Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Refusant autant le “c’était mieux avant” que l’éloge inconditionnel du progrès, préférant au cynisme un soupçon de légèreté mélancolique, "Doubles vies" est un film aussi dense et réflexif que le sujet qui fait son ciment.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette incursion du réalisateur dans le domaine de la comédie est une une franche réussite.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par Jérôme Garcin
"Doubles Vies", tourné vite et bien en Super 16, est un vaudeville très français qui repose sur les quiproquos, la rhétorique et les champs-contrechamps. Mais aussi, en creux, sur la nostalgie de la littérature d'avant la liseuse électronique, celle, par exemple, des "Destinées sentimentales", le roman de Jacques Chardonne qu'Assayas avait si fidèlement porté à l'écran qu'on y sentait même l'odeur de la vieille encre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Olivier Assayas égratigne le milieu de l'édition parisienne avec une légèreté bienvenue. Et offre de bons numéros d'acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
La virtuosité d'Assayas est de synchroniser le mouvement de ces deux forces inégales. La magnitude de la catastrophe et la petitesse des aspirations et des désirs font deux meules qui broient menu les vies de quelques-uns de nos contemporains.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Une comédie amère, légère et théorique, photographiant l'époque dans un moment de transformation significatif.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier de Bruyn
Une comédie nerveuse qui, au gré de situations bien vues et de dialogues ravageurs, radiographie avec une lucidité amusée quelques maux contemporains (...).
Marie Claire
par Emily Barnett
Fresque du monde matériel en déclin mais ode aux sentiments, cette comédie humaine joue de ces paradoxes avec finesse et vélocité.
Ouest France
par Cédric Page
Un marivaudage savoureux, porté par des comédiens inspirés.
Positif
par Nicolas Bauche
Si l'attachement d'Assayas à l'édition traditionnelle et à l'écrit est viscéral, il en fait son deuil avec ce film choral. "Doubles Vies" le libère d'un fantôme de papier.
Télérama
par Louis Guichard
Trahisons, adultères, collusions… Sur fond de révolution numérique, un vaudeville ironique filmé par Olivier Assayas comme un thriller.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Dans le rôle d'une comédienne bien obligée de s'adapter aussi en tournant des séries policières à la Julie Lescaut, Binoche est impayable !
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Tissant patiemment les liens entre les personnages, le scénario entretient juste à point le mystère autour des notions de vérité et de mensonges et s’articulent dans un cruel face-à-face entre un monde bouleversé et des êtres humains en quête de repères.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Le mouvement des idées fait avancer le film. Sous cet art de la conversation se glisse une forme de morale hédoniste. Et sous l’ironie de cette tendre satire perce l’éloge des intellectuels, indispensables et si précieux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
C’est plaisant, fluide, tantôt drôle et tantôt agaçant à force d’élégance et de stéréotypes chics dont Assayas reste friand, mais pas dupe non plus.
Première
par Frédéric Foubert
La trame de marivaudage bourgeois qu’Assayas greffe par-dessus est très convenue, mais sauvée par une forme d’autodérision et de décontraction plutôt inhabituelles chez l’auteur de Demonlover, qui décortique ici de façon amusante le « culturellement correct » dont il est l’un des emblèmes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Un film très bavard mais à la plume agile, définitivement parisien.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Le flottement sentimental de cet éditeur, cette actrice, ce romancier pris dans leur microcosme parisien, tout cela déclenche pourtant peu d'émotions. Est-ce volontaire ? Le film est heureusement relevé par ses notes d'humour décalé, surtout vers la fin.
