Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Ni chef-d’œuvre ni film mineur, Jojo Rabbit ridiculise Hitler à hauteur d’enfant, dans la lignée burlesque de Le Dictateur (1940) de Charlie Chaplin, plus lointainement de Les Producteurs (1968) de Mel Brooks.
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Une œuvre à part, servie par un casting impeccable, une réalisation qui ose l’anachronisme sans mépriser son sujet, une histoire intemporelle en forme de doigt d’honneur géant à la haine, au racisme et à la bêtise. Pour nous, ce n’est pas juste un bon moment : c’est un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
20 Minutes
par Caroline Vié
Une satire brillante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Taika Waititi [...] tourne en ridicule les grandes figures de la Gestapo pour les rendre plus humaines, et dénonce, avec brio, les ravages d’une guerre sur une jeunesse encore malléable.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Quelques séquences mémorables – le long dialogue, sublime, de Jojo avec sa mère au bord de l’eau – et une scène finale splendide.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Bien plus profond qu'il en a l'air, "Jojo Rabbit" n'élude jamais la complexité des sujets qu'il aborde et les traite grâce à un jeu jouissif sur les ruptures de ton. Ainsi, il traque avec sensibilité l'humanité qui réside, bien cachée, dans ses personnages et nous fait grandir en même temps que son jeune protagoniste.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Héléna Villovitch
Terriblement originale et personnelle, l'histoire fonctionne à merveille. Bravo !
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Tantôt drôle, touchant ou effroyable, ce film possède en tout cas un ton original.
L'Express
par Antoine Le Fur
"Jojo Rabbit" ou le "feel good movie" de ce début d'année.
L'Humanité
par La Rédaction
Souvent drôle, enlevée, cette comédie sur l'enfance exalte l'imaginaire et le rêve, seul exutoire de liberté dans un univers corseté et totalitaire.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Politiquement incorrect mais pas trash, « Jojo Rabbit » se place à hauteur d’enfant pour interroger l’innocence, déconstruire les fantasmes et faire naître l’espoir. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une satire féroce et désopilante (...). Un film pétri d'humour noir.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
POUR : Taika Waititi parvient à un équilibre parfait entre satire et tragédie avec ce conte hautement poétique qui mise sur la rupture de ton permanente pour bousculer le spectateur.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Drôle et tendre, cette satire historique traite du contexte allemand à la fin de la Seconde Guerre mondiale à travers le récit initiatique d’un petit Aryen de 10 ans. En tournant en ridicule la barbarie nazie, Taika Waititi pourrait s’attirer les foudres de certains.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Une franche réussite !
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
Une claque.
Voici
par Daniel Blois
Dans le rire comme dans les larmes, le film s'avère toujours d'une grande justesse.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
C’est toujours un pari risqué que de mettre en scène la barbarie nazie dans un style autant burlesque que poétique. Taika Waititi y parvient avec brio.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Clarisse Fabre
C’est dans ce jeu de dupes, dans le mouvement et le rythme, que Jojo Rabbit sauve finalement sa peau.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un regret : que le cinéaste ait choisi d'interpréter lui-même son Hitler parodique, car à force de forcer le trait, il devient exaspérant. Mais les autres comédiens font merveille, en particulier Scarlett Johansson et la jeune Thomasin McKenzie, époustouflante dans le rôle de la jeune juive désabusée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
Même si n'est pas Chaplin ou Wes Anderson qui veut, le récit est sporadiquement traversé d'éclairs de fantaisie assez drôles et mordants (...).
Libération
par Camille Nevers
Le film est convaincant et accompli tant qu’il parvient à maintenir l’équilibre outrageux entre sa charge sentimentale et sa charge de caricature.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Adrien Gombeaud
Si Jojo Rabbit s’emberlificote dans son épilogue, il reste une anomalie hollywoodienne intéressante, une amorce farceuse glissée dans les engrenages d’une industrie standardisée.
Sud Ouest
par Sophie Avon
C’est une sorte de Tarantino tendre, un hymne à l’enfance, une comédie émouvante et enluminée.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Évoquer le IIIème Reich par la satire n'est pas inédit : Chaplin, Lubitsch et Mel Brooks l'ont fait avec brio. L'aborder à hauteur d'enfant est, en revanche, carrément gonflé.
