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    Une Affaire de famille
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    330 critiques spectateurs

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    Stéphane P.
    Stéphane P.

    2 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 décembre 2018
    Magnifique ! Touchant et sensible.
    Une vision peu habituelle de la vie au Japon à travers la vie d’une famille recomposée peu orthodoxe .
    A voir absolument !
    Pascal Olivier
    Pascal Olivier

    5 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 décembre 2018
    Hirokazu Kore-eda est définitivement un des plus grands réalisateurs actuels. Film après film, cet artiste japonais creuse toutes les subtilités et nuances que peut recouvrir la notion de famille, tout en interrogeant en filigrane ce concept même de famille. Son nouveau film, Une affaire de famille, très justement récompensé au festival de Cannes, ne déroge pas à la règle et nous embarque dans le quotidien léger et tragique d’une drôle de famille qui tente de survivre malgré sa pauvreté. Sans jamais forcer le trait, Hirokazu Kore-eda s’intéresse à tous les liens qui unissent les uns et les autres, créant ainsi une profonde réflexion sur le sens que l’on donne à l’amour des siens. Comme d’habitude avec ce réalisateur, c’est dans les détails que l’œuvre va se dessiner, et lorsque la dernière image du film apparaît, on ne sait si l’on doit pleurer ou sourire… Un très grand film, sensible et humaniste.
    titicaca120
    titicaca120

    360 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 décembre 2018
    j'attendais beaucoup de ce film être palme d'or à Cannes ce n'est pas rien.
    dès le début j'ai senti le malaise , je n'ai pas ri , je n'ai pas pleuré, pas de choc
    émotionnel, pas d'envie de colère, rien de choquant.
    ça aurait pu durer 4 heures comme ça car le film se laisse voir
    les personnages sont attachants mais le scénario indigent.
    pour moi une palme d'or usurpée.
    Philippe C
    Philippe C

    83 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2022
    J'ai trouvé ce film plutôt long et ennuyeux. Le thème, à savoir "qu'est ce qu'une famille ", est traité de façon intelligente et délicate. Vivant de façon précaire, et dans la pauvreté, la plupart des membres de cette "famille" essayent de s'en tirer comme ils peuvent, et tissent malgré la difficuluté et la part d'ombre que porte chacun, des liens de tendresse, de fraternité et d'amour. On sent rapidement qu'il y a des histoires cachées qui précèdent celle de la petite Youri adoptée/enlevée par la "famille" parce qu'elle était maltraitée et il faut attendre la deuxième partie du film pour avoir quelques explications sur le passé des uns et des autres. La fin reste ouverte et oscille entre résignation et optimisme. Malheureusement, même si la lenteur est voulue, même si l'espace où se déroule le film est réduit (un cabanon, une rivière, une aiutoroute, une voie ferrée, un magasin), l'émotion n'est pas au rendez-vous, car on a du mal à s'identifier aux personnages. Pourtant, les acteurs sont, de mon point de vue, excellents.
    Aston L
    Aston L

    31 abonnés 84 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 décembre 2018
    Kore eda signe un film fort et engagé mais comme toujours porté par une poésie et une justesse infinie
    On ressort bouleversés par ce film, à la fois intime et universel
    Comme d'habitude le thème de la famille est abordé de manière passionnante mais cette fois de manière surprenante
    Une Palme d'or superbe et méritée, une des plus belle de ce siècle
    Ufuk K
    Ufuk K

    475 abonnés 1 413 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 décembre 2018
    " une affaire de famille " récompense par la palme d'or au dernier festival de Cannes est un drame social et familial humain. En effet même si ce film ne semble pas raconter grand chose de prime à bord, le réalisateur prend son temps pour nous décrire toute la société japonaise de A à Z à travers l'histoire de cette " famille " pleine de mélancolie, émotion, douceur et tristesse.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    389 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 décembre 2018
    C’est l’histoire d’une « famille » qui n’a pratiquement aucun lien de sang, mais dont les membres sont réunis sous le même toit. Comme à son habitude, le cinéaste manie d’une main de maitre son récit, alternant en un claquement de doigt des moments très drôles à des situations plus dramatiques. Toutes les émotions y passent et on sort de la projection sur un petit nuage.
    poet75
    poet75

