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Beau sujet mais également superbe mise en scène. Serebrennikov fait le choix d’un très beau format scope (écran large) en noir et blanc qu’il parsème d’éclats colorés. Un des meilleurs films de l’année, à voir absolument.
Serebrennikov déplie tout un monde imaginaire, fait de pulsion d’émancipation, à partir de la posture du fan. Qui imite et idolâtre se libère plus qu’il ne s’aliène.
Ce qui est vraiment magnifique ici, c’est la façon dont le cinéaste aborde ce moment de bascule, de crise, où un processus de désagrégation politique inexorable s’amorce comme en sourdine, non sous la forme attendue, fulgurante du drame mais en laissant les épisodes du quotidien déposer et cristalliser, dans l’ample matière du souvenir instantané, la joie irremplaçable des instants privilégiés et la conviction sereine que ce qu’il était possible de vivre l’était sans retenue ni calcul, et jusqu’à la plénitude d’un gâchis extatique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'ensemble a une grâce rare, renforcée par les mouvements souvent sinueux, presque dansants, de la caméra et par l'utilisation très habile de la musique (tantôt in, tantôt off, tantôt entremêlant les sources) pour restituer l'espace mental des personnages.
Kirill Serebrennikov est toujours assigné à résidence à Moscou, accusé d’un détournement de fonds dont il nie toute implication. Tandis que se déroule son procès, « Leto » qui signifie « L’été » en russe, illumine les écrans français. Courez-y même si le rock vous indiffère.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Entre recherches formalistes et captation lyrique d'un bref moment d'euphorie, "Leto" réussit à inventer une image inédite de l'URSS : joyeuse, avenante, mais lucide.
Kirill Serebrennikov se souvient de Viktor Tsoï, musicien de légende du rock russe, mort accidentellement en 1990 à l’âge de 28 ans. Il reconstitue cette époque rock, dans un lumineux noir et blanc de nostalgie. Les chansons du film sont jouées sur des instruments d’époque – beau souci d’authenticité.
Ainsi "Leto" lève-t-il le voile sur une période méconnue : les prémices de la perestroïka. Une immersion passionnante dans un univers ultracontrasté, dès la séquence d'ouverture, où les musiciens endiablés jouent devant une assemblée stoïque que des caciques obligent à rester sagement assise.
Leto, en apesanteur, touché par la grâce, impressionnant d’inventivité visuelle, pourrait bien devenir l’œuvre culte de la jeunesse d’aujourd’hui, le manifeste d’une Nouvelle Vague, irisée de romantisme et de mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Tourné dans un noir et blanc somptueux, « Leto » conte la difficulté à faire bouger les choses, voire à tout simplement jouer en public dans la Russie de l’époque, tout en mettant l’accent sur la légèreté et l’aptitude à une certaine forme de dolce vita de cette tribu de musiciens qui vivaient de rock, de cigarettes, d’amour et de vodka fraîche.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le film de Kirill Serebrennikov raconte l'épopée flamboyante d'un groupe rock dans l'URSS d'avant la perestroïka avec une bande-son à faire pâlir les Stones.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
À parti d’un triangle (amoureux) de figures de la scène rock pré-perestroïka, Kirill Serebrennikov célèbre la jeunesse, le pouvoir de la pop et, à leur intersection, une parenthèse enchantée. Ce n’est pas rien, pour un film paré, par ailleurs, d’une telle mélancolie.
Kirill Serebrennikov tricote un biopic sur des stars de l’ère soviétique inconnues sous nos latitudes (Viktor Tsoi et Mike Naumenko) et le décalage linguistique et culturel va nous obliger à regarder ces clichés de la coming of age story électrique comme si on nous les racontait pour la première fois.
La critique complète est disponible sur le site Première
"Leto" plaira aussi bien aux jeunes filles qu’aux retraités, et c’est ce en quoi il réussit son coup : rendre populaire aujourd’hui l’underground d’une époque pas si lointaine.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Le Russe Kirill Serebrennikov capte intelligemment l’inventivité folle et le besoin d’émancipation d’une jeunesse rock de la scène underground soviétique des années 80. Avec énergie et maestria, il livre une œuvre éloquente qui dépasse les canons poussifs du biopic musical.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
De "Leto", on gardera en tête son infinie douceur, nourrie par un beau noir et blanc et une bande-son nostalgique (...). Mais s’il montre le grain de folie de cette jeunesse, il manque lui-même de folie dans sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Cahiers du Cinéma
Une vibration continue qui nous aura subjugués comme un chant astral et enivrant, nimbé d’une mélancolie de combat.
Franceinfo Culture
Beau sujet mais également superbe mise en scène. Serebrennikov fait le choix d’un très beau format scope (écran large) en noir et blanc qu’il parsème d’éclats colorés. Un des meilleurs films de l’année, à voir absolument.
L'Humanité
Après le Disciple, un nouveau film remarquable de Kirill Serebrennikov.
Le Dauphiné Libéré
Un formidable film pop.
Le Figaro
Un film initiatique, poétique et vibrant.
Les Inrockuptibles
Serebrennikov déplie tout un monde imaginaire, fait de pulsion d’émancipation, à partir de la posture du fan. Qui imite et idolâtre se libère plus qu’il ne s’aliène.
