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    Une jeunesse dorée
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    27 critiques spectateurs

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    PaulGe G
    PaulGe G

    101 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 janvier 2019
    une jeune pimbêche qui se prend pour Anita Edberg avec une crinière jusqu'au bas du dos (en 1979) un jeune évaporé tatoué (en 1979) qui se prend (J Cocteau) et tout est a l'avenant. un déni de mise en scene, un dialogue ridicule, un scénario indigent et surtout un jeu hyper déplorable . le vrai premier "navet" de l'année c'est a oublier au plus vite
    dominique P.
    dominique P.

    792 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 janvier 2019
    L'histoire du film ne m'intéressait pas trop mais j'ai souhaité le voir pour I. Huppert qui est l'une de mes actrices préférées.
    Franchement je m'attendais à bien pire.
    Il y a des choses que j'ai aimé, d'autres pas, mais dans l'ensemble j'ai passé un bon moment.
    Au final, je suis globalement satisfaite du film.
    colombe P.
    colombe P.

    125 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 janvier 2019
    A la vue des mauvaises critiques, je m'attendais au pire.
    Et bien non, ce n'est pas mauvais, c'est pas mal du tout.
    Je suis bien rentrée dans l'histoire et l'ambiance.
    J'adore les films qui se passent dans les années 70, voilà pourquoi j'ai souhaité le voir.
    Et surtout ce film change de tous les films que l'on peut voir très souvent.
    Yves G.
    Yves G.

    1 317 abonnés 3 316 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 janvier 2019
    Rose (Galatéa Bellugi) a seize ans. Enfant de la DDAS, elle obtient l'autorisation d'aller vivre à Paris avec Michel (Lukas Ionesco), son aîné de six ans.
    On est en 1979 en pleine période disco. Le peintre maudit et la jeune fille s'installent chez des amis bohèmes. Chaque soir, ils vont au Palace et s'y acoquinent à une foule bigarrée de fêtards et de junkies. Un couple de vieux libertins, Lucille (Isabelle Huppert) et Hubert (Melvil Poupaud), les remarque et les prend sous sa coupe.

    Dans "My Little Princess", son premier film, Eva Ionesco racontait son enfance auprès d'une mère toxique qui l'avait prise comme modèle pour ses photos déshabillées. Elle retrouve Isabelle Huppert pour le deuxième pan - un troisième est annoncé - de son autobiographie co-écrit avec son mari Simon Liberati - dont le dernier livre, "Eva", racontait la vie tumultueuse de son épouse.. La jeune Eva/Rose n'est plus une enfant, mais pas encore une adulte. L'excellente Galatéa Bellugi, déjà remarquée dans "Keeper" et dans "L'Apparition", l'incarne avec les longues boucles blondes qui étaient à l'époque à la mode et l'accent gouailleur qui trahissait ses origines.

    C'est hélas la seule actrice à sortir du lot. Car les interprètes de son fiancé, Michel, et de son ami Adrien (Alain Fabien Delon qui ressemble décidément trop à son père pour parvenir jamais à se faire un prénom) semblent plus avoir été choisis sur l'identité de leurs parents que sur leur propre talent. Quant à Isabelle Huppert, comme d'habitude, elle joue le même rôle de grande bourgeoise glaciale et amorale, se dénudant juste ce qu'il faut (jolie pub pour un soutien-gorge ouvert) pour laisser imaginer, à soixante-cinq ans passés, un corps de jeune fille et des seins parfaits à force de discipline.

    Une jeunesse dorée voudrait nous raconter une "parenthèse enchantée" - comme l'avait fait avec autrement de talent Michel Spinosa- entre loi Veil et Sida. Il n'y parvient pas. Faute de moyens, la reconstitution des folles nuits du Palace sonnent faux. Quand Rose et Michel s'installent dans le château de Lucille et Hubert, le triste libertinage de ce quatuor sordide ne dégage aucune tension ni aucune sensualité. L'intérêt qu'avaient suscité pendant la première moitié du film l'histoire et les courbes ravissantes de la jeune Rose a tôt fait de disparaître durant la seconde.
    tubularjeff
    tubularjeff

    7 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 janvier 2019
    Je crois que je viens de voir déjà le plus mauvais film de 2019. Les comédiens surjouent comme jamais, il ne se passe strictement rien, et la reconstitution de la fin des années 70 est bourrée d’anachronismes. On était 6 dans la salle au début, à la fin du film, nous n’étions plus que 2.
    velocio
    velocio