La Septième Obsession
par Claire Micallef
C’est en quelque sorte une catharsis pour intellectuels, par le truchement du rire et de la farce, qu’il nous impose ici, ce qui explique que le film, sorte de "castigat ridendo mores" 2.0 aussi plaisant qu’éreintant, ait été très fraîchement accueilli à Venise. On ne se moque pas impunément de ses contemporains.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Rare comédie dans la filmographie riche de presque 25 films d’Olivier Assayas, « Doubles vies » ne fait pas vraiment rire. C’est plutôt l’ennui qui prédomine dans ce long-métrage beaucoup trop bavard (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Valérie Marin La Meslée
Doubles vies est un film intéressant, c'est indéniable. (...) Malheureusement, et malgré la richesse des observations furtives, c'est un peu « fourre-tout ». La parole est maîtresse du jeu et l'image orpheline de beauté. Il manque l'émotion vraie, la grâce, même s'il faut reconnaître qu'elles ne sont pas favorisées par le narcissisme, l'individualisme et l'algorithme.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Transfuge
par Damien Aubel
Le rire est toujours nimbé d'un halo de sérieux, qui le désarmorce. Dommage.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
L’air entendu des dialogues où l’on pérore en citant Lampedusa et le ton souvent blasé des interprètes évoquent une improbable résurrection du cinéma de Roger Vadim (enfin, de ses films les plus habillés).
Critikat.com
par Josué Morel
Cette volonté affichée de ne pas trancher trahit le caractère flottant du regard porté sur le contemporain et révèle une certaine hypocrisie du dispositif, qui feint de laisser ouverts les champs de la réflexion.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Si la dialectique ne peut pas casser des briques, dans "Double vies" elle nous les brise. Tout le film est conçu autour de ce paradigme, une succession d'échanges pontifiants entre bobos narcissiques, ne refaisant pas le monde à moitié ivres à 4 h du matin, mais proférant tour à tour de pseudo vérités dont la pertinence reviendrait à celui qui manie le mieux l'art de la rhétorique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Eric Libiot
Et ça cause. Beaucoup. Tout le temps. De livres et de bits. C'est tout de même très ennuyeux.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Le nouveau film d’Olivier Assayas ne dit rien du monde du livre qu’il caricature mais réunit les poncifs de la comédie sentimentale à la française.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Inrockuptibles
Refusant autant le “c’était mieux avant” que l’éloge inconditionnel du progrès, préférant au cynisme un soupçon de légèreté mélancolique, "Doubles vies" est un film aussi dense et réflexif que le sujet qui fait son ciment.
20 Minutes
Cette incursion du réalisateur dans le domaine de la comédie est une une franche réussite.
L'Obs
"Doubles Vies", tourné vite et bien en Super 16, est un vaudeville très français qui repose sur les quiproquos, la rhétorique et les champs-contrechamps. Mais aussi, en creux, sur la nostalgie de la littérature d'avant la liseuse électronique, celle, par exemple, des "Destinées sentimentales", le roman de Jacques Chardonne qu'Assayas avait si fidèlement porté à l'écran qu'on y sentait même l'odeur de la vieille encre.
Le Figaro
Olivier Assayas égratigne le milieu de l'édition parisienne avec une légèreté bienvenue. Et offre de bons numéros d'acteurs.
Le Monde
La virtuosité d'Assayas est de synchroniser le mouvement de ces deux forces inégales. La magnitude de la catastrophe et la petitesse des aspirations et des désirs font deux meules qui broient menu les vies de quelques-uns de nos contemporains.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie amère, légère et théorique, photographiant l'époque dans un moment de transformation significatif.
Marianne
Une comédie nerveuse qui, au gré de situations bien vues et de dialogues ravageurs, radiographie avec une lucidité amusée quelques maux contemporains (...).
Marie Claire
Fresque du monde matériel en déclin mais ode aux sentiments, cette comédie humaine joue de ces paradoxes avec finesse et vélocité.
Ouest France
Un marivaudage savoureux, porté par des comédiens inspirés.
Positif
Si l'attachement d'Assayas à l'édition traditionnelle et à l'écrit est viscéral, il en fait son deuil avec ce film choral. "Doubles Vies" le libère d'un fantôme de papier.