Libération
Ce qui est vraiment magnifique ici, c’est la façon dont le cinéaste aborde ce moment de bascule, de crise, où un processus de désagrégation politique inexorable s’amorce comme en sourdine, non sous la forme attendue, fulgurante du drame mais en laissant les épisodes du quotidien déposer et cristalliser, dans l’ample matière du souvenir instantané, la joie irremplaçable des instants privilégiés et la conviction sereine que ce qu’il était possible de vivre l’était sans retenue ni calcul, et jusqu’à la plénitude d’un gâchis extatique.
Ouest France
Très musical, sensible, juste et esthétiquement très original.
Paris Match
"Leto", un grand film sur la liberté qui a tout pour devenir culte.
Positif
L'ensemble a une grâce rare, renforcée par les mouvements souvent sinueux, presque dansants, de la caméra et par l'utilisation très habile de la musique (tantôt in, tantôt off, tantôt entremêlant les sources) pour restituer l'espace mental des personnages.
Sud Ouest
Kirill Serebrennikov est toujours assigné à résidence à Moscou, accusé d’un détournement de fonds dont il nie toute implication. Tandis que se déroule son procès, « Leto » qui signifie « L’été » en russe, illumine les écrans français. Courez-y même si le rock vous indiffère.
Transfuge
Entre recherches formalistes et captation lyrique d'un bref moment d'euphorie, "Leto" réussit à inventer une image inédite de l'URSS : joyeuse, avenante, mais lucide.
Télérama
Un film baroque et grisant.
Voici
Une sorte de comédie musicale punk somptueuse, ode échevelée à la jeunesse et à la liberté (...).
Bande à part
Un éloge de la force. Celle de l’élan libertaire, celle de l’amour, celle de la musique. Brio total.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Kirill Serebrennikov se souvient de Viktor Tsoï, musicien de légende du rock russe, mort accidentellement en 1990 à l’âge de 28 ans. Il reconstitue cette époque rock, dans un lumineux noir et blanc de nostalgie. Les chansons du film sont jouées sur des instruments d’époque – beau souci d’authenticité.
L'Express
Ainsi "Leto" lève-t-il le voile sur une période méconnue : les prémices de la perestroïka. Une immersion passionnante dans un univers ultracontrasté, dès la séquence d'ouverture, où les musiciens endiablés jouent devant une assemblée stoïque que des caciques obligent à rester sagement assise.
L'Obs
Cette fougue, cette liberté imprègnent la mise en scène de Serebrennikov et ses séquences musicales.
La Croix
Leto, en apesanteur, touché par la grâce, impressionnant d’inventivité visuelle, pourrait bien devenir l’œuvre culte de la jeunesse d’aujourd’hui, le manifeste d’une Nouvelle Vague, irisée de romantisme et de mélancolie.
La Septième Obsession
Existe-t-il film plus libre, beau et mélancolique que "Leto" ?
Le Journal du Dimanche
Une reconstitution habile et vibrante, assez libre pour éviter les pièges et lourdeurs du biopic.
Le Monde
Kirill Serebrennikov évoque avec une euphorie élégiaque la scène musicale du Leningrad des années 1980.
Le Parisien
Tourné dans un noir et blanc somptueux, « Leto » conte la difficulté à faire bouger les choses, voire à tout simplement jouer en public dans la Russie de l’époque, tout en mettant l’accent sur la légèreté et l’aptitude à une certaine forme de dolce vita de cette tribu de musiciens qui vivaient de rock, de cigarettes, d’amour et de vodka fraîche.
Le Point
Le film de Kirill Serebrennikov raconte l'épopée flamboyante d'un groupe rock dans l'URSS d'avant la perestroïka avec une bande-son à faire pâlir les Stones.
Les Fiches du Cinéma
À parti d’un triangle (amoureux) de figures de la scène rock pré-perestroïka, Kirill Serebrennikov célèbre la jeunesse, le pouvoir de la pop et, à leur intersection, une parenthèse enchantée. Ce n’est pas rien, pour un film paré, par ailleurs, d’une telle mélancolie.
Première
Kirill Serebrennikov tricote un biopic sur des stars de l’ère soviétique inconnues sous nos latitudes (Viktor Tsoi et Mike Naumenko) et le décalage linguistique et culturel va nous obliger à regarder ces clichés de la coming of age story électrique comme si on nous les racontait pour la première fois.
Rolling Stone
"Leto" plaira aussi bien aux jeunes filles qu’aux retraités, et c’est ce en quoi il réussit son coup : rendre populaire aujourd’hui l’underground d’une époque pas si lointaine.
aVoir-aLire.com
Le Russe Kirill Serebrennikov capte intelligemment l’inventivité folle et le besoin d’émancipation d’une jeunesse rock de la scène underground soviétique des années 80. Avec énergie et maestria, il livre une œuvre éloquente qui dépasse les canons poussifs du biopic musical.
Critikat.com
Mais, un peu englouti par la surenchère stylistique, Leto peine à s’imposer finalement comme une évidence.
Culturopoing.com
De "Leto", on gardera en tête son infinie douceur, nourrie par un beau noir et blanc et une bande-son nostalgique (...). Mais s’il montre le grain de folie de cette jeunesse, il manque lui-même de folie dans sa mise en scène.