Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Cette fascinante étude de caractère nous fait entrer dans l’esprit du génie : à savoir une sublimation incompréhensible de contradictions.
Critikat.com
par Thomas Choury
Le film garde une étonnante limpidité, digressant avec aisance le long de sa forme spiralée partie de John McEnroe pour revenir vers lui en ayant, entre temps, décomposé les mouvements, diffracté le temps et exploré la psyché.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
Plus encore qu’un film sur les courts de tennis, le brillant documentaire de Julien Faraut est un cours magistral de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Guidé par cet angle moins fumeux qu’il n’en a l’air, Faraut compose un passionnant patchwork réflexif, narré par Mathieu Amalric.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Exhumant des images oubliées, Julien Faraut réalise un film prodigieux sur la science fulgurante et le comportement erratique de ce tennisman d’exception.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Le film est donc un petit traité amoureux et galvanisant, nerveux et tendu, sur un artiste méticuleux au possible, qui considère le sport comme un art, comme un endroit centripète et victorieux de son plaisir intime.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
La phrase en exergue – « Le cinéma ment, pas le sport » (Jean-Luc Godard) – met en alerte sur un documentaire qui irait bien au-delà du tennis. C’est le cas.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le documentaire de Julien Faraut, riche de nombreuses images inédites, montre que le spectacle n'a rien perdu de sa force ni de sa puissance de fascination.
Le Figaro
par La Rédaction
Un portrait fascinant de McEnroe et un récit haletant de sa finale de Roland-Garros 1984, perdue contre le Tchécoslovaque Ivan Lendl.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Chaque coup du génial attaquant américain est analysé, mais surtout, le film scénarise l’une des plus mythiques finales de Roland-Garros, le McEnroe-Lendl de 1984, que le premier n’aurait jamais dû perdre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Olivier de Bruyn
Indispensable pour les amateurs.
Positif
par Grégory Valens
[...] "L'Empire de la perfection" repose sur un choix d'images d'archives inédites d'une puissance stupéfiante : rarement en effet les joueurs ont été filmés d'un point de vue si proche.
Télérama
par Samuel Douhaire
Julien Faraut parvient pourtant à créer du suspense, grâce à ses ralentis qui suspendent le temps, ses effets de réverbération sonores, sa bande musicale qui alterne entre rock agressif et mélodie de western. Ce n’est plus un match de tennis, c’est une tragédie…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au-delà du sport, cette étude du mouvement, qui prolonge celle du pionnier du cinéma, Etienne-Jules Marey, est une réflexion cérébrale et formaliste dans la lignée de celle d’un grand “cinéfils”, Serge Daney, fondu de tennis.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par D.B.
Secondé par la voix de Mathieu Amalric, il transpose à son sujet une esthétique du cinéma, si bien qu’on ne sait plus trop si l’on doit s’intéresser au joueur ou à la manière de le filmer. En dépit de redites, l’amateur de tennis y trouvera son compte.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Julien Faraut utilise habilement les archives de Roland-Garros pour restituer toute la grandeur du tennisman américain.
Les Fiches du Cinéma
par Lara Rousseau
À partir des rushes de Gil de Kermadec, qui filma le tennisman John McEnroe cinq ans durant dans les années 1980, Julien Faraut réalise un documentaire à la fois ludique et un peu paresseux, mettant en abyme sport et cinéma, acteur et sportif.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Si l’ensemble frôle par moments un didactisme un peu insistant, "L’Empire de la perfection" réussit le pari de son (re)mariage entre sport et cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Perrine Quennesson
Narré par la voix amusée de Mathieu Amalric, L’empire de la perfection glisse de la figure du tennisman à l’idée beaucoup plus conceptuelle de la précellence ou, du moins, du drame de sa vaine recherche. Et le cinéaste de lever le voile de la stratégie dissimulée sous le spectacle.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par Antoine Le Fur
Si "L'Empire de la perfection" évite les idées reçues qui réduisent le sportif à un champion impulsif et colérique, il tombe malheureusement dans une abstraction qui laisse de côté le spectateur néophyte du tennis.
