Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Paris Match
par Flore Olive
Avec «Soeurs d'armes», son premier film, l'essayiste rend un hommage poignant aux combattantes kurdes. Avec force et détermination.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
CNews
par La rédaction
"Sœurs d’armes" plonge les spectateurs dans les tréfonds de l’âme humaine, et dénonce le fanatisme de tortionnaires haineux [...].
Charlie Hebdo
par Laure Daussy
Rares sont les films d’action où l’on peut – de manière très basique, certes, mais si réjouissante – se projeter à la place d’une héroïne guerrière. On ressort et on regrette presque de n’avoir pas été combattre à leurs cotés.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
L'Express
par Christophe Carrière
Dans le paysage cinématographique français surchargé de drames intimistes et de comédies pouet pouet, il est bon de voir débouler une nouvelle proposition où le sérieux de l'affaire n'exclue pas le spectacle -dont les scènes d'action bénéficient par ailleurs d'une maîtrise inattendue.
Marianne
par Olivier de Bruyn
Un geste de cinéma autant qu'un geste politique.
Marie Claire
par Morgane Giuliani
Ces portraits de femmes sont forts, complémentaires, et assez inédits.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par La Rédaction
Un vrai film de guerre, inégal et maladroit, mais constamment porté par une envie de cinéma.
Première
par Gaël Golhen
C’est parfois maladroit (certains dialogues lourdauds), foutraque, on n’évite pas toujours le prêche, mais Fourest pratique un vrai cinéma de contrebande, un cinéma de genre qui veut penser, ose des idées de mise en scène (la fuite en hijab) et lorgne vers le film d’action politique hollywoodien.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par A.V.
Dans la lignée du film de guerre spectaculaire, mélo hyperréaliste, avec bruit, fureur, émotions fortes et musique ad hoc.
Ecran Large
par Simon Riaux
Pensum simpliste et indigeste quand il traite des combattantes kurdes, "Sœurs d'armes" se transforme progressivement en un réjouissant nanar de l'espace, que ne renierait pas Chuck Norris entre deux injections d'hormones de grizzly.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Les intentions de la journaliste-cinéaste sont des plus sincères mais ne suffisent pas à susciter l’adhésion.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dès les premières images, la voix off de Zara se fait lourdement emphatique, inutilement prémonitoire. Les champs de coquelicots sous un soleil éclatant expriment de manière appuyée le bonheur bientôt perdu. Tout le film se révèle à l’avenant avec les émotions surlignées par la mise en scène, la musique ou des ralentis.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Si les intentions sont nobles, le récit n’en finit pas d’aligner les poncifs du genre et confine à la naïveté.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Culturopoing.com
par Thomas Roland
Mettre en avant le courage de femmes qui se battent pour la liberté, dénoncer les violences dont elles sont victimes au nom d’une lecture extrémiste de la religion musulmane part d’une bonne intention. Seulement, la vision naïve, le traitement manichéen et l’hypocrisie du discours la rendent contre-productive et font de "Sœurs d’armes" un des films les plus mauvais et déplaisants de cette année.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si le sujet est indispensable – on ne rappelle et salue jamais assez le courage de ces femmes –, le film est dispensable, tant il cède à un pathos prévisible, qui englue le drame dans la guimauve. Ces héroïnes martyres sont écrasées par les clichés, et le souffle épique n’est en fin de compte qu’un petit vent sec.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Nathalie Simon
En guise de premier film, la journaliste sert un pudding indigeste, où la mièvrerie le dispute à l’invraisemblance.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Rien ne nous est épargné dans ce récit ultra-démonstratif qui se veut féministe mais aligne rapidement tous les clichés des films de garçons à gros bras au point de déraper dans la complaisance, accentuée par l’utilisation pompière du ralenti et de la musique.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
"Sœurs d’armes" alterne les séquences de pathos et de refrain va-t-en-guerre (…) De lourdeurs théoriques (…) en scènes d’action aux allures de spot publicitaire (une course-poursuite tonitruante dans le désert), le discours vertueux finit par se fissurer au profit d’une spectacularisation balourde de la violence.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
[...] un film de fiction équivoque et embarrassant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O'Neill
Ceci n’est pas un vrai film de guerre, mais une caricature du genre. Au cinéma aussi, les bonnes intentions nuisent.
