Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Si Sachs s’élève à un degré de beauté formaliste jamais atteint auparavant, c'est grâce à sa rencontre avec le soleil bucolique du Sud et à celle, peut-être plus interne et secrète, avec l’œil du metteur en scène – hanté parfois par une certaine esthétique vieil Hollywood, son âge d’or haut en couleur qui crève les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
par Caroline Vié
Mais comment fait-elle ? Isabelle Huppert est toujours là où on ne l’attend pas. Dans Frankie d' Ira Sachs, présenté au dernier Festival de Cannes, elle est plus vibrante que jamais en star malade.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Touchant et juste.
La Septième Obsession
par La rédaction
Ira Sachs donne à voir un fourmillement fragile, un entrelacs de cheminements, de vies qui se lient, de frôlements et de frottements. Les interactions distantes qui le fascinent depuis tant d'années, les attaches familiales, amicales, amoureuses qu'il n'a de cesse de décrire, se déploient ici dans un chassé-croisé à la fois tendu et solaire.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Frankie regorge de romanesque et de discrétion. Sachs rend parfaitement ce sentiment indéfinissable qu’on appelle là-bas saudade.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Frankie ne cède ni au désespoir ni à l’immobilisme. Pas plus que le film, dont la fin conduit ses personnages vers un horizon qu’il ne nous est pas donné de voir mais qui, néanmoins, nous élève.
Le Parisien
par La Rédaction
Présenté en sélection officielle à Cannes, ce film y était comme une parenthèse sensible s'achevant sur un plan panoramique habité d'une merveilleuse musique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marie Claire
par Emily Barnett
Un petit théâtre anti-tragique de la vie, entre Rohmer et Hong Sang-soo.
Télérama
par Louis Guichard
Le cinéaste Ira Sachs réussit un superbe film choral.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Paola Raima
Ira Sachs chemine par degrés vers le point où l’émotion pourra advenir sans débordement.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Incontestablement, la belle photographie de ce cadre idyllique donne à la fin de la hauteur à ce drame distant, dont le dispositif de mise en scène, soigné, montre autant son élégance que son artifice, avec un assemblage de conversations, à la manière d’un Rohmer.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Obs
par Nicolas Schaller
Car, sous son air de carte postale euro-chic entre gens de goût, qui lui a valu d’être froidement accueilli sur la Croisette, se cache un film élégant, plus délicat qu’il n’y paraît.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le film tourne quelque peu en rond, et le temps s’étire. Jusqu’à ce que, rompant les discussions, le dénouement voulu par Frankie, et par le scénario ne fasse enfin, dans une scène muette où seuls parlent la musique et la beauté du plan, passer l’émotion.
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Le septième long métrage d’Ira Sachs aborde la mort et l’absence avec une douceur inouïe, au cœur d’un paysage idyllique et apaisant. Ce joli film choral, marqué par les contrastes, est mené par une Isabelle Huppert peu surprenante mais toujours impeccable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
"Frankie" est bien fait, par une réunion de professionnels, grandes actrices, bons acteurs et techniciens, cinéma de bonne qualité et de bon ton, et qui n’a même pas le mauvais goût de manquer d’âme (les adieux de Frankie au monde sauront bien sûr être déchirants).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
[...] la chronique mélancolique d'un deuil annoncé, qui ne verse jamais dans le mélo mais manque parfois d'émotion.
Critikat.com
par Josué Morel
Dommage que Sachs ne tire de son récit choral qu’un catalogue de configurations possibles du couple et que le film entérine la réduction de sa mise en scène à une petite « musique ».
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ce parcours tchékhovien, habité par d’excellents acteurs, n’est pas satisfaisant pour autant. Ira Sachs, si sensible dans ses films précédents, en empathie avec ses personnages touchants, reste ici très en retrait.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Antoine Le Fur
Le réalisateur new-yorkais est si fasciné par son actrice qu'il en oublie de s'intéresser au reste.
La Croix
par Céline Rouden
La délicatesse avec laquelle Ira Sachs traite de son sujet fait d’autant plus regretter l’impression générale que laisse un film qui adopte tous les tics d’un certain cinéma indépendant américain, bavard et un peu vain.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Nous avons eu du mal à nous intéresser à ces errances faussement légères reparties bredouilles du Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Il y a beaucoup de délicatesse et de mélancolie dans ce film choral qui n’a pas forcément grand-chose à raconter.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
De cette galerie de portraits, [Ira Sachs] peine pourtant à sortir une substantifique moelle au gré d’un scénario confus et de personnages laissés à la surface de l’eau.
Voici
par Daniel Blois
Un drame assez inconséquent et une succession de scènes rebattues, mises en scène sans conviction. Reste d'excellents interprètes.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Trop de stars dans un même film choral, et c’est le scénario qui s’éparpille entre les petites mésaventures propres à chaque personnage. Ira Sachs reste néanmoins un bon chef d’orchestre et il réussit à maintenir dans son film un minimum d’émotions, malgré un récit qui s’égare et nous perd.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Le réalisateur a su réunir une belle distribution mais on peut aussi trouver rapidement que ces états d'âme de riches déconnectés du monde a un côté futile, voire indécent.
Première
par Thierry Chèze
Avec ce film, Ira Sachs s’ajoute donc à la longue liste de cinéastes étrangers qui, en s’éloignant de leur terrain de jeu habituel, ont perdu en route ce qui faisait le sel, la singularité et la force de leurs œuvres.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
Si Sachs s’élève à un degré de beauté formaliste jamais atteint auparavant, c'est grâce à sa rencontre avec le soleil bucolique du Sud et à celle, peut-être plus interne et secrète, avec l’œil du metteur en scène – hanté parfois par une certaine esthétique vieil Hollywood, son âge d’or haut en couleur qui crève les yeux.