Télérama
par Jacques Morice
Familial, loufoque et humaniste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Isabelle Danel
Le Néo-Zélandais Taika Waititi s’essaie à la satire sur la vie quotidienne d’un garçon de dix ans enrôlé aux Jeunesses hitlériennes et dont l’ami imaginaire est Adolf en personne. Bien tenté, mais le résultat - malgré une pluie de nominations aux Oscars -, laisse perplexe.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le geste artistique, kamikaze, est appréciable, mais le mélange de fable pour enfants et de galéjade pour les grands est si improbable qu’on se demande à qui le film s’adresse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Satire émoussée du nazisme vu à travers les yeux d’un jeune garçon endoctriné, « Jojo Rabbit » manque de personnalité et de mordant pour réussir son audacieux pari.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
CONTRE : Comme si Waititi était rattrapé par le poids de l’Histoire ou des responsabilités (on est dans une production du groupe Disney), la pochade bascule d’ailleurs assez vite vers une fable initiatique plus convenue: la guerre révèle les êtres, il y a des gentils des deux côtés, l’amour est plus fort que tout. Tout ça pour ça.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Taika Waititi a laissé toute ambition artistique et politique pour se contenter d’un minuscule feel good movie, nullement scandaleux ni même désagréable — tout juste oubliable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par François Cau
[...] non seulement "Jojo Rabbit" n'est pas drôle, mais il est tout ce qu'il y a de convenu.
Ouest France
par Sylvestre Picard
Une idée brillante, mais qui ne tient pas toutes ses promesses.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Écrit à la truelle, jamais drôle ni gracieux malgré son bombardement de signaux de séduction, persuadé que son discours inattaquable et ses références de bon goût suffisent à l’ériger en conte postmoderne, Jojo Rabbit ne suscite finalement que l’embarras.
Critikat.com
par Josué Morel
Jojo Rabbit est un film très bête et laid, faussement méchant et faussement malin, dont le peu d’audace laisse perplexe.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par La Rédaction
L’acteur et réalisateur néo-zélandais sort l’artillerie lourde pour un pétard mouillé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Sylvestre Picard
Taika Waititi était plus inspiré avec son brillant Boy où il racontait son enfance fantasmée en Nouvelle-Zélande et où il incarnait, sur la même ligne tragicomique, son père fantasque et chaplinesque.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ni chef-d’œuvre ni film mineur, Jojo Rabbit ridiculise Hitler à hauteur d’enfant, dans la lignée burlesque de Le Dictateur (1940) de Charlie Chaplin, plus lointainement de Les Producteurs (1968) de Mel Brooks.
Filmsactu
Une œuvre à part, servie par un casting impeccable, une réalisation qui ose l’anachronisme sans mépriser son sujet, une histoire intemporelle en forme de doigt d’honneur géant à la haine, au racisme et à la bêtise. Pour nous, ce n’est pas juste un bon moment : c’est un grand film.
20 Minutes
Une satire brillante.
CNews
Taika Waititi [...] tourne en ridicule les grandes figures de la Gestapo pour les rendre plus humaines, et dénonce, avec brio, les ravages d’une guerre sur une jeunesse encore malléable.
CinemaTeaser
Quelques séquences mémorables – le long dialogue, sublime, de Jojo avec sa mère au bord de l’eau – et une scène finale splendide.
Ecran Large
Bien plus profond qu'il en a l'air, "Jojo Rabbit" n'élude jamais la complexité des sujets qu'il aborde et les traite grâce à un jeu jouissif sur les ruptures de ton. Ainsi, il traque avec sensibilité l'humanité qui réside, bien cachée, dans ses personnages et nous fait grandir en même temps que son jeune protagoniste.
Elle
Terriblement originale et personnelle, l'histoire fonctionne à merveille. Bravo !
Femme Actuelle
Tantôt drôle, touchant ou effroyable, ce film possède en tout cas un ton original.
L'Express
"Jojo Rabbit" ou le "feel good movie" de ce début d'année.
L'Humanité
Souvent drôle, enlevée, cette comédie sur l'enfance exalte l'imaginaire et le rêve, seul exutoire de liberté dans un univers corseté et totalitaire.
La Voix du Nord
Politiquement incorrect mais pas trash, « Jojo Rabbit » se place à hauteur d’enfant pour interroger l’innocence, déconstruire les fantasmes et faire naître l’espoir. Une réussite.
Le Dauphiné Libéré
Une satire féroce et désopilante (...). Un film pétri d'humour noir.
Le Journal du Dimanche
POUR : Taika Waititi parvient à un équilibre parfait entre satire et tragédie avec ce conte hautement poétique qui mise sur la rupture de ton permanente pour bousculer le spectateur.