    1 193 abonnés 3 043 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 janvier 2019
    Fille de la photographe Irina Ionesco, Eva Ionesco a fait ses débuts cinématographiques comme comédienne, tournant dès 1976 dans "Le locataire" de Roman Polanski, alors qu’elle n’avait que 11 ans. Elle s’est tournée vers la réalisation en 2006, avec "La loi de la forêt", un moyen métrage expérimental, puis, en 2011, avec "My little princess", son premier long métrage, directement inspiré de sa propre enfance. C’est avec Simone Liberati, son mari, qu’Eva Ionesco a écrit le scénario de "Une jeunesse dorée", suite de "My little princess".
    Dans "My little princess", son premier long métrage, Eva Ionesco s’était donc largement inspirée de son enfance, mettant en scène une mère photographe qui transformait sa fille de 10 ans en modèle, un modèle qu’elle érotisait et dont elle faisait un objet de convoitise. Dans "My little princess", la fillette se prénommait Violetta. Changement de fleur dans "Une jeunesse dorée" : Violetta est devenue Rose, mais c’est bien la suite de sa jeunesse qui nous est racontée par Eva Ionesco, lorsque, après avoir été confiée à la DDASS durant plusieurs mois, elle débarque à Paris en 1979, âgée de 16 ans et accompagnée de Michel, jeune adulte de 22 ans et peintre à ses heures perdues.

    Lorsque Rose et Michel arrivent à Paris, le lieu incontournable où se rencontrent les noctambules parisiens a pour nom Le Palace, ancienne salle de cinéma devenue depuis un an LA boite à la mode, celle où se rencontrent des artistes du cinéma ou de la chanson, des créateurs de mode, des personnalités diverses et des anonymes qui se noient ensemble dans l’ivresse de la nuit, tous vainement obnubilés par leur apparence, tous persuadés d’être différents des autres. Rose et Michel y deviennent vite des habitués et y font la rencontre du couple formé par Lucille et Hubert, une riche bourgeoise et son gigolo, pseudo-écrivain. Un rapport toxique va alors s’établir entre Rose et Michel et ces quinquagénaires friqués et désœuvrés.
    Si la forme du film s’avère de très bonne qualité, grâce, surtout, au travail de la Directrice de la photographie Agnès Godard, on ne peut pas en dire autant en ce qui concerne le fond : une histoire sans intérêt sur une faune superficielle et sans intérêt.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 18 janvier 2019
    Un univers enivrant, des décors et costumes somptueux ... mais qu'est-ce que c'est mal joué !
    Isabelle Huppert mis à part, le jeu des acteurs est déplorable.
    philcat
    philcat

    3 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 janvier 2019
    voici l'exemple d'un film ou il ne se passe rien...Mais vraiment rien.
    Les acteurs ne font que blablater,flirter entre eux,ça tourne en rond et c'est vite lassant.
    De plus , c'est très mal joué du début a la fin...
    Pourtant j'adore isabelle huppert que je trouve très bonne comédienne,mais là c'est raté..!!
    Elle n'à pas réussi à sauver le film
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 221 abonnés 12 169 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 février 2022
    Des enfants gâtès, des jeunes qui ne font rien dans la vie si ce n'est traîner, douter et se perdre dans la nuit! La fine fleur d'une jeunesse dèpravèe, frimeuse et insouciante qui font la fête jusqu'à mourir au coeur du Faubourg-Montmartre de la fin des seventies! Histoire intime d'un premier amour entre une fille perdue de seize ans et son fiancè artiste! L'atout du film, c'est Galatèa Bellugi, alter ègo de Eva Ionesco, qui s'èprend d'un goût extrême et irraisonnè pour un peintre sans le sou! Isabelle Huppert en combinaison latex noir et Melvil Poupaud en martingale rose complètent la distribution en jouant un couple de bourgeois sans tabou et destructeur! Voilà bien le style de Ionesco qui constitue son rècit en forme de marivaudage libertin, pièces éparpillèes de l'innocence et de l'amour èperdu, avec une B.O bien ancrèe dans les annèes Palace! La romance se veut sincère avec de jeunes acteurs qui surjouent en permanence! Mais on s'y fait ce qui peut surprendre le non-initiè...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 janvier 2019
    Si la consigne donnée aux acteurs étaient de jouer le plus mal possible, c'est très réussi. Je ne suis pas déçu car je n'attendais rien. Les années Palace ça ? Sûrement pas !!
    Vale R.
    Vale R.