    261 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 décembre 2018
    Fidèle au registre qu’il explore dans quasiment tous ses films, le japonais Hirokazu Kore-eda aborde à nouveau le thème de la famille, mais pour le mettre en question. Ce faisant, il s’aventure du côté d’une critique radicale de la notion de famille au sens traditionnel du terme. C’était déjà le cas dans certains de ses films précédents, mais dans « Une affaire de famille » la critique est telle qu’on peut avoir le sentiment d’être en présence d’un film à thèse. D’une certaine façon, le cinéaste cherche à prouver que la cellule familiale telle qu’on l’entend habituellement est caduque et qu’il n’y a de vraie famille digne de ce nom que celle qu’on choisit et non celle qui nous est imposée par la naissance.
    Pour étayer une telle démonstration, il met en scène une famille, en effet pour le moins atypique, de marginaux qui vivent d’expédients et de rapines. Il y a là une femme âgée, Hatsue, un couple qu’elle héberge, Osamu et Naboyo, un garçon (Shota), une jeune fille (Aki) et bientôt une petite fille prénommée Juri. Or cette dernière, découverte abandonnée sur un balcon, est recueillie et bientôt adoptée par toute la tribu, qui jure ses grands dieux qu’il ne s’agit pas d’un enlèvement puisqu’il n’est nullement question de demander une rançon. En vérité, la fillette s’intègre si bien à ce groupe qu’elle en devient un des membres, trouvant là sa véritable famille.
    Certes, la galerie de portraits que dépeint Hirokazu Kore-eda, toute cocasse et décalée qu’elle soit, n’en est pas moins attachante. Certaines séquences émeuvent sans forcer le trait : ainsi quand Aki, qui s’exhibe dans un peep show, fait venir son client dans une salle privée pour ne rien faire d’autre que de l’étreindre en silence (sans même se déshabiller !). Malheureusement, la plupart du temps, le cinéaste se contente d’aligner des scènes répétitives, au point d’être lassant. Et quand survient le dénouement, avec intervention de la police, le spectateur est placé de force devant l’amer constat : la société, représentée par les forces de la loi, ne veut pas de cette famille de marginaux qui ne ressemble nullement à une quelconque image traditionnelle.
    Nous voilà donc, à nouveau, avec un film qui, même s’il est plus raffiné que d’autres, ressemble à ce que je dénonce chaque fois que j’en ai l’occasion. Le cinéaste nous a pris par les sentiments pour nous imposer gentiment sa vision décalée de la famille idéale. On peut s’y laisser prendre, comme le jury du festival de Cannes qui a décerné à ce film la Palme d’Or, mais on est aussi en droit de rester dubitatif…
    Barnabé Jarrot
    Barnabé Jarrot

    17 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 décembre 2018
    Un chef-d'oeuvre. Kore-Eda signe une nouvelle chronique familiale absolument bouleversante. A voir de toute urgence!
    Enki Dou
    Enki Dou

    3 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 décembre 2018
    Un film magnifique. Une "famille" de toutes petites gens, réunis par le hasard, la nécessité, l’intérêt, le désir, et l'amour. Une "famille" où les enfants ne disent ni papa ni maman, et pour cause, mais peut-être, un jour, qui sait ... Une "famille" qui vit de presque rien, à la marge de la société, un pied dedans et un pied dehors, dans un minuscule logement, de petits boulots, de petits chapardages, de petites arnaques, de petites allocations, de petits mensonges, de petits rêves et de petits bonheurs ... Une "famille" dont chaque membre, adulte ou enfant, est important pour les autres, comme le renard du Petit Prince ... Et sur tout cela un regard sans pathos, sans misérabilisme, sans embellissement non plus, simplement bienveillant. Une "famille" pauvre, baroque, bancale, et profondément humaine. Et une "affaire" dont le spectateur ressort enrichi et heureux.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 12 décembre 2018
    un film d'un ennui abyssale, on passe à côté des personnages, ça traite de fric, de vols et de bouffe, c'est très froid et on croit pas vraiment à l'histoire (dont certains passages sont prévisibles 30 minutes à l'avance, genre on se dit "mais ce personnage là n'est pas encore décédé ? bizarre" ben ça arrive, ne vous inquiétez pas)... aucun intérêt, et la quantité de "nouveaux critiques" inscrits sur le site pour mettre 5 étoiles, confirme mon impression de produit formaté de festival qui panique à l'idée que la palme ne soit pas suffisante pour valider cette affaire auprès du public !
    frederic T.
    frederic T.

