Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
L’interdit nourrit la passion, et même les positions du petit pont ou de l’étreinte du panda sont politiques, là-bas. Tout a commencé par un baiser, tout se termine en foutoir et c’est absolument captivant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Une tragédie contemporaine des plus efficaces portée par des acteurs convaincants.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Subtil et profond, ce film nous livre une magistrale analyse du dévoiement politique tant israélien que palestinien.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Subtil et profond, le film nous livre une magistrale analyse du dévoiement politique tant israëlien que palestinien.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Bernard Génin
On voit sur quel terrain miné s’aventure le cinéaste, ex-documentariste palestinien, fondateur des Palestine Film meetings (PFM). Et le manichéisme militant dans lequel il pouvait sombrer. Mais le scénario, plein de retournements, est passionnant.
Transfuge
par Steve Krief
En attendant que la société change en profondeur, les réalisateurs palestiniens et israéliens, eux, avancent sans peur et sans pudeur.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
S’il a étudié le cinéma aux États-Unis, Muayad Alayan est rentré en Palestine pour réaliser des films dans et sur son pays. Un choix courageux puisque lors du tournage de The Reports on Sarah and Saleem, son troisième film, le cinéaste et une partie de son équipe ont été arrêtés par l’armée israélienne.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Le réalisateur s’inspire de faits réels pour éreinter une société inhumaine. Mêlant drame tragique et thriller politique jusqu’au dénouement. Prenant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Il y avait dans cette histoire inspirée de faits réels de quoi faire un grand film sur l’hypocrisie d’une société scindée et schizophrène. Mais le réalisateur se perd en rebondissements qui diluent la force de son propos. Reste un beau rôle de femme bafouée, magnifiquement incarné par Maisa Abd Elhadi.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Muayad Alayan ne succombe jamais à la facilité manichéenne et réussit un exercice d’équilibriste de haute tenue.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Le film est prenant, parfois comme un feuilleton sentimental. Et les amants ont du sex-appeal, ce qui ajoute à son efficacité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Le film séduit par sa vision complexe de réalité israélo-palestinienne (…) Il est pourtant dommage que la vision percutante et originale du conflit israélo-palestinien cède vers la fin la place à un message convenu et dans l’air du temps.
L'Obs
L’interdit nourrit la passion, et même les positions du petit pont ou de l’étreinte du panda sont politiques, là-bas. Tout a commencé par un baiser, tout se termine en foutoir et c’est absolument captivant.
Le Journal du Dimanche
Une tragédie contemporaine des plus efficaces portée par des acteurs convaincants.
Les Fiches du Cinéma
Subtil et profond, ce film nous livre une magistrale analyse du dévoiement politique tant israélien que palestinien.
Les Fiches du Cinéma
Subtil et profond, le film nous livre une magistrale analyse du dévoiement politique tant israëlien que palestinien.
Positif
On voit sur quel terrain miné s’aventure le cinéaste, ex-documentariste palestinien, fondateur des Palestine Film meetings (PFM). Et le manichéisme militant dans lequel il pouvait sombrer. Mais le scénario, plein de retournements, est passionnant.
Transfuge
En attendant que la société change en profondeur, les réalisateurs palestiniens et israéliens, eux, avancent sans peur et sans pudeur.
La Croix
S’il a étudié le cinéma aux États-Unis, Muayad Alayan est rentré en Palestine pour réaliser des films dans et sur son pays. Un choix courageux puisque lors du tournage de The Reports on Sarah and Saleem, son troisième film, le cinéaste et une partie de son équipe ont été arrêtés par l’armée israélienne.
Le Figaro
Le réalisateur s’inspire de faits réels pour éreinter une société inhumaine. Mêlant drame tragique et thriller politique jusqu’au dénouement. Prenant.
Paris Match
Il y avait dans cette histoire inspirée de faits réels de quoi faire un grand film sur l’hypocrisie d’une société scindée et schizophrène. Mais le réalisateur se perd en rebondissements qui diluent la force de son propos. Reste un beau rôle de femme bafouée, magnifiquement incarné par Maisa Abd Elhadi.
Première
Muayad Alayan ne succombe jamais à la facilité manichéenne et réussit un exercice d’équilibriste de haute tenue.
Télérama
Le film est prenant, parfois comme un feuilleton sentimental. Et les amants ont du sex-appeal, ce qui ajoute à son efficacité.
Cahiers du Cinéma
Le film séduit par sa vision complexe de réalité israélo-palestinienne (…) Il est pourtant dommage que la vision percutante et originale du conflit israélo-palestinien cède vers la fin la place à un message convenu et dans l’air du temps.