    1 abonné 24 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 janvier 2019
    Je m'attendais au pire avec un film décousu..J'ai trouvé ce film superbe avec un quatuor principal d'acteurs formidables. L'époque et l'ambiance fin 70 sont bien restituées. C'est encore la fête, la folie et la fausse insouciance avant le crépuscule où beaucoup de ces personnes mourront de suicide, de drogue et du déferlement de la vague sida. On suit une jeune fille sortie de la ddass par son amoureux fils de famille et apprenti peintre qui va vouloir elle aussi rentrer dans ce milieu de la nuit. Après on fait la connaissance d'un autre couple plus âgé dont la femme est une mante religieuse qui fascine et dont son principal plaisir est de séduire des jeunes gens et de séparer des couples. Quand à son mari ex écrivain raté joue aussi bien au dandy qu'au gigolo. Dans ce fillm, on s'amuse de tous ces fêtards à moitié félés mais il y a aussi beaucoup de tragique dans cette sarabande débridée. Comme ce faux mariage et cette ronde où les jeunes sont plus sensés que les aînés. Après maintes pérépéties, le final est surprenant spoiler: car la jeune fille quitte son fiancé et le monde des ténèbres pour entrer dans la lumière en essayant de devenir actrice avec des cours de théâtre.
    Roman A
    Roman A

    6 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 janvier 2019
    Hystérique, pathétique, artificiel, ennuyeux. Il n'y a rien de bon, excepté quelques tenues portés par Isabelle Huppert. Le pire film de ce début d'année
    Benito G
    Benito G

    599 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 janvier 2019
    On sent de la part du réalisateur de nous faire vivre ou revivre par rapport à l'époque ; mais là ou la nostalgie aurait pu gagner le spectateur ; ce n'est malheureusement pas le cas. Malgré les fêtes, très souvent ; on pourrait penser qu'il a une certaine par rapport à la solitude. Passé ce moment, "la seconde partie", se joue plus en huit clos ou d'ailleurs certaines choses sans réponse concrète à la suite ; mais heureusement les années 80 ont été très bien ressuscité. Pour les musiques ainsi que de nombreux "journaliste" ; nous fait ressentir que le réalisateur ne cherché pas spécialement à être réaliste de A à Z. Concernant les acteurs sont plus ou moins connu brille tout le long. On y retrouve même "le palace qui grâce aux images ; excelle sur ce point ou l'on devient "moins tendu". Pas le film de l'année, ni même du moins du mois. LE scénario n'aidant en rien, trop de facilité ; mais au bout d'un moment l'ennui nous laisse espérer quand même un bon final ; mais toujours pas. Bref, un scénario pas glorieux , manquant de "punch". Ce qui aurait été plus prenant, nous rendrait plus attentif. Mais cela ne passe pas s'amène à nous faire une mise en scène faiblarde, malgré un bon casting (notamment Isabelle Hupert). Cela ne relève pas du tout le film même pas le final que l'on vient de voir. bref, un film plutôt ennuyeux ou seul peut être le casting est à noter. Le reste vous pouvez oublié… On comprends la faible distribution..
    Ciné2909
    Ciné2909

    66 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 2 mars 2019
    Voilà un film qui ne vous laissera pas indifférent à plus d’un titre ! D’abord, parce qu’il se dégage du film une atmosphère libertine (ce qui n’est pas déplaire à certains, oui je parle de toi là !), on est par contre moins à l’aise devant le mauvais jeu d’acteur pour certains personnages. Malheureusement, dès les premiers instants du film, on sent que Galatea Bellugi peine à trouver ses marques et c’est loin de s’arranger par la suite. On n’est pas davantage convaincu par Lukas Ionesco si bien que le tandem Isabelle Huppert / Melvil Poupaud essaye tant bien que mal de sauver les meubles. Si on peut accorder à Une jeunesse dorée d’avoir su plus ou moins bien retranscrire l’atmosphère d’une époque insouciante, cela ne nous empêche pas d'être assommé par la médiocrité des premiers rôles.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 janvier 2019
    Film vu en avant-première dans une salle comble, le film a fait forte impression. Une histoire d'amour tortueuse, touchante, dans un monde déconnecté de la réalité magnifiquement mis en scène. La fin ouvre sur un troisième opus qu'Eva Ionesco fera sûrement et que j'irai voir avec grand plaisir !
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