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    The Lighthouse
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    259 critiques spectateurs

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    FlecheDeFer ..
    FlecheDeFer ..

    39 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 décembre 2019
    Un film très bizarre, très obscur, véritable exercice de style qui fait plaisir à cette époque de formatage dicté par les études de marché et le département juridique des grandes firmes, du coup je suis content de le noter bien même si dans l'absolu je ne vais pas nier que tout ceci n'est guère passionnant. Pour être franc, on n'y comprend goutte, et il faudra clairement revoir le film pour saisir le sens des symboles et autres sous-entendus, dont la plupart est loin d'être évident. Le format carré est assez épatant pour donner une impression d'enfermement (on ne voit jamais de hors-champ sauf ce que l'on veut expressément nous montrer), et le tout est formellement parfaitement maîtrisé, et même souvent magnifique. Mais à mon sens, ce n'est pas pour ça qu'il faut voir ce film en priorité, mais plutôt pour son interprétation: si personne ne sera surpris de savoir que Dafoe est comme toujours formidable (cet appel halluciné au Dieu Poséidon!) la grande surprise vient de Pattison, excellent en tous points et qui parvient à faire jeu égal avec son prestigieux partenaire, quelque chose que je dois avouer n'avoir pas anticipé. Leur affrontement/collaboration vaut vraiment la peine d'être vu (ces voix! Ces intonations!), surtout dans le cadre formel parfait qui le contient, et la compréhension ou non de l'histoire devient finalement assez secondaire. Je vais sans doute le re-regarder afin de tenter de mieux comprendre ce que l'on a voulu nous dire.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    151 abonnés 1 030 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 décembre 2019
    Je suis sorti de la salle avec l'impression de ne pas avoir aimé le film....et puis 24h après des images reviennent, comme des flashs psychédéliques empoisonnés, ce film m'a ensorcelé. Rien d'étonnant puisque son réalisateur avait déjà si bien renouvelé le genre du film de sorcière avec son somptueux "The Witch". Cette fois Eggers nous entraine aux confins de la folie, où les citations de Melville rencontrent les créatures de Lovecraft filmées à la manière d'Eraserhead. Avec un sound design incroyable qui n'aurait pas déplu à Lynch . Parfois vaine et redondante cette œuvre diablement bien jouée et filmée marque durablement les esprits et inscrit définitivement son réalisateur comme l'un des nouveaux maîtres du cinéma de genre. Après la confirmation cette année de Flanagan (Doctor Sleep) et Aster (Midsommar) Eggers complète un trio qui n'a rien à envier aux Hooper, Craven et Carpenter de la grande époque.
    Dens
    Dens

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 décembre 2019
    Huis clos filmé en noir et blanc au format 4/3. Succession de scènes incohérentes, rien à retenir, je ne pense pas avoir déjà vu un film aussi mauvais. 2 heures de perdues.
    Redzing
    Redzing

