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29 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Loin du discours officiel, avec des choix de mise en scène forts, le réalisateur Diao Yinan confirme son talent, comme un des meilleurs auteurs-réalisateurs chinois.
La Voix du Nord
par Catherine Painset
Noir et virtuose !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Paris Match
par Yannick Vely
[...] miracle de cinéma qui établit un pont esthétique entre le cinéma hollywoodien des années 50 - «La Dame de Shanghai» d'Orson Welles, bien sûr -, le cinéma chinois contemporain (notamment People Mountain People Sea, déjà photographié par ce génie de Dong Jinsong) sans oublier le cinéma taïwanais et hongkongais des années 90-2000.
Positif
par La Rédaction
La pluie, les ombres, les flash-back, l’homme en fuite et la femme fatale sont autant de figures du film noir des années 1940 et 1950 que le cinéaste revisite avec virtuosité.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Il n’y a pas de doute : la réappropriation et la reformulation en Extrême-Orient des enjeux narratifs et esthétiques du film noir sont à l’origine d’un des pans les plus excitants du cinéma contemporain.
Télérama
par Jacques Morice
De filatures en courses-poursuites, "Le Lac aux oies sauvages" est une vaste partie de cache-cache mortel, portée par une mise en scène virtuose.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce thriller en forme de plongée dans les bas-fonds chinois surprend par sa violence et son esthétique.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
En laissant aux hommes la nuit et la violence et en faisant l’apologie d’une sororité solaire, Diao Yinan offre une mutation finalement optimiste à son très beau film noir.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un imparable polar en forme de trip esthétique.
Critikat.com
par Damien Bonelli
Ultra-stylisée, la mise en scène est entièrement dévolue à la sublimation d’un lieu, qui semble se refermer comme un piège sur le principal protagoniste.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Derrière cet habillage virtuose, à même de le cantonner au rang d’exercice de style brillant, Diao Yi’nan entend prolonger ce qu’il a entamé avec "Black Coal" : une étude frontale et faussement détournée de son pays.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Un film noir, mais également emprunt de romantisme. (...) Et qui fait mouche.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
"Le Lac aux oies sauvages", polar d’une très grande maîtrise scénaristique et formelle, confirme le talent de son réalisateur Diao Yinan et la grande vitalité du cinéma chinois actuel [...].
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un polar à la chinoise, à la mise en scène haletante.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
par Etienne Sorin
Une chasse à l’homme virtuose
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
"Le Lac aux oies sauvages" est un récit à la fois ténu et palpitant, qui tient tout entier dans l’épiphanie de sa mise en scène.
Le Parisien
par La rédaction
L'intrigue devient presque secondaire tant l'image de ce polar noir, sélectionné au Festival de Cannes, est sublime.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Dans ce nouveau film impressionnant de beauté et de noirceur, Diao Yinan continue de brosser une Chine toujours plus démentielle et désespérée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par La rédaction
En dépit d'une intrigue parfois nébuleuse, on reste captivé devant cet objet visuel aux frontières de l'installation d'art contemporain. Avant de s'immerger dans ce Lac aux oies sauvages.
Première
par Frédéric Foubert
Après le retentissement de "Black Coal", Ours d’or à Berlin en 2014, l’internationale cinéphile attendait avec impatience des nouvelles de Diao Yinan, nouvel espoir, non seulement de l’art et essai chinois, mais aussi du polar contemporain. "Le Lac aux oies sauvages" ne déçoit pas, en prolongeant, très clairement, le geste du précédent film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un beau polar venu de Chine.
Voici
par A.V.
Un polar à l’atmosphère sombre et poisseuse, et aux images sublimes.
Bande à part
par Benoit Basirico
Un pur exercice de style virtuose.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Diao Yinan impose une esthétique forte dans ce polar qui brille par sa composition soignée du cadre, avec une idée par plan, flirtant avec l’abstraction.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Diao Yi’nan confirme sa maîtrise d’un style qui devrait ne pas plaire au régime en place, mais qui nous offre un superbe spectacle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Diao Yinan réalise un film virtuose et fétichiste, avec des mouvements de caméra très sophistiqués, des jeux de couleur travaillés, des acteurs qui prennent des poses étudiées. (...) Mais le film laisse un goût de déjà-vu,un peu vain aussi, sans doute parce que les personnages n'ont guère d'humanité.
Libération
par Julien Gester
Mais son "Lac aux oies sauvages", édifié comme une avalanche de prouesses flashantes d’une bêtise sans nom, paraît une sortie de route pied au plancher, tous curseurs formalistes poussés à fond dans l’extase synchrone d’en mettre plein les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Franceinfo Culture
Loin du discours officiel, avec des choix de mise en scène forts, le réalisateur Diao Yinan confirme son talent, comme un des meilleurs auteurs-réalisateurs chinois.
