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Loin du discours officiel, avec des choix de mise en scène forts, le réalisateur Diao Yinan confirme son talent, comme un des meilleurs auteurs-réalisateurs chinois.
[...] miracle de cinéma qui établit un pont esthétique entre le cinéma hollywoodien des années 50 - «La Dame de Shanghai» d'Orson Welles, bien sûr -, le cinéma chinois contemporain (notamment People Mountain People Sea, déjà photographié par ce génie de Dong Jinsong) sans oublier le cinéma taïwanais et hongkongais des années 90-2000.
La pluie, les ombres, les flash-back, l’homme en fuite et la femme fatale sont autant de figures du film noir des années 1940 et 1950 que le cinéaste revisite avec virtuosité.
Il n’y a pas de doute : la réappropriation et la reformulation en Extrême-Orient des enjeux narratifs et esthétiques du film noir sont à l’origine d’un des pans les plus excitants du cinéma contemporain.
En laissant aux hommes la nuit et la violence et en faisant l’apologie d’une sororité solaire, Diao Yinan offre une mutation finalement optimiste à son très beau film noir.
Ultra-stylisée, la mise en scène est entièrement dévolue à la sublimation d’un lieu, qui semble se refermer comme un piège sur le principal protagoniste.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Derrière cet habillage virtuose, à même de le cantonner au rang d’exercice de style brillant, Diao Yi’nan entend prolonger ce qu’il a entamé avec "Black Coal" : une étude frontale et faussement détournée de son pays.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
"Le Lac aux oies sauvages", polar d’une très grande maîtrise scénaristique et formelle, confirme le talent de son réalisateur Diao Yinan et la grande vitalité du cinéma chinois actuel [...].
La critique complète est disponible sur le site La Croix
En dépit d'une intrigue parfois nébuleuse, on reste captivé devant cet objet visuel aux frontières de l'installation d'art contemporain. Avant de s'immerger dans ce Lac aux oies sauvages.
Après le retentissement de "Black Coal", Ours d’or à Berlin en 2014, l’internationale cinéphile attendait avec impatience des nouvelles de Diao Yinan, nouvel espoir, non seulement de l’art et essai chinois, mais aussi du polar contemporain. "Le Lac aux oies sauvages" ne déçoit pas, en prolongeant, très clairement, le geste du précédent film.
La critique complète est disponible sur le site Première
Diao Yinan impose une esthétique forte dans ce polar qui brille par sa composition soignée du cadre, avec une idée par plan, flirtant avec l’abstraction.
Diao Yinan réalise un film virtuose et fétichiste, avec des mouvements de caméra très sophistiqués, des jeux de couleur travaillés, des acteurs qui prennent des poses étudiées. (...) Mais le film laisse un goût de déjà-vu,un peu vain aussi, sans doute parce que les personnages n'ont guère d'humanité.
Mais son "Lac aux oies sauvages", édifié comme une avalanche de prouesses flashantes d’une bêtise sans nom, paraît une sortie de route pied au plancher, tous curseurs formalistes poussés à fond dans l’extase synchrone d’en mettre plein les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Franceinfo Culture
Loin du discours officiel, avec des choix de mise en scène forts, le réalisateur Diao Yinan confirme son talent, comme un des meilleurs auteurs-réalisateurs chinois.
La Voix du Nord
Noir et virtuose !
Paris Match
[...] miracle de cinéma qui établit un pont esthétique entre le cinéma hollywoodien des années 50 - «La Dame de Shanghai» d'Orson Welles, bien sûr -, le cinéma chinois contemporain (notamment People Mountain People Sea, déjà photographié par ce génie de Dong Jinsong) sans oublier le cinéma taïwanais et hongkongais des années 90-2000.
Positif
La pluie, les ombres, les flash-back, l’homme en fuite et la femme fatale sont autant de figures du film noir des années 1940 et 1950 que le cinéaste revisite avec virtuosité.
