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26 critiques presse
Culturopoing.com
par Carine Trenteun
Plus épuré, sensible, innocent que ses précédents films, « Adoration » de Fabrice du Welz réussit à toucher merveilleusement à l'intime avec ce conte cruel initiatique : Fantine Harduin propose une Gloria toute aussi rayonnante et dangereuse que Lola Dueñas dans « Alléluia », Thomas Gioria confirme ici tout son talent dans ce nouveau registre d'amoureux raide dingue, Benoît Poelvoorde tout en retenue est bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Au fil de leur fuite, Adoration s’ouvre à quelque chose de plus grand encore que ses héros : une élévation poétique.
Mad Movies
par Cédric Delelée
Avec cette odyssée poétique et cruelle baignant dans une nature organique où l’amour est assez puissant pour aveugler les êtres les plus purs, du Welz signe son film le plus profond et le plus sensible, où les rencontres avec les adultes peuvent aussi bien suggérer les déviances les plus abjectes que déployer un lyrisme bouleversant [...].
20 Minutes
par Caroline Vié
Le jeune couple d’Adoration, formé par Fantine Harduin et Thomas Gioria, est fascinant.
Ecran Large
par Simon Riaux
"Adoration" est un conte enivrant et singulier, où la caméra scrute une romance tragique et absolue, portée par la mise en scène fiévreuse de Fabrice Du Welz et la photographie bouillonnante de Manuel Dacosse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
Le jeu de Thomas Giora d'une grande pureté rend l'histoire crédible, et assez envoûtante.
L'Ecran Fantastique
par Julien Cassarino
Véritable accomplissement d'une carrière placée sous le signe de l’exacerbation sincère des sentiments, "Adoration" s’affirme comme une œuvre précieuse, introspective et contemplative, rythmée par les battements de cœur et les coups de sang de son couple enfiévré, à l'image du geste artistique et de la touchante personnalité de son orchestrateur : absolue jusqu’au vertige et d’une poignante fragilité.
L'Obs
par François Forestier
Dans ce qui aurait pu être un conte genre « Hansel et Gretel », le cinéaste intercale des moments de poésie et des instants de pure noirceur. Il transforme le récit en œuvre surréaliste et fascinante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
"Adoration" est le nouvel objet d’un voyage. Encore une fois, les personnages avancent à tâtons ou au gré d’une barque qui traverse cette brume qui les emmène dans leur monde, leur néant, leur tout, loin des règles qui régissaient, jadis, leurs vies.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Un road-movie cruel sur les monstres que l’on enferme et l’amour malade, avec une révélation : Thomas Gioria. Film culte en vue.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Philippe Rouyer
La force de ce sixième long métrage de Fabrice Du Welz tient à sa manière unique d’ancrer son intrigue dans le réel, pour mieux la faire décoller vers le conte.
CinemaTeaser
par Alex Masson
Fabrice du Welz poursuit son étude de la folie amoureuse, entre fougue et fugue.
Critikat.com
par Chloé Cavillier
Si Adoration prend le parti de l’épure, il n’échappe cependant pas à une forme de lourdeur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Ce long-métrage, entre thriller et drame psychologique, emprunte des chemins de réalisation singuliers, parfois très réussis. On est moins convaincu par les scènes dramatiques, un peu forcées.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Adoration ne lésine pas sur les effets de mise en scène, atteignant souvent leur cible d’une émotion à fleur de peau, mais agaçant aussi par leur incapacité à se faire oublier.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un récit initiatique envoûtant sur l'amour fou et la perte de l'innocence.
Le Parisien
par La Rédaction
Présenté comme le troisième volet de la « trilogie ardennaise », après les déjà très bizarres « Calvaire » (2004) et « Alleluia » (2014), « Adoration » poursuit son exploration de la psyché humaine entamée par un Fabrice Du Welz qui sort une fois de plus des sentiers battus.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Sud Ouest
par Sophie Avon
Une odyssée à la Mark Twain, où deux enfants perdus s'en vont au fil de l'eau.
Télérama
par Jacques Morice
Il arrive que le récit s'enlise dans la répétition et que le cinéaste cède au formalisme. Reste qu'il sait canaliser l'énergie, tout à tour ragueuse et douce, des deux jeunes comédiens.
Voici
par La Rédaction
Pas mal du tout.
Le Monde
par Thomas Sotinel
La mise en scène repose sur l’exacerbation des sensations, et parvient souvent à immerger le spectateur dans ce monde de fantasmes que traversent les évadés. Mais le film se pique aussi de psychologie et suscite une image de femme enfant fatale à la fois désuète et déplaisante.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un conte noir et sentimental signé Fabrice du Weltz, dont les ambitions poétiques produisent hélas davantage de maniérisme que d’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Thomas Baurez
Les interprètes sont plutôt justes mais doivent faire face à un certain nombre de péripéties balourdes. Inégal.