Les Fiches du Cinéma
Drôle et tendre, cette satire historique traite du contexte allemand à la fin de la Seconde Guerre mondiale à travers le récit initiatique d’un petit Aryen de 10 ans. En tournant en ridicule la barbarie nazie, Taika Waititi pourrait s’attirer les foudres de certains.
Rolling Stone
Une franche réussite !
Télé Loisirs
Une claque.
Voici
Dans le rire comme dans les larmes, le film s'avère toujours d'une grande justesse.
aVoir-aLire.com
C’est toujours un pari risqué que de mettre en scène la barbarie nazie dans un style autant burlesque que poétique. Taika Waititi y parvient avec brio.
Le Monde
C’est dans ce jeu de dupes, dans le mouvement et le rythme, que Jojo Rabbit sauve finalement sa peau.
Le Parisien
Un regret : que le cinéaste ait choisi d'interpréter lui-même son Hitler parodique, car à force de forcer le trait, il devient exaspérant. Mais les autres comédiens font merveille, en particulier Scarlett Johansson et la jeune Thomasin McKenzie, époustouflante dans le rôle de la jeune juive désabusée.
Le Point
Même si n'est pas Chaplin ou Wes Anderson qui veut, le récit est sporadiquement traversé d'éclairs de fantaisie assez drôles et mordants (...).
Libération
Le film est convaincant et accompli tant qu’il parvient à maintenir l’équilibre outrageux entre sa charge sentimentale et sa charge de caricature.
Positif
Si Jojo Rabbit s’emberlificote dans son épilogue, il reste une anomalie hollywoodienne intéressante, une amorce farceuse glissée dans les engrenages d’une industrie standardisée.
Sud Ouest
C’est une sorte de Tarantino tendre, un hymne à l’enfance, une comédie émouvante et enluminée.
Télé 7 Jours
Évoquer le IIIème Reich par la satire n'est pas inédit : Chaplin, Lubitsch et Mel Brooks l'ont fait avec brio. L'aborder à hauteur d'enfant est, en revanche, carrément gonflé.
Télérama
Familial, loufoque et humaniste.
Bande à part
Le Néo-Zélandais Taika Waititi s’essaie à la satire sur la vie quotidienne d’un garçon de dix ans enrôlé aux Jeunesses hitlériennes et dont l’ami imaginaire est Adolf en personne. Bien tenté, mais le résultat - malgré une pluie de nominations aux Oscars -, laisse perplexe.
L'Obs
Le geste artistique, kamikaze, est appréciable, mais le mélange de fable pour enfants et de galéjade pour les grands est si improbable qu’on se demande à qui le film s’adresse.
La Croix
Satire émoussée du nazisme vu à travers les yeux d’un jeune garçon endoctriné, « Jojo Rabbit » manque de personnalité et de mordant pour réussir son audacieux pari.
Le Journal du Dimanche
CONTRE : Comme si Waititi était rattrapé par le poids de l’Histoire ou des responsabilités (on est dans une production du groupe Disney), la pochade bascule d’ailleurs assez vite vers une fable initiatique plus convenue: la guerre révèle les êtres, il y a des gentils des deux côtés, l’amour est plus fort que tout. Tout ça pour ça.
Les Inrockuptibles
Taika Waititi a laissé toute ambition artistique et politique pour se contenter d’un minuscule feel good movie, nullement scandaleux ni même désagréable — tout juste oubliable.
Mad Movies
[...] non seulement "Jojo Rabbit" n'est pas drôle, mais il est tout ce qu'il y a de convenu.
Ouest France
Une idée brillante, mais qui ne tient pas toutes ses promesses.
Cahiers du Cinéma
Écrit à la truelle, jamais drôle ni gracieux malgré son bombardement de signaux de séduction, persuadé que son discours inattaquable et ses références de bon goût suffisent à l’ériger en conte postmoderne, Jojo Rabbit ne suscite finalement que l’embarras.
Critikat.com
Jojo Rabbit est un film très bête et laid, faussement méchant et faussement malin, dont le peu d’audace laisse perplexe.
Le Figaro
L’acteur et réalisateur néo-zélandais sort l’artillerie lourde pour un pétard mouillé.
Première
Taika Waititi était plus inspiré avec son brillant Boy où il racontait son enfance fantasmée en Nouvelle-Zélande et où il incarnait, sur la même ligne tragicomique, son père fantasque et chaplinesque.