Transfuge
Il n’y a pas de doute : la réappropriation et la reformulation en Extrême-Orient des enjeux narratifs et esthétiques du film noir sont à l’origine d’un des pans les plus excitants du cinéma contemporain.
Télérama
De filatures en courses-poursuites, "Le Lac aux oies sauvages" est une vaste partie de cache-cache mortel, portée par une mise en scène virtuose.
20 Minutes
Ce thriller en forme de plongée dans les bas-fonds chinois surprend par sa violence et son esthétique.
Cahiers du Cinéma
En laissant aux hommes la nuit et la violence et en faisant l’apologie d’une sororité solaire, Diao Yinan offre une mutation finalement optimiste à son très beau film noir.
CinemaTeaser
Un imparable polar en forme de trip esthétique.
Critikat.com
Ultra-stylisée, la mise en scène est entièrement dévolue à la sublimation d’un lieu, qui semble se refermer comme un piège sur le principal protagoniste.
Culturopoing.com
Derrière cet habillage virtuose, à même de le cantonner au rang d’exercice de style brillant, Diao Yi’nan entend prolonger ce qu’il a entamé avec "Black Coal" : une étude frontale et faussement détournée de son pays.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un film noir, mais également emprunt de romantisme. (...) Et qui fait mouche.
L'Express
Du grand et bon cinéma.
L'Obs
Diao Yinan réinvente l’expressionnisme, façon Chine moderne.
La Croix
"Le Lac aux oies sauvages", polar d’une très grande maîtrise scénaristique et formelle, confirme le talent de son réalisateur Diao Yinan et la grande vitalité du cinéma chinois actuel [...].
Le Dauphiné Libéré
Un polar à la chinoise, à la mise en scène haletante.
Le Figaro
Une chasse à l’homme virtuose
Le Monde
"Le Lac aux oies sauvages" est un récit à la fois ténu et palpitant, qui tient tout entier dans l’épiphanie de sa mise en scène.
Le Parisien
L'intrigue devient presque secondaire tant l'image de ce polar noir, sélectionné au Festival de Cannes, est sublime.
Les Fiches du Cinéma
Dans ce nouveau film impressionnant de beauté et de noirceur, Diao Yinan continue de brosser une Chine toujours plus démentielle et désespérée.
Marie Claire
En dépit d'une intrigue parfois nébuleuse, on reste captivé devant cet objet visuel aux frontières de l'installation d'art contemporain. Avant de s'immerger dans ce Lac aux oies sauvages.
Première
Après le retentissement de "Black Coal", Ours d’or à Berlin en 2014, l’internationale cinéphile attendait avec impatience des nouvelles de Diao Yinan, nouvel espoir, non seulement de l’art et essai chinois, mais aussi du polar contemporain. "Le Lac aux oies sauvages" ne déçoit pas, en prolongeant, très clairement, le geste du précédent film.
Sud Ouest
Un beau polar venu de Chine.
Voici
Un polar à l’atmosphère sombre et poisseuse, et aux images sublimes.
Bande à part
Un pur exercice de style virtuose.
Le Journal du Dimanche
Diao Yinan impose une esthétique forte dans ce polar qui brille par sa composition soignée du cadre, avec une idée par plan, flirtant avec l’abstraction.
aVoir-aLire.com
Diao Yi’nan confirme sa maîtrise d’un style qui devrait ne pas plaire au régime en place, mais qui nous offre un superbe spectacle.
Les Inrockuptibles
Diao Yinan réalise un film virtuose et fétichiste, avec des mouvements de caméra très sophistiqués, des jeux de couleur travaillés, des acteurs qui prennent des poses étudiées. (...) Mais le film laisse un goût de déjà-vu,un peu vain aussi, sans doute parce que les personnages n'ont guère d'humanité.
Libération
Mais son "Lac aux oies sauvages", édifié comme une avalanche de prouesses flashantes d’une bêtise sans nom, paraît une sortie de route pied au plancher, tous curseurs formalistes poussés à fond dans l’extase synchrone d’en mettre plein les yeux.