    950 abonnés 4 311 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 octobre 2020
    A la fin du 19ème siècle, deux hommes prennent leur tour de garde sur un phare situé au large de la Nouvelle Angleterre. L'un débute dans le métier, l'autre est un vieux loup chargé de le superviser. Entre leur relation explosive, et l'environnement aussi isolé qu'hostile, les choses seront loin d'être sereines ! Comme les premières images le suggèrent, "The Lighthouse" est très loin du cinéma conventionnel, et s'inscrit largement dans du cinéma expérimental que n'aurait sans doute pas renié le David Lynch de "Eraserhead". Robert Eggers a choisi sur la forme de renouer avec le cinéma du début du 20ème siècle. Un format d'image presque carré, un noir et blanc très sombre et ombragé qui rappelle le cinéma expressionniste, une caméra souvent statique, des acteurs qui parlent avec un langage d'époque et des accents "marins" très théâtraux : presque tout y est ! Mais tout est fait avec grand soin, notamment la magnifique photographie, les plans inspirés et parfois dérageants, et la bande son particulièrement anxiogène (sons constants de vagues ou de corne de brume qui deviennent oppressants, musique minimaliste mais pesante). Sans parler évidemment des deux interprètes qui se déchaînent, livrant des prestations parmi les plus marquantes de leur carrière respective. Robert Pattinson et Willem Dafoe incarnent des personnages ambigus : un jeunot qui semble être un honnête travailleur mais laisse transpirer un lourd passé, et un vieux briscard aigri et injuste, qui sait se montrer aussi bon compagnon que grand mythomane. On y verra ces protagonistes sombrer dans la folie, sans vraiment savoir qui manipule qui, dans un thriller psychologique aux accents fantastiques. Le scénario réserve son lot de thématiques, abordant des sujets aussi variés que la folie, l'homosexualité, les légendes & écrits nautiques, ou encore la mythologie, pour décrire le mélange de lutte et d'amitié entre ces deux hommes. Le tout avec une série de portes ouvertes ou de questions posées qui resteront très souvent sans réponse explicite, laissant au spectateur le loisir de la réflexion. Et là où ce scénario aurait pu s'embourber dans un face-à-face au pire ennuyeux, au mieux prétentieux, il n'en est rien ici. L'ambiance hypnotique et surréaliste est très bien gérée, de même que la relation complexe entre ces deux hommes, si bien que l'on ne s'ennuie jamais. Sans compter quelques touches d'humour aussi surprenantes qu'efficaces. "The Lighthouse" étonne donc autant sur le fond que la forme, et constitue le genre de projet qui montre que le cinéma peut continuer à proposer des films ambitieux et audacieux, même après près de 125 ans d'existence.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    596 abonnés 1 402 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2019
    Pas de doute, Robert Eggers rejoint la team de la Nouvelle Vague du cinéma de genre où Ari Aster et Jordan Peele y mènent déjà la danse ! Après "The Witch", le jeune réalisateur signe une nouvelle fois une atmosphère très singulière, anxiogène et innovante. Pour ma part, je ne suis pas sorti indemne de "The Lighthouse" car sa vision de l'horreur et de l'épouvante bouleversent les codes habituels, que ce soit par sa forme d'antan, son écriture et son huis-clos presque théâtraux ou son imaginaire sordide. Difficile de chipoter face à l'envergure de cet ovni cinématographique qui, en plus d'être une réelle expérience de spectateur, se révèle être efficacement dérangeante et oppressante. Pas d'effusion d'hémoglobine, pas de jumpscare, pas de déjà-vu mais beaucoup de références à la mythologie grecque, aux légendes de marins et à la littérature. Ici, le concret flirte avec un fantastique obscur, fascinant et poétique. J'ai été emporté par cette virée dans la folie pure, à la double-lecture labyrinthique, qui offre à Robert Pattinson sa meilleure performance ! Ce rôle de jeune gardien de phare, silencieux et parano, est d'une grande complexité, surtout lorsqu'on y ajoute les codes de langage et corporels de cette époque ! Face à lui, on découvre un Willem Dafoe en vieux loup de mer expérimenté et mystérieux aux soliloques hypnotiques et au jeu expressionniste. C'est un film qui s'amuse à détourner les codes, les sens et les attentes du spectateur et qui accomplit la prouesse d'un jamais-vu. Rare, éprouvant, marquant et riche : ce sont les termes qui me viennent pour décrire mon expérience. Je suis sorti vidé, déboussolé... Pour son exercice de style épatant, ses acteurs jusqu'au-boutistes et sa plongée dans les abysses de la folie, "The Lighthouse" encombrera pendant un bon moment vos esprits !
    tixou0
    tixou0

    640 abonnés 1 972 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2020
    Une trame simplicissime (deux hommes, un trentenaire athlétique et un sexagénaire handicapé, sont débarqués sur un rocher désertique et venteux, au large des côtes est-américaines, sur lequel se dressent un phare imposant, et quelques communs - ils doivent y effectuer une vacation de 4 semaines, le vieillard est l'habitué des lieux, le jeune homme remplace son assistant précédent, qui a disparu). Mais une histoire, à l'usage, infiniment complexe. Dans ce huis-clos singulier (puisque le ciel et la mer font le cadre extérieur - quoi de plus infini ?...) s'installent d'emblée tous les éléments d'un drame, avec "Wake" (Daniel Dafoe) en tyran et "Winslow" (Robert Pattinson,) son esclave. On y ajoute une tempête monstre, la relève qui n'arrive pas, les vivres qui s'épuisent, des beuveries sans trêve, et une issue sinistre semble univoque, et inéluctable. Quand il y a en fait plusieurs grilles de lecture - le film abordant autant le fantastique, les légendes, voire la mythologie, mais rendant aussi fort crédible une approche clinique, psychiatrique spoiler: (et si le vrai/faux "Winslow" était simplement en train de rêver ?)
    .
    Ce "The Lighthouse" est inclassable, et très dérangeant - il demande aussi à faire des efforts pour "entrer" dans le récit, pour éviter les chausse-trappes.... Il séduira de toute façon au moins par ses exceptionnelles qualités esthétiques et techniques (mise en images expressionniste, N & B fabuleux, format "historique" carré, son et montage pointillistes...).
    Et les deux interprètes sont parfaits - Dafoe sans surprise, mais le bellâtre Pattinson, plus étonnamment ! Tous deux dans des rôles très réalistes (urine, fèces et semence, saleté, sang - bêtes et hommes...à gogo).
    Une expérience déroutante à tenter....
    romano31
    romano31

