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    Jeux d'été
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    Santu2b
    Santu2b

    221 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mars 2014
    Sorti au tout début des années 1950, "Jeux d'été" n'est certainement pas le meilleur Bergman mais porte néanmoins en lui un intérêt on ne peut plus primordial. Car on ne peut qu'être impressionnés par le condensé de thèmes majeurs de l'univers du cinéaste déjà rassemblés dans cette oeuvre : le théâtre, la réflexion sur le métier d'artiste, l'amour, Dieu... En cela, "Jeux d'été" peut aisément être qualifié de film-clé. Les plans où Marie désespérée regarde fixement la caméra sont proprement bouleversants et préfigurent ceux de "Monika", autre film du cinéaste qui aura durablement marqué son époque. Les plans osés, dans tous les cas audacieux fourmillent, comme cette jolie séquence animée dévoilée à mi-parcours. "Jeux d'été" comporte par ailleurs de belles résonances avec un autre film sorti un peu plus tôt "Vers la joie" mais en suit la logique inversée (c'est ici l'amant qui décède) et procède par le même va-et-vient entre passé et présent. Après, les moments d'ennui sont quand même présents et on peut regretter que Bergman se soit davantage orienté ici vers le classicisme. "Jeux d'été" reste en effet axé sur la seule émotion et ne comporte pas encore le lyrisme et la profondeur cérébrale qui peupleront par la suite l'univers du Suédois. A voir absolument.
    Plume231
    Plume231

    3 549 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 août 2011
    Un de mes plus grands trips de cinéphile : les drames en flashback des années 50, et avec ce Bergman qui joue plus avec la fibre émotionnelle du spectateur qu'avec sa fibre cérébrale, il faut bien avouer que j'ai été bien servi. Quelques scènes pas nécessaires des masses comme celles avec l'espèce de clown vers la fin d'où Bergman veut tout d'un coup faire son Bergman cérébral et plus émotionnel ce qui est dommage. Car un Bergman émotionnel peut avoir autant de valeur qu'un Bergman cérébral, "Les Fraises sauvages" (d'ailleurs la scène du film où les deux amants mangent des fraises sauvages est-elle une référence au futur film pour signifier un retour vers le passé ???) l'a prouvé très magistralement et magnifiquement. Le contraste d'ailleurs entre un présent automnal et un passé estival, bien que les apparences étant souvent trompeuses l'un finira par un drame et l'autre par une touche d'espoir, sert très le film en ce sens. Difficile de ne pas signaler une amusante et inattendue petite séquence d'animation qui donne un supplément de charme à tout cela ainsi qu'une forte référence au monde artitisque à travers celui fascinant des ballerines. Sans être parfait, pour moi "Jeux d'été" contrairement à sa réputation n'est pas un Bergman mineur.
    Dora M.
    Dora M.

    50 abonnés 487 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2019
    Le film tarde à démarrer, il n’y a pas vraiment d’intrigue, on suit simplement l’amour naissant entre deux jeunes gens pendant un été, à travers les yeux d’une femme qui revient sur les traces de son passé. C’est donc un peu mou et on ne ressent pas d’attachement pour les personnages, même lorsque L'Événement se produit, dans la dernière partie du film.
    Il y a malgré tout de très jolis plans, de beaux jeux d’ombres et de lumières. Un joli moment du film : lorsque les deux jeunes personnages regardent la pochette d’un vinyle, la jeune fille commence à dessiner dessus et soudain le dessin s’anime et crée une petite parenthèse très originale.
    Je pense quand même que l’ensemble manque de rythme et d’un peu de dramaturgie spoiler: (on comprend par exemple que la jeune fille se fait toucher par son oncle, mais quand elle revient sur cette information, c’est sans souffrance, on ne le voit pas explicitement dans les souvenirs de son passé…)
    .
    Bruno François-Boucher
    Bruno François-Boucher

    98 abonnés 161 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mars 2015
    "Jeux d’été" d’Ingmar Bergman est en tous points exemplaire, photo, jeux d'acteurs, scénario et mise en scène. Je l'ai vu des dizaines de fois, la première fois vers 13 ans, et ce fut un vrai choc. Construit en flashback, le film relate le souvenir d'un terrible et fatal été, hanté par une profonde détresse après qu'une vie ait été broyée de plein fouet. La douleur de la jeune fille vient s'intercaler avec celle de sa vie de danseuse, le cheminement des passions n'aboutissant qu'à plus d'intensité et d'émotion lors de la séquence finale, où, après un dernier entrechat, le rideau de la scène tombe sur l'écran comme un couperet. Magistral.
    Yves G.
    Yves G.

