Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Ecran Large
par Simon Riaux
"Un Grand Voyage vers la Nuit" n'est pas seulement un plaisant songe doublé d'un tour de force technique. Il s'agit d'un miracle qui emporte le médium vers des cîmes inconnues et nous invite à une rêverie terrassante de beauté.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
Cette frontière entre le long début et la grande fin n’est pas une ligne de partage mais une ligne de fuite qui autorise toutes les brisures et que l’on y danse d’un pied sur l’autre. Elle est un équateur sans visa, sinon un idéogramme volatil qui, à mi-chemin, tatoue sur l’écran le titre du film, une zone de grande intempérie où, à midiminuit, tout brûle aux rayons d’une lune noire qui nous met la tête à l’envers.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marius Chapuis
Une dérive déchirante et déchirée, entre couloirs de la mémoire et rues de sa ville natale, conclue par une folle prouesse en 3D.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Séance d'hypnose cinématographique, précipité de cinéma sous sa forme la plus pure - un homme, une femme, la nuit, la pluie-, "Un grand voyage vers la nuit" est un miracle, un mirage et une illumination.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Alain Masson
Avec son parfum de mystère nourri d'une trouble sensualité qui explose lors d'une extraordinaire seconde partie sous forme d'un vertigineux plan-séquence en 3D, "Un grand voyage vers la nuit" a électrisé le festival de Cannes en mai 2018.
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
[...] une oeuvre hors norme.
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Cryptique, hypnotique et virtuose, le second long-métrage de Bi Gan est une véritable expérience de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Corentin Lê
Plongeant dans les limbes passionnantes de son cinéma, Bi Gan creuse avec précision les brèches ouvertes par Kaili Blues.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Le 7e art ne cesse de se redécouvrir, de se réinventer. C’est la grande leçon de ce conte chinois, erratique et hiératique, symphonie de couleurs tamisées, long poème visuel, énigmatique, hypnotique et sensuel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Le film se compose du maillage de toutes ces temporalités et de tous ces sentiments. Le burlesque n’est pas loin, embusqué à l’orée des plans, prêt à bondir quand on s’y attend le moins.
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Déroutant, virtuose, magique, le nouveau film de Bi Gan comble les sens autant que l’esprit et retrouve, au cours de ce tendre et majestueux voyage entre rêve et souvenir, l’enfance foraine du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
Et si on ne comprend pas tout, ce n'est pas grave, tant le voyage se révèle plastiquement magistral et ensorcelant.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une œuvre d’atmosphère romantique et onirique, avec des séquences parfois un peu gratuites mais virtuoses.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le cinéaste cite Modiano comme modèle, on pense davantage à Lewis Carroll, Tsai Ming-liang et David Lynch. Plus qu'un film, une expérience.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Beau et vain, sauf à considérer que la beauté n'est jamais vaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Il ne reste plus qu’à espérer que le cinéaste, qui ne manque pas de talent, revienne de ce grand voyage au bout du bidon.
Première
par Gaël Golhen
Le très long plan-séquence final, aussi époustouflant soit-il, finit d’assommer le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ecran Large
"Un Grand Voyage vers la Nuit" n'est pas seulement un plaisant songe doublé d'un tour de force technique. Il s'agit d'un miracle qui emporte le médium vers des cîmes inconnues et nous invite à une rêverie terrassante de beauté.
Les Inrockuptibles
Cette frontière entre le long début et la grande fin n’est pas une ligne de partage mais une ligne de fuite qui autorise toutes les brisures et que l’on y danse d’un pied sur l’autre. Elle est un équateur sans visa, sinon un idéogramme volatil qui, à mi-chemin, tatoue sur l’écran le titre du film, une zone de grande intempérie où, à midiminuit, tout brûle aux rayons d’une lune noire qui nous met la tête à l’envers.
Libération
Une dérive déchirante et déchirée, entre couloirs de la mémoire et rues de sa ville natale, conclue par une folle prouesse en 3D.
Paris Match
Séance d'hypnose cinématographique, précipité de cinéma sous sa forme la plus pure - un homme, une femme, la nuit, la pluie-, "Un grand voyage vers la nuit" est un miracle, un mirage et une illumination.
Positif
Avec son parfum de mystère nourri d'une trouble sensualité qui explose lors d'une extraordinaire seconde partie sous forme d'un vertigineux plan-séquence en 3D, "Un grand voyage vers la nuit" a électrisé le festival de Cannes en mai 2018.
Transfuge
[...] une oeuvre hors norme.
Bande à part
Cryptique, hypnotique et virtuose, le second long-métrage de Bi Gan est une véritable expérience de cinéma.
Critikat.com
Plongeant dans les limbes passionnantes de son cinéma, Bi Gan creuse avec précision les brèches ouvertes par Kaili Blues.
La Croix
Le 7e art ne cesse de se redécouvrir, de se réinventer. C’est la grande leçon de ce conte chinois, erratique et hiératique, symphonie de couleurs tamisées, long poème visuel, énigmatique, hypnotique et sensuel.
La Septième Obsession
Le film se compose du maillage de toutes ces temporalités et de tous ces sentiments. Le burlesque n’est pas loin, embusqué à l’orée des plans, prêt à bondir quand on s’y attend le moins.
Les Fiches du Cinéma
Déroutant, virtuose, magique, le nouveau film de Bi Gan comble les sens autant que l’esprit et retrouve, au cours de ce tendre et majestueux voyage entre rêve et souvenir, l’enfance foraine du cinéma.
Marie Claire
Et si on ne comprend pas tout, ce n'est pas grave, tant le voyage se révèle plastiquement magistral et ensorcelant.
L'Humanité
Une œuvre d’atmosphère romantique et onirique, avec des séquences parfois un peu gratuites mais virtuoses.
L'Obs
Le cinéaste cite Modiano comme modèle, on pense davantage à Lewis Carroll, Tsai Ming-liang et David Lynch. Plus qu'un film, une expérience.
Le Figaro
Beau et vain, sauf à considérer que la beauté n'est jamais vaine.
Cahiers du Cinéma
Il ne reste plus qu’à espérer que le cinéaste, qui ne manque pas de talent, revienne de ce grand voyage au bout du bidon.
Première
Le très long plan-séquence final, aussi époustouflant soit-il, finit d’assommer le spectateur.