Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Tout de suite, la beauté est là. Cette grande demeure italienne aux volets clos, perdue dans la campagne, noyée dans une brume estivale est une apparition magique pour le spectateur, mais aussi pour le jeune partisan qui la contemple, un jour de l'année 1943.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Grégory Valens
On retrouve, dans la quête du jeune Milton, cette façon de lier des destins personnels à un arrière-plan historique qui a fait la force de précédents films des réalisateurs.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Les frères Taviani adaptent un roman de Beppe Fenoglio et renouent avec la force poétique de leur oeuvre la plus célèbre, "Padre, Padrone" où la terre sarde servait de cadre à une émancipation rocambolesque pendant la Seconde Guerre mondiale.
Télérama
par Frédéric Strauss
Une leçon de vie belle comme l’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une grande œuvre de cinéma, âpre, décalée et passionnante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
On retrouve dans "Una questione privata" l’intérêt porté par les Taviani aux paysages naturels de leur pays natal, le prisme poétique à travers lequel ils ont souvent évoqué l’Histoire. (...) mais pas de charge émotionnelle comparable à celles qui traversent tant d’autres films.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Jouant de retours en arrière bien articulés, image d’un âge d’or disparu confronté à un présent chaotique, Vittorio et Paolo Taviani distillent une ultime fois leur art de conteurs, au croisement de l’histoire et d’un destin personnel.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Un film à l'ancienne, mais moins vieillot que les précédents de la fratrie. On sent les Taviani émus, inspirés par le sujet.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
La réalité se défait en une série de plans qui seraient presque des tableaux s’ils n’étaient pas instables (...). Et toujours le brouillard finit par s’abattre, pour faire douter des distinctions entre les camps, de la justesse des décisions et des impulsions. Paolo et Vittorio Taviani ne glissent pas pour autant dans le relativisme.
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
Cette adaptation du roman éponyme de Beppe Foniglio par le célèbre tandem du cinéma italien mêle obsession amoureuse et Résistance dans le Piémont des années 1940-43. On aurait aimé saluer sans réserves cette ultime collaboration de deux géants du 7e art…
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baurez
La grande netteté de l’image n’est pas un obstacle, et lorsqu’elle le devient, c’est que le récit a quelque chose à nous dire, comme cette brume tenace qui vient ici contrarier le combat de leur héros tout au long du récit. Une belle leçon de modernité en somme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Thomas Choury
Sous la naphtaline, quelque chose persiste pourtant et ressurgit de temps à autre comme les derniers éclats d’une œuvre fulgurante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par A.L.F.
Décousu, le film finit par laisser le spectateur de côté.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On a bien du mal à suivre le propos décousu des frères cinéastes qui nous trimballent entre romance en flash-back et attaques militaires sur le front. Reste quelques beaux plans de cinéma pour donner du relief à un film qui manque d’enjeux.
Le Figaro
Tout de suite, la beauté est là. Cette grande demeure italienne aux volets clos, perdue dans la campagne, noyée dans une brume estivale est une apparition magique pour le spectateur, mais aussi pour le jeune partisan qui la contemple, un jour de l'année 1943.
Positif
On retrouve, dans la quête du jeune Milton, cette façon de lier des destins personnels à un arrière-plan historique qui a fait la force de précédents films des réalisateurs.
Studio Magazine
Les frères Taviani adaptent un roman de Beppe Fenoglio et renouent avec la force poétique de leur oeuvre la plus célèbre, "Padre, Padrone" où la terre sarde servait de cadre à une émancipation rocambolesque pendant la Seconde Guerre mondiale.
Télérama
Une leçon de vie belle comme l’espoir.
aVoir-aLire.com
Une grande œuvre de cinéma, âpre, décalée et passionnante.
Culturopoing.com
On retrouve dans "Una questione privata" l’intérêt porté par les Taviani aux paysages naturels de leur pays natal, le prisme poétique à travers lequel ils ont souvent évoqué l’Histoire. (...) mais pas de charge émotionnelle comparable à celles qui traversent tant d’autres films.
Franceinfo Culture
Jouant de retours en arrière bien articulés, image d’un âge d’or disparu confronté à un présent chaotique, Vittorio et Paolo Taviani distillent une ultime fois leur art de conteurs, au croisement de l’histoire et d’un destin personnel.
L'Obs
Un film à l'ancienne, mais moins vieillot que les précédents de la fratrie. On sent les Taviani émus, inspirés par le sujet.
Le Monde
La réalité se défait en une série de plans qui seraient presque des tableaux s’ils n’étaient pas instables (...). Et toujours le brouillard finit par s’abattre, pour faire douter des distinctions entre les camps, de la justesse des décisions et des impulsions. Paolo et Vittorio Taviani ne glissent pas pour autant dans le relativisme.
Les Fiches du Cinéma
Cette adaptation du roman éponyme de Beppe Foniglio par le célèbre tandem du cinéma italien mêle obsession amoureuse et Résistance dans le Piémont des années 1940-43. On aurait aimé saluer sans réserves cette ultime collaboration de deux géants du 7e art…
Première
La grande netteté de l’image n’est pas un obstacle, et lorsqu’elle le devient, c’est que le récit a quelque chose à nous dire, comme cette brume tenace qui vient ici contrarier le combat de leur héros tout au long du récit. Une belle leçon de modernité en somme.
Critikat.com
Sous la naphtaline, quelque chose persiste pourtant et ressurgit de temps à autre comme les derniers éclats d’une œuvre fulgurante.
L'Express
Décousu, le film finit par laisser le spectateur de côté.
Le Journal du Dimanche
On a bien du mal à suivre le propos décousu des frères cinéastes qui nous trimballent entre romance en flash-back et attaques militaires sur le front. Reste quelques beaux plans de cinéma pour donner du relief à un film qui manque d’enjeux.