    1 329 abonnés 3 326 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mars 2017
    Marie est danseuse étoile. Elle répète « Le Lac des cygnes ». Elle reçoit au courrier le journal de Henrik, son premier amant, mort une dizaine d’années plus tôt dans des circonstances tragiques. La lecture de ce journal la reconduit sur les lieux du drame et fait affleurer les souvenirs d’un été d’insouciance.

    « Jeux d’été » est une réalisation de jeunesse de Ingmar Bergman, âgé de trente-deux ans à peine. Il contient déjà tous les thèmes de l’œuvre de l’immense cinéaste suédois.

    Une ode à la nature. Les souvenirs de Marie la ramènent à un été ensoleillé durant lesquels les deux amants multipliaient les bains de mer, comme dans Monika (1952). On les voit dévorer des baies comme dans Les Fraises sauvages (1957).

    Dieu est mort. L’œuvre de Bergman est traversée par la question de la foi. C’est le sujet central de son film le plus célèbre, Le septième sceau (1957). Dans Les communiants (1962), Max von Sydow joue le rôle d’un pasteur ébranlé par le suicide de l’une de ses ouailles.

    Mais la vie est la plus forte. On aurait tort de résumer l’œuvre de Bergman à un austère exercice métaphysique et doloriste. Si Dieu est mort, nous dit-il, nous sommes libres d’échapper à son regard et à son courroux, libres de vivre. Et même la mort ne doit pas nous priver du goût de la vie ; car elle ne réussira jamais à nous priver du souvenir de nos bonheurs passés.

    Telles sont déjà en filigrane les étapes de l’évolution du personnage de Marie. Le journal de Hendrik lui rappelle le bonheur qu’elle a connu avec lui, sur les bords de la Baltique. Il lui rappelle son désespoir à sa mort, incompréhensible et inique, qui lui fit perdre la foi. Mais elle l’exhorte à vivre pleinement sa vie, aussi futile et dérisoire soit-elle.
    norman06
    norman06

    310 abonnés 1 609 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2008
    Bergman première manière. Ce mélange de chronique sentimentale et de drame amoureux et humain est, avec "L'Attente des femmes", l'un des meilleurs Bergman de l'avant "Fraises sauvages". Les séquences sur l'île sont fabuleuses dont cette lecture de la pochette d'un disque. Le film permet en outre de (re)découvrir la sensibilité du jeu de Maj-Brit Nilsson.
    Pascal
    Pascal

    125 abonnés 1 435 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juin 2021
    "Jeux d'été " est au plan chronologique le premier "grand" film de Bergman. Réalisé en 1950 , le film est une histoire de deuil après le décès de l"amour de jeunesse, d'une ballerine. Les scènes qui se déroulent pendant ce fameux été tragique , sont les plus belles. Sont déjà présents plusieurs éléments qu'on retrouvera dans certains autred futurs films de ce très important réalisateur : les fraises sauvages, les îles suédoises, la maison de famille, notamment. C'est un excellent film dans la carrière foisonnante et riche en chefs d'œuvre de ce réalisateur hors du commun . A voir sans réserve.
    scorsesejunior54
    scorsesejunior54