Télérama
Trahisons, adultères, collusions… Sur fond de révolution numérique, un vaudeville ironique filmé par Olivier Assayas comme un thriller.
Voici
Dans le rôle d'une comédienne bien obligée de s'adapter aussi en tournant des séries policières à la Julie Lescaut, Binoche est impayable !
aVoir-aLire.com
Tissant patiemment les liens entre les personnages, le scénario entretient juste à point le mystère autour des notions de vérité et de mensonges et s’articulent dans un cruel face-à-face entre un monde bouleversé et des êtres humains en quête de repères.
La Croix
Le mouvement des idées fait avancer le film. Sous cet art de la conversation se glisse une forme de morale hédoniste. Et sous l’ironie de cette tendre satire perce l’éloge des intellectuels, indispensables et si précieux.
Le Journal du Dimanche
C’est plaisant, fluide, tantôt drôle et tantôt agaçant à force d’élégance et de stéréotypes chics dont Assayas reste friand, mais pas dupe non plus.
Première
La trame de marivaudage bourgeois qu’Assayas greffe par-dessus est très convenue, mais sauvée par une forme d’autodérision et de décontraction plutôt inhabituelles chez l’auteur de Demonlover, qui décortique ici de façon amusante le « culturellement correct » dont il est l’un des emblèmes.
Rolling Stone
Un film très bavard mais à la plume agile, définitivement parisien.
Femme Actuelle
Le flottement sentimental de cet éditeur, cette actrice, ce romancier pris dans leur microcosme parisien, tout cela déclenche pourtant peu d'émotions. Est-ce volontaire ? Le film est heureusement relevé par ses notes d'humour décalé, surtout vers la fin.
La Septième Obsession
C’est en quelque sorte une catharsis pour intellectuels, par le truchement du rire et de la farce, qu’il nous impose ici, ce qui explique que le film, sorte de "castigat ridendo mores" 2.0 aussi plaisant qu’éreintant, ait été très fraîchement accueilli à Venise. On ne se moque pas impunément de ses contemporains.
Le Parisien
Rare comédie dans la filmographie riche de presque 25 films d’Olivier Assayas, « Doubles vies » ne fait pas vraiment rire. C’est plutôt l’ennui qui prédomine dans ce long-métrage beaucoup trop bavard (...).
Le Point
Doubles vies est un film intéressant, c'est indéniable. (...) Malheureusement, et malgré la richesse des observations furtives, c'est un peu « fourre-tout ». La parole est maîtresse du jeu et l'image orpheline de beauté. Il manque l'émotion vraie, la grâce, même s'il faut reconnaître qu'elles ne sont pas favorisées par le narcissisme, l'individualisme et l'algorithme.
Transfuge
Le rire est toujours nimbé d'un halo de sérieux, qui le désarmorce. Dommage.
Cahiers du Cinéma
L’air entendu des dialogues où l’on pérore en citant Lampedusa et le ton souvent blasé des interprètes évoquent une improbable résurrection du cinéma de Roger Vadim (enfin, de ses films les plus habillés).
Critikat.com
Cette volonté affichée de ne pas trancher trahit le caractère flottant du regard porté sur le contemporain et révèle une certaine hypocrisie du dispositif, qui feint de laisser ouverts les champs de la réflexion.
Culturopoing.com
Si la dialectique ne peut pas casser des briques, dans "Double vies" elle nous les brise. Tout le film est conçu autour de ce paradigme, une succession d'échanges pontifiants entre bobos narcissiques, ne refaisant pas le monde à moitié ivres à 4 h du matin, mais proférant tour à tour de pseudo vérités dont la pertinence reviendrait à celui qui manie le mieux l'art de la rhétorique.
L'Express
Et ça cause. Beaucoup. Tout le temps. De livres et de bits. C'est tout de même très ennuyeux.
Libération
Le nouveau film d’Olivier Assayas ne dit rien du monde du livre qu’il caricature mais réunit les poncifs de la comédie sentimentale à la française.