Télérama
par Jacques Morice
Bien que très documenté, Sœurs d’armes s’avère souvent artificiel, maladroit dans le scénario comme dans la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Paris Match
Avec «Soeurs d'armes», son premier film, l'essayiste rend un hommage poignant aux combattantes kurdes. Avec force et détermination.
CNews
"Sœurs d’armes" plonge les spectateurs dans les tréfonds de l’âme humaine, et dénonce le fanatisme de tortionnaires haineux [...].
Charlie Hebdo
Rares sont les films d’action où l’on peut – de manière très basique, certes, mais si réjouissante – se projeter à la place d’une héroïne guerrière. On ressort et on regrette presque de n’avoir pas été combattre à leurs cotés.
L'Express
Dans le paysage cinématographique français surchargé de drames intimistes et de comédies pouet pouet, il est bon de voir débouler une nouvelle proposition où le sérieux de l'affaire n'exclue pas le spectacle -dont les scènes d'action bénéficient par ailleurs d'une maîtrise inattendue.
Marianne
Un geste de cinéma autant qu'un geste politique.
Marie Claire
Ces portraits de femmes sont forts, complémentaires, et assez inédits.
Ouest France
Un vrai film de guerre, inégal et maladroit, mais constamment porté par une envie de cinéma.
Première
C’est parfois maladroit (certains dialogues lourdauds), foutraque, on n’évite pas toujours le prêche, mais Fourest pratique un vrai cinéma de contrebande, un cinéma de genre qui veut penser, ose des idées de mise en scène (la fuite en hijab) et lorgne vers le film d’action politique hollywoodien.
Voici
Dans la lignée du film de guerre spectaculaire, mélo hyperréaliste, avec bruit, fureur, émotions fortes et musique ad hoc.
Ecran Large
Pensum simpliste et indigeste quand il traite des combattantes kurdes, "Sœurs d'armes" se transforme progressivement en un réjouissant nanar de l'espace, que ne renierait pas Chuck Norris entre deux injections d'hormones de grizzly.
Franceinfo Culture
Les intentions de la journaliste-cinéaste sont des plus sincères mais ne suffisent pas à susciter l’adhésion.
La Croix
Dès les premières images, la voix off de Zara se fait lourdement emphatique, inutilement prémonitoire. Les champs de coquelicots sous un soleil éclatant expriment de manière appuyée le bonheur bientôt perdu. Tout le film se révèle à l’avenant avec les émotions surlignées par la mise en scène, la musique ou des ralentis.
Les Fiches du Cinéma
Si les intentions sont nobles, le récit n’en finit pas d’aligner les poncifs du genre et confine à la naïveté.
Culturopoing.com
Mettre en avant le courage de femmes qui se battent pour la liberté, dénoncer les violences dont elles sont victimes au nom d’une lecture extrémiste de la religion musulmane part d’une bonne intention. Seulement, la vision naïve, le traitement manichéen et l’hypocrisie du discours la rendent contre-productive et font de "Sœurs d’armes" un des films les plus mauvais et déplaisants de cette année.
L'Obs
Si le sujet est indispensable – on ne rappelle et salue jamais assez le courage de ces femmes –, le film est dispensable, tant il cède à un pathos prévisible, qui englue le drame dans la guimauve. Ces héroïnes martyres sont écrasées par les clichés, et le souffle épique n’est en fin de compte qu’un petit vent sec.
Le Figaro
En guise de premier film, la journaliste sert un pudding indigeste, où la mièvrerie le dispute à l’invraisemblance.
Le Journal du Dimanche
Rien ne nous est épargné dans ce récit ultra-démonstratif qui se veut féministe mais aligne rapidement tous les clichés des films de garçons à gros bras au point de déraper dans la complaisance, accentuée par l’utilisation pompière du ralenti et de la musique.
Les Inrockuptibles
"Sœurs d’armes" alterne les séquences de pathos et de refrain va-t-en-guerre (…) De lourdeurs théoriques (…) en scènes d’action aux allures de spot publicitaire (une course-poursuite tonitruante dans le désert), le discours vertueux finit par se fissurer au profit d’une spectacularisation balourde de la violence.
Libération
[...] un film de fiction équivoque et embarrassant.
Positif
Ceci n’est pas un vrai film de guerre, mais une caricature du genre. Au cinéma aussi, les bonnes intentions nuisent.
Télérama
Bien que très documenté, Sœurs d’armes s’avère souvent artificiel, maladroit dans le scénario comme dans la mise en scène.