    139 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mars 2008
    "Jeux d'Eté" est un Bergman quelque peu méconnu du grand public. Pourtant, il n'en demeure pas moins un long-métrage d'excellente facture, tout à fait typique de son auteur et respirant d'un bout à l'autre la maîtrise du célèbre cinéaste Suédois. 1950 ou 1951, peu importent les dates : à vrai dire, il est aisé de se laisser emporter par ce mélodrame romantique s'envolant régulièrement dans un lyrisme bouleversant. On peut au début de l'oeuvre se questionner sur les choix artistiques du metteur en scène : était-il nécessaire d'opérer par l'intermédiaire de retours en arrière, qu'apportent si ce ne sont des clichés les scènes actuelles, en quoi les supports narratifs (le journal intime notamment) proposent-ils quelque chose de profond ? Et puis, les doutes s'en vont et laissent place à la beauté formelle se dégageant de la plupart des films de Bergman : des plans osés, variés, riches, inventifs, s'enchaînant à un rythme plutôt soutenu et constituant un ensemble visuel souvent inattendu, quasiment tout le temps en parfaite adéquation avec le fond du film. Car "Jeux d'Eté" que certains trouveront trop romantique, trop appuyé, trop mièvre même n'est pas conçu autour de bases fragiles : les personnages sont creusés et donc intéressants, s'accordant en plus complètement avec les thématiques "Bergmaniennes". Enfin, le retour au présent justifie un début pouvant paraître hésitant, notamment par l'intermédiaire de la critique de la société du spectacle proposée et la dramaturgie évidente, profonde, puissante ne cessant de nous prendre aux tripes. La très bonne interprétation n'a fait que renforcer mon avis très positif et pardonner un peu plus les très rares scènes discutables car convenues. Dans l'ensemble, Bergman manifeste avec "Jeux d'Eté" une grâce tout à fait personnelle qui ne le quittera plus et parvient à faire sortir du lot un drame qui en d'autres mains aurait sombré dans l'exagération et la banalité. Remarquable, ce film passionnant mérite d'être (re)découvert.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    234 abonnés 1 602 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 novembre 2013
    Ce film ne compte pas parmi les plus connus de Bergman, mais il n'est pas le moins intéressant. Jeux d'été annonce une autre oeuvre du cinéaste, Monika, qui sera tournée deux ans plus tard. Les deux films évoquent des amours de jeunesse durant un été, dans un décor insulaire où le sentiment de nature est très présent. Moins érotique que Monika, Jeux d'été est aussi moins noir et amer au final. Une pointe d'optimisme - comme une renaissance - semble l'emporter sur la cruauté et l'injustice de l'existence. Cela dit, le coeur du récit est tout empreint de nostalgie et de mélancolie. Bergman brode autour de thèmes qui lui sont chers : l'amour et la mort, la jeunesse perdue, le poids du passé, le sens de la vie, Dieu, le mystère féminin, l'art et la condition d'artiste... Il développe particulièrement une réflexion sur le deuil, la culpabilité de vivre, la carapace que l'on se construit inconsciemment pour survivre, le droit au bonheur. Intelligemment écrit, Jeux d'été est moins cérébral que bien des films du réalisateur suédois et fait la part belle aux émotions. C'est là qu'il trouve sa beauté. Sur le plan formel, c'est un certain classicisme qui domine (à l'exception d'une étonnante petite séquence d'animation) : construction en flash-back, noir et blanc très soigné, composition de plans discrètement symbolique... Dans la suite de sa carrière, Bergman creusera des sillons plus profonds via un autre langage cinématographique, plus libre et inventif. Mais ces Jeux d'été resteront en mémoire comme une jolie matrice thématique, subtile et touchante, portant également en son sein une sensibilité et une acuité plus cinglantes, que l'on devine au détour d'une scène étrange et forte, celle de l'entretien avec le maître du ballet.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    132 abonnés 677 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 novembre 2017
    « Il fait partie de ma propre chair. Je préfère « Jeux d'été » pour des raisons d'ordre intime. J'ai fait « Le Septième Sceau » avec mon cerveau, « Jeux d'été » avec mon cœur. Pour la première fois, j'avais l’impression de travailler d’une façon personnelle, d'avoir réalisé un film qu'aucun autre ne pourrait refaire après moi. » — Ingmar Bergman, Cahiers du cinéma n°84, juin 1958
    De fait, « Jeux d'été » est un film éminemment solaire et chaleureux, même s'il est également triste. Solaire car tourné pour partie en plein été suédois, quand le jour est sans fin. C'est l'un sinon le long métrage de Bergman où la nature est la plus mise en valeur : ces plans où le soleil se reflète dans l'eau, où la végétation est épanouie, où les personnages jouent dans une nature rayonnante, sont absolument sublimes. Et l'histoire en elle-même est profondément touchante. Une danseuse étoile de 28 ans (« son visage en paraît 45, son corps 17, elle en a 28 » nous dit-on), se remémore un été où elle rencontra son premier amour. Et par l'entremise d'un flash back, nous retournons vers ce fameux été, où Marie et Henrik filaient alors le parfait amour. Elle, jeune et effrontée, légère et insouciante. Lui, maladroit et fou d'elle, accompagné d'un sympathique chien tout aussi attachant que son jeune maître.
    Et l'on suit ainsi leur découverte mutuelle, leur amour si jeune et si fragile, leurs sentiments parfois tourmentés, mais dans une joie quasi constante, une sorte de fête de tous les instants. « Jeux d'été » comporte des passages parmi les plus réjouissants de l’œuvre d'Ingmar Bergman, sans compter que c'est l'un des tous premiers films où l'on sent sa personnalité réellement poindre derrière les images. En cela, c'est à mon sens tout sauf un long métrage mineur dans la filmographie du Suédois. Qui veut comprendre Bergman ne peut faire l'impasse sur ce film. Il comporte tout son talent : un talent visuel, avec des prises de vues enchanteresses ; un talent scénaristique, avec des sentiments qui jouent aux montagnes russes, un côté terriblement tragique ; un talent de direction d'acteurs, avec une interprétation remarquable, du couple d'acteurs principaux aux seconds rôles.
    J'ai personnellement beaucoup de tendresse pour le jeune héros, Henrik, un peu gauche et peu sûr de lui. Il est vraiment l'âme de ce long métrage, par cette fragilité qui lui confère une grande humanité. Marie quant à elle est par moments particulièrement vivante, avec un regard de feu, rieur... et tantôt éteinte, meurtrie par les évènements et un passé douloureux, meurtrie par une absence inconsolable... Avant de larguer les amarres de ce passé envahissant, et ainsi tenter de renaître.
    Bref, « Jeux d'été » est un film sensible et complexe, gorgé de qualités. Il augure toute la richesse de l’œuvre de Bergman à venir. Parfois lumineux, parfois sombre, c'est l'un des premiers grands longs métrages du cinéaste suédois, et en cela il vaut largement le coup d’œil !
    Charlotte28
    Charlotte28