    247 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2020
    Ayant fortement apprécié le premier film de Robert Eggers (The Witch), j'étais assez impatient de découvrir sa dernière réalisation d'autant plus que le casting et le synopsis du film m'attiraient fortement. Eh bien je ne fut pas déçu. Alors attention, il est clair que ce film va diviser. Soit vous accrochez à la proposition cinématographique d'Eggers soit pas du tout. Pour ma part, j'ai accroché et j'ai adoré cette ambiance à la fois pesante, morbide et glaçante. Robert Pattinson et Willem Dafoe nous livre tous les deux des performances absolument remarquables et le travail sur l'image (en noir et blanc) et le son est une belle réussite. The Lighthouse est un film qui nous entraîne dans un voyage aux confins de la folie humaine où s’entremêle réalité et hallucination. A découvrir donc si vous voulez vivre une expérience à la fois déroutante et fascinante. Robert Eggers est un réalisateur à suivre de près.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    272 abonnés 2 818 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 avril 2020
    Tourné en noir et blanc pour mieux collé à son époque initiale, ce drame hallucinatoire est tout simplement d'un ennui mortel!!
    Estonius
    Estonius

    2 571 abonnés 5 260 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 mai 2023
    Je n'ai rien bien au contraire contre les films ambitieux, encore faut-il ne pas confondre ambition et esbrouffe. Je m'explique, Eggers sait très bien filmer et il le montre il la toute la grammaire du cinéma dans la tête, et son chef opérateur le seconde bien. Encore faut-il savoir nous raconter une histoire, je veux dire une histoire qui nous accroche. Alors là c'est quoi ? Deux abrutis surjoués par leurs acteurs qui récitent des tirades impossibles et qui s'engueulent, autant dire qu'on a aucune empathie pour eux et qu'on ne se raccroche à rien du tout d'autant que la musique nous saoule… Alors j'entends les exégèses qui invoquent tous les saints du cinéma, la mythologie grecque avec Poséidon, Icare et Prométhée, et Freud pendant qu'on y puisque le phare est un symbole phallique, ce serait donc ça le sens du film, deux cassos planqués dans une bite ? Non si on veut parler mythologie invoquons plutôt Hypnos puisque c'était le dieu de l'ennui.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 194 abonnés 4 004 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 janvier 2020
    “The Lighthouse” est inspirée d’une tragédie survenue en 1801 où deux gardiens de phare gallois se sont retrouvés coincés pendant une tempête. Robert Eggers, à qui l’on doit “The Witch” en 2016, met en scène Willem Dafoe dans la peau d’un capitaine alcoolique et Robert Pattinson son nouveau comparse. Seuls sur une île assez morbides, les deux hommes vont devoir se supporter pendant cinq semaines dans une ambiance plus qu’austère. Tourné en 35mm en format 4/3 dans un noir et blanc hyperstylisé, le cinéaste filme ses personnages au plus près. Il y donne un ton anxiogène à la fois dérangeant et obsédant. “The Lighthouse” est un conte horrifique qui ne ressemble à aucun autre, si ce n’est nous rappeler les premiers films noirs muets et l’exercice est intensément réussi.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    610 abonnés 2 713 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2020
    Rattrapage de The Lighthouse, film déroutant venu d'un autre temps. Une plongée philosophique étonnante sur la solitude, la perversité humaine, ses désirs, ses obsessions et surtout ses faiblesses. Quant aux deux acteurs, ils sont tous simplement incroyables.
    Cinememories
    Cinememories

    444 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 octobre 2021
    Injustement boudé pour le public avec “The Witch”, Robert Eggers revient sur le thème d’un drame psychologique. L’accréditation à la catégorie épouvante-horreur pourrait en dérouter plus d’un, alors que la marque de fabrique de l’ancien chef décorateur de théâtre commence à s’inscrire dans le film d'auteur. Il faut tenter l’expérience, car elle se veut exclusivement sensorielle. Et pour ce faire, rien de plus souhaitable d’une salle de cinéma, nous confinant au fond de notre siège, à l’image de deux marins, isolé sur un rocher atypique. Le cinéaste porte un gros coup sur sa deuxième réalisation, grâce à la maîtrise du décor et de la photographie. Il emprunte énormément au style d’une époque reculée. Nous nous y croyons, nous sommes spirituellement transportés sur une île de la tentation, sans mauvais jeu de mots. De l’image choquante au voyage hypnotique d’un duo efficace, Eggers finit par pêcher la perle rare afin de nous glisser dans son filet qu’on ne verra pas venir.

