Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Une thriller suffocant et percutant.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Sur un sujet à priori simple, mais complexe en raison du contexte, Rana Kazkaz et Anas Khalaf exploitent cette intrigue, digne d’une série B, pour en faire un grand film politique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Jérôme Garcin
Un film puissant et accablant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
Comme Le Traducteur raconte l'histoire d'un homme qui décide de revenir en Syrie pour sauver son frère, l'impossibilité d'y tourner aurait pu frapper le film d'inanité. Kazkaz et Khalaf en tirent une force en ne cachant jamais cette absence: les lieux clos, filmés de près avec très peu d'extérieurs et de profondeur de champ, relèvent à quel point la Syrie manque à chaque plan.
La Croix
par Céline Rouden
Grâce à une mise en scène tendue et nerveuse, le spectateur est vite happé par la quête de Sami à travers les rues de Damas et le dilemme de ses habitants : s’engager au péril de sa vie ou se taire, partir à l’étranger ou rester.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par B.P.
Ce premier long-métrage, également le premier à traiter sous forme de fiction de ce conflit, aurait gagné à être plus intime. La preuve, il est beaucoup plus convaincant lorsqu'il dépeint le difficile quotidien des Syriens : la peur des voisins vendus au régime, les familles qui se déchirent…
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Si le récit est sans surprise, il fait œuvre utile en proposant au passage une réflexion intéressante sur la vérité et la culpabilité, ainsi qu'une galerie de personnages féminins en lutte loin des canons habituels.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Murielle Joudet
Le film trouve un juste équilibre entre son approche réaliste et les exigences du thriller, jusqu'à sa conclusion légèrement artificielle.
Le Parisien
par La Rédaction
Un film fort, qui ramène chacun à ses responsabilités, à commencer par l’impuissance cynique de la communauté internationale.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
De facture classique, ce thriller propose toutefois un angle d’attaque intéressant sur la révolution syrienne.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Luc Chessel
Il faut faire l’effort d’oublier [l’artifice de la fiction] pour apprécier dans le Traducteur ce qui sonne juste, et qui s’adresse à la mauvaise conscience de l’humanité : l’expression du remords de n’avoir pas fait grand-chose pour secourir, en temps voulu, un morceau d’espoir réel, dont le souvenir précis, racontable, n’a pas encore tout à fait disparu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
La facture est classique, on devine un certain manque de moyens mais le film met intelligemment en exergue le poids des mots pour raconter le combat pour la liberté mais surtout pour la dignité de ceux qui se sont levés contre la dictature.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Bernard Génin
Film didactique et généreux certes, mais dont les rebondissements et flash-back familiaux sont parfois confus, avec l’énorme handicap d’être forcément en dessous d’une réalité effrayante que nous ont montrée, depuis, tant de reportages sur la brutalité du régime syrien.
Première
par Thomas Baurez
Le duo de cinéastes, Rana Kazkaz et Anas Khalaf, eux-mêmes exilés syriens, signent un premier long-métrage tendu en prise quasi directe avec notre présent et traduisent avec acuité la détresse de tout un peuple. Fort.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Tourné en Jordanie, ce premier film raconte alors de façon convaincante la folie d’un pays qui se retourne contre son peuple.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
Une thriller suffocant et percutant.
Franceinfo Culture
Sur un sujet à priori simple, mais complexe en raison du contexte, Rana Kazkaz et Anas Khalaf exploitent cette intrigue, digne d’une série B, pour en faire un grand film politique.
L'Obs
Un film puissant et accablant.
Cahiers du Cinéma
Comme Le Traducteur raconte l'histoire d'un homme qui décide de revenir en Syrie pour sauver son frère, l'impossibilité d'y tourner aurait pu frapper le film d'inanité. Kazkaz et Khalaf en tirent une force en ne cachant jamais cette absence: les lieux clos, filmés de près avec très peu d'extérieurs et de profondeur de champ, relèvent à quel point la Syrie manque à chaque plan.
La Croix
Grâce à une mise en scène tendue et nerveuse, le spectateur est vite happé par la quête de Sami à travers les rues de Damas et le dilemme de ses habitants : s’engager au péril de sa vie ou se taire, partir à l’étranger ou rester.
Le Figaro
Ce premier long-métrage, également le premier à traiter sous forme de fiction de ce conflit, aurait gagné à être plus intime. La preuve, il est beaucoup plus convaincant lorsqu'il dépeint le difficile quotidien des Syriens : la peur des voisins vendus au régime, les familles qui se déchirent…
Le Journal du Dimanche
Si le récit est sans surprise, il fait œuvre utile en proposant au passage une réflexion intéressante sur la vérité et la culpabilité, ainsi qu'une galerie de personnages féminins en lutte loin des canons habituels.
Le Monde
Le film trouve un juste équilibre entre son approche réaliste et les exigences du thriller, jusqu'à sa conclusion légèrement artificielle.
Le Parisien
Un film fort, qui ramène chacun à ses responsabilités, à commencer par l’impuissance cynique de la communauté internationale.
Les Fiches du Cinéma
De facture classique, ce thriller propose toutefois un angle d’attaque intéressant sur la révolution syrienne.
Libération
Il faut faire l’effort d’oublier [l’artifice de la fiction] pour apprécier dans le Traducteur ce qui sonne juste, et qui s’adresse à la mauvaise conscience de l’humanité : l’expression du remords de n’avoir pas fait grand-chose pour secourir, en temps voulu, un morceau d’espoir réel, dont le souvenir précis, racontable, n’a pas encore tout à fait disparu.
Paris Match
La facture est classique, on devine un certain manque de moyens mais le film met intelligemment en exergue le poids des mots pour raconter le combat pour la liberté mais surtout pour la dignité de ceux qui se sont levés contre la dictature.
Positif
Film didactique et généreux certes, mais dont les rebondissements et flash-back familiaux sont parfois confus, avec l’énorme handicap d’être forcément en dessous d’une réalité effrayante que nous ont montrée, depuis, tant de reportages sur la brutalité du régime syrien.
Première
Le duo de cinéastes, Rana Kazkaz et Anas Khalaf, eux-mêmes exilés syriens, signent un premier long-métrage tendu en prise quasi directe avec notre présent et traduisent avec acuité la détresse de tout un peuple. Fort.
Télérama
Tourné en Jordanie, ce premier film raconte alors de façon convaincante la folie d’un pays qui se retourne contre son peuple.