La Voix du Nord
Noir et virtuose !
Paris Match
[...] miracle de cinéma qui établit un pont esthétique entre le cinéma hollywoodien des années 50 - «La Dame de Shanghai» d'Orson Welles, bien sûr -, le cinéma chinois contemporain (notamment People Mountain People Sea, déjà photographié par ce génie de Dong Jinsong) sans oublier le cinéma taïwanais et hongkongais des années 90-2000.
Positif
La pluie, les ombres, les flash-back, l’homme en fuite et la femme fatale sont autant de figures du film noir des années 1940 et 1950 que le cinéaste revisite avec virtuosité.
Transfuge
Il n’y a pas de doute : la réappropriation et la reformulation en Extrême-Orient des enjeux narratifs et esthétiques du film noir sont à l’origine d’un des pans les plus excitants du cinéma contemporain.
Télérama
De filatures en courses-poursuites, "Le Lac aux oies sauvages" est une vaste partie de cache-cache mortel, portée par une mise en scène virtuose.
20 Minutes
Ce thriller en forme de plongée dans les bas-fonds chinois surprend par sa violence et son esthétique.
Cahiers du Cinéma
En laissant aux hommes la nuit et la violence et en faisant l’apologie d’une sororité solaire, Diao Yinan offre une mutation finalement optimiste à son très beau film noir.
CinemaTeaser
Un imparable polar en forme de trip esthétique.
Critikat.com
Ultra-stylisée, la mise en scène est entièrement dévolue à la sublimation d’un lieu, qui semble se refermer comme un piège sur le principal protagoniste.
Culturopoing.com
Derrière cet habillage virtuose, à même de le cantonner au rang d’exercice de style brillant, Diao Yi’nan entend prolonger ce qu’il a entamé avec "Black Coal" : une étude frontale et faussement détournée de son pays.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un film noir, mais également emprunt de romantisme. (...) Et qui fait mouche.
L'Express
Du grand et bon cinéma.
L'Obs
Diao Yinan réinvente l’expressionnisme, façon Chine moderne.
La Croix
"Le Lac aux oies sauvages", polar d’une très grande maîtrise scénaristique et formelle, confirme le talent de son réalisateur Diao Yinan et la grande vitalité du cinéma chinois actuel [...].
Le Dauphiné Libéré
Un polar à la chinoise, à la mise en scène haletante.
Le Figaro
Une chasse à l’homme virtuose
Le Monde
"Le Lac aux oies sauvages" est un récit à la fois ténu et palpitant, qui tient tout entier dans l’épiphanie de sa mise en scène.
Le Parisien
L'intrigue devient presque secondaire tant l'image de ce polar noir, sélectionné au Festival de Cannes, est sublime.
Les Fiches du Cinéma
Dans ce nouveau film impressionnant de beauté et de noirceur, Diao Yinan continue de brosser une Chine toujours plus démentielle et désespérée.
Marie Claire
En dépit d'une intrigue parfois nébuleuse, on reste captivé devant cet objet visuel aux frontières de l'installation d'art contemporain. Avant de s'immerger dans ce Lac aux oies sauvages.
Première
Après le retentissement de "Black Coal", Ours d’or à Berlin en 2014, l’internationale cinéphile attendait avec impatience des nouvelles de Diao Yinan, nouvel espoir, non seulement de l’art et essai chinois, mais aussi du polar contemporain. "Le Lac aux oies sauvages" ne déçoit pas, en prolongeant, très clairement, le geste du précédent film.
Sud Ouest
Un beau polar venu de Chine.
Voici
Un polar à l’atmosphère sombre et poisseuse, et aux images sublimes.
Bande à part
Un pur exercice de style virtuose.
Le Journal du Dimanche
Diao Yinan impose une esthétique forte dans ce polar qui brille par sa composition soignée du cadre, avec une idée par plan, flirtant avec l’abstraction.
aVoir-aLire.com
Diao Yi’nan confirme sa maîtrise d’un style qui devrait ne pas plaire au régime en place, mais qui nous offre un superbe spectacle.
Les Inrockuptibles
Diao Yinan réalise un film virtuose et fétichiste, avec des mouvements de caméra très sophistiqués, des jeux de couleur travaillés, des acteurs qui prennent des poses étudiées. (...) Mais le film laisse un goût de déjà-vu,un peu vain aussi, sans doute parce que les personnages n'ont guère d'humanité.
Libération
Mais son "Lac aux oies sauvages", édifié comme une avalanche de prouesses flashantes d’une bêtise sans nom, paraît une sortie de route pied au plancher, tous curseurs formalistes poussés à fond dans l’extase synchrone d’en mettre plein les yeux.