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Un casting cinq étoiles pour un film choral aux répliques acerbes et ciselées, qui se moque avec délice des us et coutumes de la petite bourgeoisie et des bobos parisiens.
Loin d'être d'une renversante originalité, le film se révèle néanmoins un divertissement agréable, où les dialogues rappelant Woody Allen fusent sans temps mort.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Voyez comme ils dansent… Julien sent comme une présence hostile derrière lui en permanence. Alex, son fils apprend qu’Eva, lycéenne de 17 ans a oublié de le prévenir qu’il allait être père. On aime.
Sur un scénario habile de Michel Blanc, qui n’oublie pas, au passage, que la société a changé, cette valse folle donne aux actrices des rôles taillés sur mesure façon haute couture.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
"Embrassez qui vous voudrez", "Voyez comme on danse" : sous la légèreté des comptines affleure toute la gravité d'un monde, conaincu de son apesanteur.
On rit souvent dans cette comédie familiale qui évite le convenu et réjouit pas ses trouvailles, avec des acteurs visiblement heureux d’être là le bon jour à "la bonheur".
Portraitiste et dialoguiste hors pair, Michel Blanc signe une nouvelle comédie chorale efficace, sans doute moins originale et corrosive que la précédente mais bien au-dessus de la moyenne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Si les dialogues semblent parfois un peu artificiels - la recherche du bon mot a ses limites -, on se laisse porter par l'abattage comique des acteurs, Karin Viard et Jean-Paul Rouve en tête.
Mécanique, poussive, voire rance dans sa gestion inepte d'un personnage transgenre, sa nouvelle comédie tire à blanc malgré des répliques assassines. Ça ne danse pas, ça patine.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Malgré le plaisir de retrouver une pléiade de bons acteurs la suite, seize ans après, d’Embrassez qui vous voudrez ne parvient jamais vraiment à décoller.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Cette «fausse suite» d'Embrassez qui vous voudrez frise l'ennui et le grotesque malgré une distribution de choix (Karine Viard, Carole Bouquet, Charlotte Rampling, Jean-Paul Rouve, Jacques Dutronc...). Et pourtant qu'est-ce qu'on aurait aimé s'attacher à cette famille pas banale!
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ce qui gêne vraiment ici, au moins tout autant, peut-être plus encore, que dans "Embrassez qui vous voudrez", c’est la perpétuelle rétractation des velléités libertaires et libertines de Michel Blanc dans les solutions scénaristiques les plus platement conformistes.
CNews
Un casting cinq étoiles pour un film choral aux répliques acerbes et ciselées, qui se moque avec délice des us et coutumes de la petite bourgeoisie et des bobos parisiens.
Femme Actuelle
Un grand divertissement.
Closer
Seize ans après "Embrassez qui vous voudrez", voici la suite des pérégrinations de cette famille pas comme les autres, drôle, aux dialogues ciselés.
L'Express
Loin d'être d'une renversante originalité, le film se révèle néanmoins un divertissement agréable, où les dialogues rappelant Woody Allen fusent sans temps mort.
Le Dauphiné Libéré
Voyez comme ils dansent… Julien sent comme une présence hostile derrière lui en permanence. Alex, son fils apprend qu’Eva, lycéenne de 17 ans a oublié de le prévenir qu’il allait être père. On aime.
Le Parisien
Sur un scénario habile de Michel Blanc, qui n’oublie pas, au passage, que la société a changé, cette valse folle donne aux actrices des rôles taillés sur mesure façon haute couture.
Ouest France
Moins cynique que le précédent, le film voit dans la nouvelle génération, signe des temps, des raisons d'espérer.
Positif
"Embrassez qui vous voudrez", "Voyez comme on danse" : sous la légèreté des comptines affleure toute la gravité d'un monde, conaincu de son apesanteur.
aVoir-aLire.com
Une belle affiche de cinéma qui n’a d’autre ambition que de nous divertir et qui y parvient totalement, grâce à un tempo gentiment moqueur.
Franceinfo Culture
On rit souvent dans cette comédie familiale qui évite le convenu et réjouit pas ses trouvailles, avec des acteurs visiblement heureux d’être là le bon jour à "la bonheur".
La Voix du Nord
Michel Blanc confirme son art du tempo.
Le Journal du Dimanche
Les acteurs s’amusent et s’envoient quelques répliques bien senties, à défaut de vrais rebondissements.
Première
Portraitiste et dialoguiste hors pair, Michel Blanc signe une nouvelle comédie chorale efficace, sans doute moins originale et corrosive que la précédente mais bien au-dessus de la moyenne.
Télé Loisirs
Si les dialogues semblent parfois un peu artificiels - la recherche du bon mot a ses limites -, on se laisse porter par l'abattage comique des acteurs, Karin Viard et Jean-Paul Rouve en tête.
L'Obs
Mécanique, poussive, voire rance dans sa gestion inepte d'un personnage transgenre, sa nouvelle comédie tire à blanc malgré des répliques assassines. Ça ne danse pas, ça patine.
La Croix
Malgré le plaisir de retrouver une pléiade de bons acteurs la suite, seize ans après, d’Embrassez qui vous voudrez ne parvient jamais vraiment à décoller.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Michel Blanc a perdu de la férocité et cruauté du premier volet de son étude de mœurs bourgeoises ; c’est ennuyeux.
Le Figaro
Cette «fausse suite» d'Embrassez qui vous voudrez frise l'ennui et le grotesque malgré une distribution de choix (Karine Viard, Carole Bouquet, Charlotte Rampling, Jean-Paul Rouve, Jacques Dutronc...). Et pourtant qu'est-ce qu'on aurait aimé s'attacher à cette famille pas banale!
Les Inrockuptibles
Ce qui gêne vraiment ici, au moins tout autant, peut-être plus encore, que dans "Embrassez qui vous voudrez", c’est la perpétuelle rétractation des velléités libertaires et libertines de Michel Blanc dans les solutions scénaristiques les plus platement conformistes.
Télérama
La suite, seize ans après, d’Embrassez qui vous voudrez, manque de souffle et de pertinence et repose essentiellement sur l’abattage de Karin Viard.