
Ce premier film fait découvrir les inégalités de la société marocaine d’aujourd’hui.
BIBA
Un premier film implacable et complexe d'une jeune Franco-Marocaine sur qui il faudra désormais compter.
CNews
Un drame bouleversant.
Cahiers du Cinéma
Sofia impressionne par l’habileté avec laquelle l’événement intime qu’il met en scène révèle la société entière à elle-même.
Femme Actuelle
Un scénario fort et une mise en scène d'une épatante sobriété.
La Croix
Ce film percutant pose l’épineuse question du statut de la femme au Maroc et dresse le tableau d’un pays figé.
Le Figaro
Sans jamais juger les personnages, Meryem Benm'Barek casse les représentations trop naïves habituellement à l'écran dans le cinéma marocain.
Le Journal du Dimanche
Ce premier film courageux et implacable [...] dresse un état des lieux édifiant de la condition des femmes au Maroc.
Le Parisien
Haletant du début à la fin, vibrant, parfois éprouvant, « Sofia » se regarde comme un thriller. Mais le film raconte aussi avec finesse le piège dans lequel se retrouvent des jeunes femmes à cause de la loi ou d’enjeux familiaux qui se révèlent parfois plus violents encore.
Les Inrockuptibles
C’est avec cette part d’opacité irréductible que Meryem Benm’Barek échappe au propos convenu ou à une dramaturgie prévisible et fait du bon cinéma, ce qui ne l’empêche pas de parler de la condition féminine au Maroc et, plus largement, des rapports de classe et même des effets résiduels du postcolonialisme.
Libération
Ce premier long métrage de Meryem Benm’Barek était l’une des plus belles surprises du dernier Festival de Cannes (section Un certain regard). Et quelques mois après, ce portrait d’une ville, d’une société reproduite dans la bulle familiale, est toujours saisissant.
Marie Claire
Portrait au vitriol d'une société régie par les convenances et par l'argent, ce premier film dénonce la condition de la femme au Maroc sans tomber dans le piège de la victimisation.
Ouest France
Un film sur l'hypocrisie de la société porté par un scénario solide.
Paris Match
Filmé sans fioriture ni sentimentalisme, "Sofia" embarque le spectateur dans un thriller social qui fait froid dans le dos [...]. Au final, un constat général implacable sur les faux-semblants entourant la liberté des femmes et le patriarcat.
Télérama
Le dénouement du film est terrifiant : une société totalement exsangue émerge de ce conte amoral et cinglant.
Voici
Un premier film coup de poing.
aVoir-aLire.com
Un film âpre et direct qui, sous couvert de s’intéresser à la condition de la femme au Maroc, trace avant tout le portait d’un pays en proie à une sévère fracture sociale.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Meryem Benm’Barek montre ce qu’il en est non seulement de la loi du pays, mais aussi des règles coutumières marocaines : la honte sur la famille, l’exclusion de la coupable, et la nécessité absolue de lui trouver un mari, seul moyen pour que les choses rentrent dans l’ordre. La complexité dramatique reflète une société arabe régie par des traditions contraignantes.
L'Humanité
Le premier film d’une réalisatrice franco-marocaine pointe les hypocrisies et la dureté des rapports de classe dans un pays en mouvement.
L'Obs
Traité avec délicatesse et aplomb, le film est émouvant et réaliste. Il y a là un talent à suivre.
Le Monde
La jeune Meryem Benm’Barek impressionne par sa maturité de scénariste.
Les Fiches du Cinéma
Un premier long métrage d’une intelligence impressionnante.
Première
Des voix discordantes qui racontent par leur affrontement la société marocaine dans son ensemble où la puissance de la tradition vient se heurter sans cesse au désir d’évolution des nouvelles générations. Le tout en 80 minutes d’une intensité jamais prise en défaut qui révèlent deux grands talents : Maha Alemi et Sarah Perles.
Sud Ouest
La réalisatrice Meryem Benm’Barek brosse le portrait d’un pays où les différences sociales et le statut de la femme, mais aussi celui des hommes, bâtissent une société d’apparences, injuste et sans espoir.
Critikat.com
Le balancement entre l’apathie du monde adulte et l’impuissance des jeunes est la parfaite manifestation des intentions de la cinéaste, mais cette binarité visuelle donne au long métrage une approche didactique très artificielle [...].