    13 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 décembre 2018
    Hirokuza Koré-Eda dénonce la fracture sociale dans un pays qui cultive une image policée du bien-vivre et de la réussite, en posant un regard attendri et tranquille sur une drôle de famille dans laquelle on est voleurs de père en fils et on arnaque de mère en fille... Il s’acquitte facilement de toute amoralité, car dans cette famille de marginaux on se sent vite accueilli, attendri. Et quand Koré-Eda finit par nous révéler leurs secrets, on comprend que leurs petites magouilles ne parlent finalement que d’amour...
    Un film touchant réalisé avec une infinie tendresse.
    Arnaud R
    Arnaud R

    86 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 mai 2018
    Une superbe tragédie familiale et sociale pleine de sobriété et d'originalité qui vous émeut aux larmes dans une fin déchirante. Kore-Eda filme avec douceur et nous étonne une nouvelle fois avec son ton mélancolique singulier.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 décembre 2018
    La famille est le sujet qui intéresse le plus à Koreeda. Tous ses films partent de là : la disparition des parents dans Nobody knows, l'échange d'enfants dans Tel père, tel fils et les secrets sinistres dans son thriller judiciare The third murder entre autres. Par contre, c'est dans Une affaire de famille où il perfectionne son analyse des relations humaines au même temps qu'il dénonce l'incapacité de l'État. Koreeda signe alors une critique féroce et courageuse à son pays d'origine.

    L'introduction du film suit les habitudes d'une famille de voleurs et le partage des biens gagnés. Les scènes dans la salle principale de la maison sont cadrées comme les films d'Ozu : la caméra presque par terre, à la hauteur des tables basses, lieu de réunion des familles japonaises. Mais le film changera de style quand ils adopteront une petite fille abandonnée dans le quartier.

    La convivialité avec l'enfant nous fait comprendre la marginalité de la famille et leurs raisons pour le vol : les invalidités, l'abandon, la précarité professionnelle, l'illettrisme... Koreeda commence à construire sa critique sans qu'on se rende compte. À ce moment on ne suit que l'adaptation de la petite fille dans sa nouvelle maison.

    Ce sont deux scènes qui captent à la perfection cette évolution. spoiler: La première, sous la pluie, autour du feu dans le jardin. La caméra tourne lentement ayant comme centre la fille, dans les bras de sa nouvelle maman. La texture de l'image mélange les flammes et les gouttes d'eau au moment que la petite fait sa première déclaration d'amour. La deuxième, toute la famille part à la plage, contents et détendus. On oublie que la fille est une nouvelle arrivée au noyau familial quand on regarde les enfants jouer avec les vagues, leurs réactions étant spontanées. Ceci est le moment le plus heureux du film, juste avant que leur bulle éclate. Un sac d'oranges qui tombe dans la rue nous annoncera l'arrivée de l'orage. Le troisième acte se démarque des précédents pour que le quid de l'histoire prenne force. Tout au long du film on a suivi la construction d'une famille pour finalement regarder sa décomposition sans qu'on ne puisse rien faire. Koreeda met en évidence l'abandon du bien-être des gens de la part de l'État, mais il ouvre également des débats très pertinents. D'abord, si c'est pire le vol ou obliger les gens à s'en sortir qu'en volant. Puis, si c'est le sang ou l'amour qui forme une famille. Des question très osées tenant en compte l'importance de la figure familiale au Japon.


    Une affaire de famille montre un réalisateur en pleine forme qui perfectionne son style. Koreeda s'éloigne du sentimentalisme et du mélodrame pour contrôler l'émotion de façon incroyable. C'est grâce au ton naturel du film que l'irruption finale des forces de la loi nous brise le cœur. En plus, la réalisation de plusieurs scènes assurent que Koreeda continue à évoluer comme cinéaste.

    ////// Encore plus de fautes et d'erreurs sur hommecinema.blogspot.fr
    AllocineP.
    AllocineP.

    2 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 décembre 2018
    Je me suis beaucoup ennuyée pendant ce film qui dure 2h15.Peu d’emotion , peu d’ampathie .
    Il ne se passe pas grand chose et s’il est vrai qu’une famille » d'accueil «  peut parfois donner plus d’affection et d’attention que de mauvais parents,l’histoire est brouillonne et peu convaincante.
    Très déçue.
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