Cahiers du Cinéma
Cette fascinante étude de caractère nous fait entrer dans l’esprit du génie : à savoir une sublimation incompréhensible de contradictions.
Critikat.com
Le film garde une étonnante limpidité, digressant avec aisance le long de sa forme spiralée partie de John McEnroe pour revenir vers lui en ayant, entre temps, décomposé les mouvements, diffracté le temps et exploré la psyché.
Culturopoing.com
Plus encore qu’un film sur les courts de tennis, le brillant documentaire de Julien Faraut est un cours magistral de cinéma.
L'Obs
Guidé par cet angle moins fumeux qu’il n’en a l’air, Faraut compose un passionnant patchwork réflexif, narré par Mathieu Amalric.
La Croix
Exhumant des images oubliées, Julien Faraut réalise un film prodigieux sur la science fulgurante et le comportement erratique de ce tennisman d’exception.
La Septième Obsession
Le film est donc un petit traité amoureux et galvanisant, nerveux et tendu, sur un artiste méticuleux au possible, qui considère le sport comme un art, comme un endroit centripète et victorieux de son plaisir intime.
La Voix du Nord
La phrase en exergue – « Le cinéma ment, pas le sport » (Jean-Luc Godard) – met en alerte sur un documentaire qui irait bien au-delà du tennis. C’est le cas.
Le Dauphiné Libéré
Le documentaire de Julien Faraut, riche de nombreuses images inédites, montre que le spectacle n'a rien perdu de sa force ni de sa puissance de fascination.
Le Figaro
Un portrait fascinant de McEnroe et un récit haletant de sa finale de Roland-Garros 1984, perdue contre le Tchécoslovaque Ivan Lendl.
Le Parisien
Chaque coup du génial attaquant américain est analysé, mais surtout, le film scénarise l’une des plus mythiques finales de Roland-Garros, le McEnroe-Lendl de 1984, que le premier n’aurait jamais dû perdre.
Marianne
Indispensable pour les amateurs.
Positif
[...] "L'Empire de la perfection" repose sur un choix d'images d'archives inédites d'une puissance stupéfiante : rarement en effet les joueurs ont été filmés d'un point de vue si proche.
Télérama
Julien Faraut parvient pourtant à créer du suspense, grâce à ses ralentis qui suspendent le temps, ses effets de réverbération sonores, sa bande musicale qui alterne entre rock agressif et mélodie de western. Ce n’est plus un match de tennis, c’est une tragédie…
L'Humanité
Au-delà du sport, cette étude du mouvement, qui prolonge celle du pionnier du cinéma, Etienne-Jules Marey, est une réflexion cérébrale et formaliste dans la lignée de celle d’un grand “cinéfils”, Serge Daney, fondu de tennis.
Le Journal du Dimanche
Secondé par la voix de Mathieu Amalric, il transpose à son sujet une esthétique du cinéma, si bien qu’on ne sait plus trop si l’on doit s’intéresser au joueur ou à la manière de le filmer. En dépit de redites, l’amateur de tennis y trouvera son compte.
Le Monde
Julien Faraut utilise habilement les archives de Roland-Garros pour restituer toute la grandeur du tennisman américain.
Les Fiches du Cinéma
À partir des rushes de Gil de Kermadec, qui filma le tennisman John McEnroe cinq ans durant dans les années 1980, Julien Faraut réalise un documentaire à la fois ludique et un peu paresseux, mettant en abyme sport et cinéma, acteur et sportif.
Les Inrockuptibles
Si l’ensemble frôle par moments un didactisme un peu insistant, "L’Empire de la perfection" réussit le pari de son (re)mariage entre sport et cinéma.
Première
Narré par la voix amusée de Mathieu Amalric, L’empire de la perfection glisse de la figure du tennisman à l’idée beaucoup plus conceptuelle de la précellence ou, du moins, du drame de sa vaine recherche. Et le cinéaste de lever le voile de la stratégie dissimulée sous le spectacle.
L'Express
Si "L'Empire de la perfection" évite les idées reçues qui réduisent le sportif à un champion impulsif et colérique, il tombe malheureusement dans une abstraction qui laisse de côté le spectateur néophyte du tennis.