    Le mode d’emploi suggère donc des protagonistes limités en nombre, mais de qualité. Willem Dafoe, que l’on ne présente plus, reste aussi solide dans un jeu de folie, malgré une certaine retenue dans l’expression faciale et c’est un nouvel atout pour cet homme. Quant à Robert Pattinson, il est le jeunot de service dans un récit qui étire, tord et mâchouille son mystère en long et en large. Cependant, il faut lui reconnaître une ascension évidente depuis quelques années, une fois qu’il a pu donner de nouvelles couleurs à son épiderme. Ironiquement, le film est en noir et blanc, renforçant ainsi les ombres et les expressions fermées des acteurs. De même, le cadre en presque 1:1 (1.19:1 pour être exact) nous renvoie à la transition du cinéma muet et parlant. On joue alors sur ces détails esthétiques et techniques afin d’alimenter le ton de folie que boivent jour après jour ces matelots d’infortune. En serrant le cadre et en limitant les distractions de couleurs vivent, la majorité du travail est accomplie.

    Le film n’hésite donc pas à user d’influences pour renouveler cette spirale hallucinatoire, car nous finissons par perdre le fil, jusqu’à ce qu’un éclairci dévoile ce qu’il est nécessaire de comprendre au sens le plus large possible. À aucun moment, l’œuvre est franche avec le spectateur, car il cherche à lui insuffler des émotions contradictoires, le laissant ainsi dans une position délicate sur une fine frontière entre le réel et l’imaginaire. Et cela fonctionne si bien grâce aux décors et une photographie impeccable, ce n’est pas à négliger. Le fantastique prend ainsi place avec une brutalité déconcertante. Ajoutons à cela des dialogues, voire des monologues tantôt crus, inspiré d’un vocabulaire authentique, tantôt Shakespearien, armant ainsi les personnages qui peuvent confronter leur passé ou leur mensonge...

    Si l’on devait se souvenir d’un exercice récent qui a eu l’audace de nous embrouiller à ce point, il ne fallait pas avoir loupé le magnifique “Under The Silver Lake”, car les réponses s'y trouvent étrangement dans l’élément minéral ou bien il peut nous orienter, afin de mieux catalyser notre réflexion, qui explose aussi vite que la tête de Pattinson pour sa dernière interprétation. “The Lighthouse” ne fait donc pas exception et nous malmène d’un geste symbolique, car le film n’est qu'une métaphore dans son ensemble. Le phare dont il est question renvoie à un conflit sexuel fort, tout comme les présages ou les mythes de l’océan renvoient à des pulsions toutes aussi primitives. Le tour de force est donc réussi, l’ambiance gagne et elle ne laissera que des miettes, ou mouettes, derrière elle.
    Shephard69
    Shephard69

    287 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2020
    Quatre ans après son époustouflant premier long-métrage, Robert Eggers revient avec un nouveau film qui aborde des thématiques très proches de son oeuvre précédente comme l'isolement dans un environnement hostile, la lente plongée dans la folie et la confrontation face à de mystérieux phénomènes surnaturels. A mi-chemin entre "Eraserhead" de David Lynch pour son rythme peu trépidant et sa mise en scène presque lancinante et "Shining" de Stanley Kubrick pour sa dérive mentale aliénante dérangeante, malsaine, un film assez difficile d'accès, ambitieux et contemplatif, aérien un peu à l'image du récent "Ghost story" avec Casey Affleck. Un face-à-face incroyable entre Willem Dafoe et Robert Pattinson, tous deux extraordinaires de noirceur, de turbidité et d'électricité. Quelques passages vraiment saisissants, âpres mais un récit qui manque, à mon avis, un peu de renouveau dans son écriture, copiant de trop près à mon goût à la réalisation précédente du cinéaste américain "The witch". Un ensemble de très bonne facture mais qui n'est pas exactement le coup de coeur attendu.
    eldarkstone
    eldarkstone

    188 abonnés 1 969 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 décembre 2019
    D'un ennui total, avec une histoire sans queue ni tête ... seule l'interpretation des acteurs assez bonne vaut le coup dans ce très mauvais film.
    Aurore E
    Aurore E

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 janvier 2020
    Le synopsis m'avait inspiré mais j'ai vite regretté. Il se passe rien, le film le plus long et ennuyeux de tte ma vie. C'est redondant, que des beuveries et de la crasse ! Je déconseille fortement.
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