Première
par Thomas Baurez
La sensibilité à vif qui se dégage ne parvient pas à tenir la distance.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
"Adoration" entretient une vision désespérément niaise d’à peu près tous ses sujets : niaiseries de la démence, de la nature, de l'amour. Une fugue dont on a hâte de rentrer.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
[...] la naïveté du propos et de son imaginaire renvoie plutôt au tout-venant du livre pour adolescents, mêlant des terreurs et des amours suffisamment convenues pour ne pas trop ébranler.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Culturopoing.com
Plus épuré, sensible, innocent que ses précédents films, « Adoration » de Fabrice du Welz réussit à toucher merveilleusement à l'intime avec ce conte cruel initiatique : Fantine Harduin propose une Gloria toute aussi rayonnante et dangereuse que Lola Dueñas dans « Alléluia », Thomas Gioria confirme ici tout son talent dans ce nouveau registre d'amoureux raide dingue, Benoît Poelvoorde tout en retenue est bouleversant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Au fil de leur fuite, Adoration s’ouvre à quelque chose de plus grand encore que ses héros : une élévation poétique.
Mad Movies
Avec cette odyssée poétique et cruelle baignant dans une nature organique où l’amour est assez puissant pour aveugler les êtres les plus purs, du Welz signe son film le plus profond et le plus sensible, où les rencontres avec les adultes peuvent aussi bien suggérer les déviances les plus abjectes que déployer un lyrisme bouleversant [...].
20 Minutes
Le jeune couple d’Adoration, formé par Fantine Harduin et Thomas Gioria, est fascinant.
Ecran Large
"Adoration" est un conte enivrant et singulier, où la caméra scrute une romance tragique et absolue, portée par la mise en scène fiévreuse de Fabrice Du Welz et la photographie bouillonnante de Manuel Dacosse.
Femme Actuelle
Le jeu de Thomas Giora d'une grande pureté rend l'histoire crédible, et assez envoûtante.
L'Ecran Fantastique
Véritable accomplissement d'une carrière placée sous le signe de l’exacerbation sincère des sentiments, "Adoration" s’affirme comme une œuvre précieuse, introspective et contemplative, rythmée par les battements de cœur et les coups de sang de son couple enfiévré, à l'image du geste artistique et de la touchante personnalité de son orchestrateur : absolue jusqu’au vertige et d’une poignante fragilité.
L'Obs
Dans ce qui aurait pu être un conte genre « Hansel et Gretel », le cinéaste intercale des moments de poésie et des instants de pure noirceur. Il transforme le récit en œuvre surréaliste et fascinante.
La Septième Obsession
"Adoration" est le nouvel objet d’un voyage. Encore une fois, les personnages avancent à tâtons ou au gré d’une barque qui traverse cette brume qui les emmène dans leur monde, leur néant, leur tout, loin des règles qui régissaient, jadis, leurs vies.
Paris Match
Un road-movie cruel sur les monstres que l’on enferme et l’amour malade, avec une révélation : Thomas Gioria. Film culte en vue.
Positif
La force de ce sixième long métrage de Fabrice Du Welz tient à sa manière unique d’ancrer son intrigue dans le réel, pour mieux la faire décoller vers le conte.
CinemaTeaser
Fabrice du Welz poursuit son étude de la folie amoureuse, entre fougue et fugue.
Critikat.com
Si Adoration prend le parti de l’épure, il n’échappe cependant pas à une forme de lourdeur.
Franceinfo Culture
Ce long-métrage, entre thriller et drame psychologique, emprunte des chemins de réalisation singuliers, parfois très réussis. On est moins convaincu par les scènes dramatiques, un peu forcées.
La Croix
Adoration ne lésine pas sur les effets de mise en scène, atteignant souvent leur cible d’une émotion à fleur de peau, mais agaçant aussi par leur incapacité à se faire oublier.
Le Journal du Dimanche
Un récit initiatique envoûtant sur l'amour fou et la perte de l'innocence.
Le Parisien
Présenté comme le troisième volet de la « trilogie ardennaise », après les déjà très bizarres « Calvaire » (2004) et « Alleluia » (2014), « Adoration » poursuit son exploration de la psyché humaine entamée par un Fabrice Du Welz qui sort une fois de plus des sentiers battus.
Sud Ouest
Une odyssée à la Mark Twain, où deux enfants perdus s'en vont au fil de l'eau.
Télérama
Il arrive que le récit s'enlise dans la répétition et que le cinéaste cède au formalisme. Reste qu'il sait canaliser l'énergie, tout à tour ragueuse et douce, des deux jeunes comédiens.
Voici
Pas mal du tout.
Le Monde
La mise en scène repose sur l’exacerbation des sensations, et parvient souvent à immerger le spectateur dans ce monde de fantasmes que traversent les évadés. Mais le film se pique aussi de psychologie et suscite une image de femme enfant fatale à la fois désuète et déplaisante.
Les Fiches du Cinéma
Un conte noir et sentimental signé Fabrice du Weltz, dont les ambitions poétiques produisent hélas davantage de maniérisme que d’émotion.
Ouest France
Les interprètes sont plutôt justes mais doivent faire face à un certain nombre de péripéties balourdes. Inégal.
Première
La sensibilité à vif qui se dégage ne parvient pas à tenir la distance.
Les Inrockuptibles
"Adoration" entretient une vision désespérément niaise d’à peu près tous ses sujets : niaiseries de la démence, de la nature, de l'amour. Une fugue dont on a hâte de rentrer.
Libération
[...] la naïveté du propos et de son imaginaire renvoie plutôt au tout-venant du livre pour adolescents, mêlant des terreurs et des amours suffisamment convenues pour ne pas trop ébranler.