20 Minutes
Mais comment fait-elle ? Isabelle Huppert est toujours là où on ne l’attend pas. Dans Frankie d' Ira Sachs, présenté au dernier Festival de Cannes, elle est plus vibrante que jamais en star malade.
Femme Actuelle
Touchant et juste.
La Septième Obsession
Ira Sachs donne à voir un fourmillement fragile, un entrelacs de cheminements, de vies qui se lient, de frôlements et de frottements. Les interactions distantes qui le fascinent depuis tant d'années, les attaches familiales, amicales, amoureuses qu'il n'a de cesse de décrire, se déploient ici dans un chassé-croisé à la fois tendu et solaire.
Le Figaro
Frankie regorge de romanesque et de discrétion. Sachs rend parfaitement ce sentiment indéfinissable qu’on appelle là-bas saudade.
Le Monde
Frankie ne cède ni au désespoir ni à l’immobilisme. Pas plus que le film, dont la fin conduit ses personnages vers un horizon qu’il ne nous est pas donné de voir mais qui, néanmoins, nous élève.
Le Parisien
Présenté en sélection officielle à Cannes, ce film y était comme une parenthèse sensible s'achevant sur un plan panoramique habité d'une merveilleuse musique.
Marie Claire
Un petit théâtre anti-tragique de la vie, entre Rohmer et Hong Sang-soo.
Télérama
Le cinéaste Ira Sachs réussit un superbe film choral.
Cahiers du Cinéma
Ira Sachs chemine par degrés vers le point où l’émotion pourra advenir sans débordement.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Incontestablement, la belle photographie de ce cadre idyllique donne à la fin de la hauteur à ce drame distant, dont le dispositif de mise en scène, soigné, montre autant son élégance que son artifice, avec un assemblage de conversations, à la manière d’un Rohmer.
L'Obs
Car, sous son air de carte postale euro-chic entre gens de goût, qui lui a valu d’être froidement accueilli sur la Croisette, se cache un film élégant, plus délicat qu’il n’y paraît.
Le Dauphiné Libéré
Le film tourne quelque peu en rond, et le temps s’étire. Jusqu’à ce que, rompant les discussions, le dénouement voulu par Frankie, et par le scénario ne fasse enfin, dans une scène muette où seuls parlent la musique et la beauté du plan, passer l’émotion.
Les Fiches du Cinéma
Le septième long métrage d’Ira Sachs aborde la mort et l’absence avec une douceur inouïe, au cœur d’un paysage idyllique et apaisant. Ce joli film choral, marqué par les contrastes, est mené par une Isabelle Huppert peu surprenante mais toujours impeccable.
Libération
"Frankie" est bien fait, par une réunion de professionnels, grandes actrices, bons acteurs et techniciens, cinéma de bonne qualité et de bon ton, et qui n’a même pas le mauvais goût de manquer d’âme (les adieux de Frankie au monde sauront bien sûr être déchirants).
Télé Loisirs
[...] la chronique mélancolique d'un deuil annoncé, qui ne verse jamais dans le mélo mais manque parfois d'émotion.
Critikat.com
Dommage que Sachs ne tire de son récit choral qu’un catalogue de configurations possibles du couple et que le film entérine la réduction de sa mise en scène à une petite « musique ».
Franceinfo Culture
Ce parcours tchékhovien, habité par d’excellents acteurs, n’est pas satisfaisant pour autant. Ira Sachs, si sensible dans ses films précédents, en empathie avec ses personnages touchants, reste ici très en retrait.
L'Express
Le réalisateur new-yorkais est si fasciné par son actrice qu'il en oublie de s'intéresser au reste.
La Croix
La délicatesse avec laquelle Ira Sachs traite de son sujet fait d’autant plus regretter l’impression générale que laisse un film qui adopte tous les tics d’un certain cinéma indépendant américain, bavard et un peu vain.
La Voix du Nord
Nous avons eu du mal à nous intéresser à ces errances faussement légères reparties bredouilles du Festival de Cannes.
Le Journal du Dimanche
Il y a beaucoup de délicatesse et de mélancolie dans ce film choral qui n’a pas forcément grand-chose à raconter.
Paris Match
De cette galerie de portraits, [Ira Sachs] peine pourtant à sortir une substantifique moelle au gré d’un scénario confus et de personnages laissés à la surface de l’eau.
Voici
Un drame assez inconséquent et une succession de scènes rebattues, mises en scène sans conviction. Reste d'excellents interprètes.
aVoir-aLire.com
Trop de stars dans un même film choral, et c’est le scénario qui s’éparpille entre les petites mésaventures propres à chaque personnage. Ira Sachs reste néanmoins un bon chef d’orchestre et il réussit à maintenir dans son film un minimum d’émotions, malgré un récit qui s’égare et nous perd.
Ouest France
Le réalisateur a su réunir une belle distribution mais on peut aussi trouver rapidement que ces états d'âme de riches déconnectés du monde a un côté futile, voire indécent.
Première
Avec ce film, Ira Sachs s’ajoute donc à la longue liste de cinéastes étrangers qui, en s’éloignant de leur terrain de jeu habituel, ont perdu en route ce qui faisait le sel, la singularité et la force de leurs œuvres.