The Hate U Give – La Haine qu’on donne : Critique presse
The Hate U Give – La Haine qu’on donne
Note moyenne
3,1
15 titres de presse
20 Minutes
CNews
Franceinfo Culture
Rolling Stone
L'Obs
Le Figaro
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Ouest France
Positif
Première
Télérama
Voici
Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Un film aussi fort que nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Un sujet fort qui mérite amplement d’être traité une nouvelle fois au cinéma.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
L’écriture et l’interprétation remarquable d'Amandla Stenberg, dont les frêles épaules portent le film, sont les meilleurs atouts de "The Hate U Give". Comme d’éviter également le film procès, dont Hollywood est friand et auquel le sujet se prêtait.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Cette adaptation du best-seller d’Angie Thomas ne se contente pas de suggérer le mojo de Tupac, il en fournit une cinglante illustration par l’absurde.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
L'Obs
par François Forestier
Efficace et convaincant, le récit aurait pu se réduire à n'être qu'une pub activiste. Mais Amandla Stenberg, 20 ans, le sauve : elle a la grâce, elle illumine le film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Le film de George Tillman Jr. est un miroir parfois binaire et grossit les traits, mais il a la vertu de montrer une pénible vérité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
La mise en scène ne fait rien pour assouplir cette volonté didactique. (...) Malgré ces handicaps, le final spectaculaire ramène le film à ses raisons d'être - le partage d'une expérience, le début d'une conversation.
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê
Trop soucieux à l’idée de plaire sans faire l’apologie de la révolte, "The Hate U Give" est un film confortable, parfait pour se donner bonne conscience sans prendre le risque d’être secoué.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Un film spectaculaire sur la violence policière.
Positif
par Bernard Génin
Un brin étiré et explicatif (2h15 !), le film n'évite pas un soupçon de pathos mais, dans ses meilleurs moments de fièvre, il évoque un peu Spike Lee [...].
Première
par Sylvestre Picard
Empruntant son titre à un morceau de 2Pac (The hate U give little infants fucks everyone, formant l’acronyme thug life), The hate U givechoisit la voie de la pédagogie et du bon sens pour canaliser la colère née du racisme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Cette adaptation repose sur l’interprétation à fleur de peau d’Amandla Stenberg. Son personnage doit trouver le courage de témoigner, quand tout le monde lui dicte le silence, pour la protéger ou la faire taire. Mais, lorsqu’elle parle enfin, le réalisateur écourte la scène. Le film n’en sort pas moins du lot des films à destination des jeunes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
Une chronique certes balisée, mais souvent juste et émouvante.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le scénario démonstratif n’évite pas un certain angélisme.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Récitant sagement les schémas sociologiques qu’on lui demande de déplier, le film semble conçu pour un public venu non pas éprouver une œuvre mais vérifier sa conformité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Un film aussi fort que nécessaire.
CNews
Un sujet fort qui mérite amplement d’être traité une nouvelle fois au cinéma.
Franceinfo Culture
L’écriture et l’interprétation remarquable d'Amandla Stenberg, dont les frêles épaules portent le film, sont les meilleurs atouts de "The Hate U Give". Comme d’éviter également le film procès, dont Hollywood est friand et auquel le sujet se prêtait.
Rolling Stone
Cette adaptation du best-seller d’Angie Thomas ne se contente pas de suggérer le mojo de Tupac, il en fournit une cinglante illustration par l’absurde.
L'Obs
Efficace et convaincant, le récit aurait pu se réduire à n'être qu'une pub activiste. Mais Amandla Stenberg, 20 ans, le sauve : elle a la grâce, elle illumine le film.
Le Figaro
Le film de George Tillman Jr. est un miroir parfois binaire et grossit les traits, mais il a la vertu de montrer une pénible vérité.
Le Monde
La mise en scène ne fait rien pour assouplir cette volonté didactique. (...) Malgré ces handicaps, le final spectaculaire ramène le film à ses raisons d'être - le partage d'une expérience, le début d'une conversation.
Les Fiches du Cinéma
Trop soucieux à l’idée de plaire sans faire l’apologie de la révolte, "The Hate U Give" est un film confortable, parfait pour se donner bonne conscience sans prendre le risque d’être secoué.
Ouest France
Un film spectaculaire sur la violence policière.
Positif
Un brin étiré et explicatif (2h15 !), le film n'évite pas un soupçon de pathos mais, dans ses meilleurs moments de fièvre, il évoque un peu Spike Lee [...].
Première
Empruntant son titre à un morceau de 2Pac (The hate U give little infants fucks everyone, formant l’acronyme thug life), The hate U givechoisit la voie de la pédagogie et du bon sens pour canaliser la colère née du racisme.
Télérama
Cette adaptation repose sur l’interprétation à fleur de peau d’Amandla Stenberg. Son personnage doit trouver le courage de témoigner, quand tout le monde lui dicte le silence, pour la protéger ou la faire taire. Mais, lorsqu’elle parle enfin, le réalisateur écourte la scène. Le film n’en sort pas moins du lot des films à destination des jeunes.
Voici
Une chronique certes balisée, mais souvent juste et émouvante.
Le Journal du Dimanche
Le scénario démonstratif n’évite pas un certain angélisme.
Les Inrockuptibles
Récitant sagement les schémas sociologiques qu’on lui demande de déplier, le film semble conçu pour un public venu non pas éprouver une œuvre mais vérifier sa conformité.