    98 abonnés 1 783 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2021
    L'esthétique remarquable des plans renforce la beauté des souvenirs qui peuvent enchaîner dans une néfaste nostalgie à l'image de l'oncle Erland ou revêtir un caractère d'irréel onirique qu'il faut reléguer dans un coin du passé pour en tirer une force optimiste ainsi que le comprend l'héroïne. Œuvre de jeunesse qui porte en germes de nombreux questionnements mais propose une poésie originale dans la cinématographie du réalisateur, elle était marquée d'une affection singulière pour Bergman qui la chérissait particulièrement, s'étant laissé aller davantage à l'émotion qu'à la théorisation. Un premier amour qui permet de se délester des douleurs des jeunes années pour embrasser une vie de femme. Touchant et pertinent.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    535 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mai 2016
    Une exception dans l’œuvre de Bergman, la mise en scène prime sur tout le reste, il y plus à contempler qu’à écouter ou réfléchir. Un vrai petit bijou ce qui n’est pas pour Bergman un qualificatif courant. Film d’amour tendre et sentimental, l’érotisme suédois reste caché mais deviné durant la période suivant le décès d’Henrik. C’est avant tout un film sur une femme avec laquelle les spectateurs partagent le temps. Dans ce rôle Maj-Britt Nilsson compose une Marie parfaite qui sait nous communiquer ses émotions tant durant la première partie de sa vie que dans la seconde lorsqu’elle cherche à la reprendre en mains avec l’aide de son journaliste. Comme d’habitude, mais plus encore dans son unité, ce film est maitrisé, les décors participant aux differents états d’âme de Marie. La beauté des scènes de danse saute aux yeux et fait intégralement partie de ‘’Jeux d’été’’,  il y a d ‘ailleurs quelques plans filmés à hauteur des pieds qui forcent l’admiration. Le coté sombre de Bergman n’apparait que par intermittences : la mort qui adore le porto, le gros nuage de deuil et quelques mauvais signes ressentis par Henrik. Un bien beau film en noir et blanc.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    82 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 octobre 2018
    A travers ces Jeux d’été, Ingmar Bergman se livre à une remémoration d’une période estivale et adolescente, celle d’un premier amour. Le film s’inscrit dans une veine extrêmement intimiste – l’élément déclencheur de la narration est un journal intime – dans laquelle le spectateur devra s’engouffrer. Sans ce nécessaire effort, il restera au bord d’un récit imprégné de doux sentiments parfois fleur-bleue. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 26 juin 2009
    L'histoire n'est pas des plus passionnante mais le film vaut le coup d'oeil pour la beauté des images, une technique unique.
    Guillaume182
    Guillaume182

    123 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2012
    Jeux d'été est un film réalisé par Bergman.

    Une histoire tragique sur un amour dérobé.

    Cadrage magnifique, encore une fois j'ai été ébloui par la mise en scène de Bergman.

    Très bons dialogues, une actrice formidable.

    Le film est assez classique, mais dans le fond il pose de bonne question comme la dureté du personnage à revivre après ce qui s'est passé.
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