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Sans crier gare, ce premier opus venu d’Oakland trace sa route, depuis Sundance jusqu’à Deauville. Un buddy movie sans gros bras ni cascades. Avec juste de l’humanité. Beaucoup d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Distingué aux festivals de Sundance et de Deauville, ce film à l’énergie contagieuse aborde avec lucidité et humour le racisme ordinaire aux États-Unis.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Encore trois jours pour que la liberté conditionnelle de Collin prenne fin. En attendant de retrouver une vie normale, il travaille comme déménageur avec Miles, son meilleur ami, dans un Oakland en pleine mutation. On aime.
Entre réalisme et onirisme, comédie et drame, ce film inclassable est une petite merveille d’inventivité qui charrie aussi un discours politique édifiant. Un petit coup de cœur.
Il s’autorise ainsi toutes sortes de parenthèses, de digressions ou d’échappées oniriques (belle scène de cimetière), qui finissent par former, par pointillisme, un tout cohérent, embrassant l’immense complexité des rapports de classe et de race aux Etats-Unis.
"Blindspotting" fait penser aux premiers films de Spike Lee ("Do the Right Thing", en particulier), non seulement par son sujet politico-social mais aussi pour la fraîcheur et la vitalité dont fait preuve le réalisateur Carlos López Estrada, dont c’est le premier long métrage, en intégrant les musiques, les tempos, le langage et les couleurs qui constituent la culture urbaine dont les protagonistes sont pétris.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cette façon d’utiliser le rap comme un équivalent des chansons dans la comédie musicale représente le pari poétique le plus osé de ce premier film dont les qualités surpassent largement les défauts.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ce n’est ni pour son pitch de film à thèse ni pour sa réalisation pas toujours exempte d’effets tapageurs que Blindspotting mérite qu’on s’y attache. (…) le film trouve surtout un ton personnel : celui d’une bromance aux accents politiques.
On sent une sincérité, une blessure aussi, dans les rapports entre l'Amérique black et l'Amérique blanche. Cette force de conviction fait passer les maladresses d'un premier film qui attaque de front le racisme ambiant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Deux jeunes acteurs enthousiasmants mènent Blindspotting, dont ils ont écrit le scénario : ils trouvent le ton juste pour s’adresser à leur génération, parler de la société et de la responsabilité qui incombe à chacun. Ils veulent plaire pour mieux être utiles : deux objectifs joliment atteints.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Car, à force d'alterner moments graves et passages légers, "Blindspotting" devient binaire et semble ne plus savoir où aller. Ce qui s'appelle une (demi) déception.
Voici
Un rythme et un humour ravageur.
20 Minutes
Le réalisateur évite les clichés en surprenant constamment le spectateur.
Bande à part
Sans crier gare, ce premier opus venu d’Oakland trace sa route, depuis Sundance jusqu’à Deauville. Un buddy movie sans gros bras ni cascades. Avec juste de l’humanité. Beaucoup d’humanité.
CNews
[...] drôle et punchy malgré des thématiques graves [...].
CinemaTeaser
Politique, drôle, édifiant, ultra-moderne.
La Croix
Distingué aux festivals de Sundance et de Deauville, ce film à l’énergie contagieuse aborde avec lucidité et humour le racisme ordinaire aux États-Unis.
Le Dauphiné Libéré
Encore trois jours pour que la liberté conditionnelle de Collin prenne fin. En attendant de retrouver une vie normale, il travaille comme déménageur avec Miles, son meilleur ami, dans un Oakland en pleine mutation. On aime.
Le Parisien
Un film drôle, mais aussi percutant.
Les Fiches du Cinéma
Entre réalisme et onirisme, comédie et drame, ce film inclassable est une petite merveille d’inventivité qui charrie aussi un discours politique édifiant. Un petit coup de cœur.
Les Inrockuptibles
Il s’autorise ainsi toutes sortes de parenthèses, de digressions ou d’échappées oniriques (belle scène de cimetière), qui finissent par former, par pointillisme, un tout cohérent, embrassant l’immense complexité des rapports de classe et de race aux Etats-Unis.
Libération
"Blindspotting" fait penser aux premiers films de Spike Lee ("Do the Right Thing", en particulier), non seulement par son sujet politico-social mais aussi pour la fraîcheur et la vitalité dont fait preuve le réalisateur Carlos López Estrada, dont c’est le premier long métrage, en intégrant les musiques, les tempos, le langage et les couleurs qui constituent la culture urbaine dont les protagonistes sont pétris.
Ouest France
Tendu, intelligent, original dans sa forme et doté d'un humour décapant.
Positif
[...] c’est la vie qui exulte à chaque plan dans le décor atypique d’Oakland, admirablement filmé.
Première
Cette façon d’utiliser le rap comme un équivalent des chansons dans la comédie musicale représente le pari poétique le plus osé de ce premier film dont les qualités surpassent largement les défauts.
Rolling Stone
Premier film exemplaire, cette lettre d'amour à Oakland oscille entre sincérité drôlatique et urgence tragique avec une aisance peu commune.
Sud Ouest
Un premier long-métrage irrésistible qui joue sur les clichés et casse les apparences.
Cahiers du Cinéma
Ce n’est ni pour son pitch de film à thèse ni pour sa réalisation pas toujours exempte d’effets tapageurs que Blindspotting mérite qu’on s’y attache. (…) le film trouve surtout un ton personnel : celui d’une bromance aux accents politiques.
L'Obs
On sent une sincérité, une blessure aussi, dans les rapports entre l'Amérique black et l'Amérique blanche. Cette force de conviction fait passer les maladresses d'un premier film qui attaque de front le racisme ambiant.
Le Figaro
Une chronique rageuse et mélancolique.
Le Journal du Dimanche
Le film joue sur les ruptures de ton, alterne sans complexe situations angoissantes et hilarantes. On aurait même apprécié encore plus d’audace.
Télérama
Deux jeunes acteurs enthousiasmants mènent Blindspotting, dont ils ont écrit le scénario : ils trouvent le ton juste pour s’adresser à leur génération, parler de la société et de la responsabilité qui incombe à chacun. Ils veulent plaire pour mieux être utiles : deux objectifs joliment atteints.
L'Express
Car, à force d'alterner moments graves et passages légers, "Blindspotting" devient binaire et semble ne plus savoir où aller. Ce qui s'appelle une (demi) déception.
Le Monde
Comédie, film de rap, oeuvre engagée, polar, le film voudrait tout embrasser, et mal étreint.