Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Surprenante de bout en bout, cette comédie accroche par ses ruptures inopinées et son esthétique affirmée et inventive.
Bande à part
par Olivier Bombarda
Personne ne saurait bouder la source volcanique de créativité de "Winter Brothers", film exigeant aux contours glacés.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
Travaillant le son comme il cadre l’image, Hlynur Pálmason donne à son premier long métrage une sorte de « légèreté pesante », combinaison harmonieuse de sourdes bizarreries rendant la noirceur du propos moins oppressante.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Muriel Steinmetz
(...) la singularité de ce film, mûrement pensé et élaboré, qui illustre, entre autres, l'étrangeté d'être au monde en qualité d'ouvrier du sous-sol.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Mais nul doute que le film ne serait pas si remarquable s’il n’inventait pas une étonnante figure humaine. Elliott Crosset Hove, qui incarne Emil, est une sorte de personnage burlesque, aux yeux perpétuellement écarquillés. C’est à lui sans doute que l’on doit le plus évidemment ce sentiment d’étrangeté angoissante qui nimbe un film qui n’oublie pas pourtant de s’inscrire dans une réalité sociale particulièrement rugueuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Apportant un soin tout particulier à la synchronicité des images et de la musique, "Winter Brothers" nous impressionne au sens plein du terme ; il ne s’agit pas d’un film qui, par la virtuosité de sa forme, cherche à éblouir pour nous dissimuler la modicité du fond : l’une et l’autre s’unissent pour composer un tout indéniablement hypnotique.
Libération
par Didier Péron
Décalant la représentation réaliste du travail en la plaçant sur le terrain du gag involontaire ou du dysfonctionnement, "Winter Brothers" obéit à une logique de moments indécis et savamment élaborés par un cinéaste prisant la composition photographique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La rédaction
Les images de ce film sur les désirs instinctifs, entremêlées avec une musique des profondeurs, faite des sons industriels et naturels de Lars Harlvorsen, en font une œuvre artistique très avant-gardiste.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Alain Masson
Premier long métrage du plasticien islandais Hlynur Pálmason, "Vinterbrødre" témoigne à la fois d’une grande ambition et d’une véritable maîtrise.
Transfuge
par Damien Aubel
Premier long du Danois Hlynur Palmason, "Winter Brothers" échappe magistralement aux pièges du formalisme.
Télérama
par Pierre Murat
Un humour noir enveloppe ce film très sombre où l’intrigue est volontairement effacée au profit d’une ambiance sourde, asphyxiante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Véritable expérience sensorielle et picturale, le premier film du plasticien Hlynur Palmason n’est pas qu’une performance formaliste puisqu’il parvient également à rendre touchant un drame intime.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Benoît Smith
Pálmason [dirige] une sorte de "trip" rugueux, pas toujours aimable dans le caractère démonstratif de son installation, mais touchant quand il invite le regard à être sensible à un monde qui se fissure et se reforme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
On ne comprend pas toujours ce qui se passe (c'est le point faible), (...) : Hlynur Palmason, plasticien islandais, a le don de fabriquer des images sublimes, qui suggèrent une autre histoire derrière l'histoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par La rédaction
Récompensé de prix à Angers et Angoulême, ce film singulier signé d’un plasticien islandais se situe à la lisière entre la performance et le drame.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La rédaction
Utilisant une palette de tons gris sur fond de bruits de chantier, ce film est réaliste sur le fond et abstrait dans sa composition. Une curiosité dans le genre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Il s’agit avant tout d’une farce burlesque et froide, d’un trip formel où la question humaine reste secondaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Véritable œuvre de plasticien, "Winter Brothers" déroute et fascine en même temps. Vous êtes prévenus.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Intrigant par sa tentative de mêler étroitement cinéma narratif et motifs de l’art contemporain, le film perd un peu sur les deux tableaux, mais garde pour lui une forme de rugosité peu amène et assez étrange, qui par moments trouve brièvement à s’incarner.
Le Journal du Dimanche
Surprenante de bout en bout, cette comédie accroche par ses ruptures inopinées et son esthétique affirmée et inventive.
Bande à part
Personne ne saurait bouder la source volcanique de créativité de "Winter Brothers", film exigeant aux contours glacés.
Culturopoing.com
Travaillant le son comme il cadre l’image, Hlynur Pálmason donne à son premier long métrage une sorte de « légèreté pesante », combinaison harmonieuse de sourdes bizarreries rendant la noirceur du propos moins oppressante.
L'Humanité
(...) la singularité de ce film, mûrement pensé et élaboré, qui illustre, entre autres, l'étrangeté d'être au monde en qualité d'ouvrier du sous-sol.
Le Monde
Mais nul doute que le film ne serait pas si remarquable s’il n’inventait pas une étonnante figure humaine. Elliott Crosset Hove, qui incarne Emil, est une sorte de personnage burlesque, aux yeux perpétuellement écarquillés. C’est à lui sans doute que l’on doit le plus évidemment ce sentiment d’étrangeté angoissante qui nimbe un film qui n’oublie pas pourtant de s’inscrire dans une réalité sociale particulièrement rugueuse.
Les Fiches du Cinéma
Apportant un soin tout particulier à la synchronicité des images et de la musique, "Winter Brothers" nous impressionne au sens plein du terme ; il ne s’agit pas d’un film qui, par la virtuosité de sa forme, cherche à éblouir pour nous dissimuler la modicité du fond : l’une et l’autre s’unissent pour composer un tout indéniablement hypnotique.
Libération
Décalant la représentation réaliste du travail en la plaçant sur le terrain du gag involontaire ou du dysfonctionnement, "Winter Brothers" obéit à une logique de moments indécis et savamment élaborés par un cinéaste prisant la composition photographique.
Ouest France
Les images de ce film sur les désirs instinctifs, entremêlées avec une musique des profondeurs, faite des sons industriels et naturels de Lars Harlvorsen, en font une œuvre artistique très avant-gardiste.
Positif
Premier long métrage du plasticien islandais Hlynur Pálmason, "Vinterbrødre" témoigne à la fois d’une grande ambition et d’une véritable maîtrise.
Transfuge
Premier long du Danois Hlynur Palmason, "Winter Brothers" échappe magistralement aux pièges du formalisme.
Télérama
Un humour noir enveloppe ce film très sombre où l’intrigue est volontairement effacée au profit d’une ambiance sourde, asphyxiante.
aVoir-aLire.com
Véritable expérience sensorielle et picturale, le premier film du plasticien Hlynur Palmason n’est pas qu’une performance formaliste puisqu’il parvient également à rendre touchant un drame intime.
Critikat.com
Pálmason [dirige] une sorte de "trip" rugueux, pas toujours aimable dans le caractère démonstratif de son installation, mais touchant quand il invite le regard à être sensible à un monde qui se fissure et se reforme.
L'Obs
On ne comprend pas toujours ce qui se passe (c'est le point faible), (...) : Hlynur Palmason, plasticien islandais, a le don de fabriquer des images sublimes, qui suggèrent une autre histoire derrière l'histoire.
La Croix
Récompensé de prix à Angers et Angoulême, ce film singulier signé d’un plasticien islandais se situe à la lisière entre la performance et le drame.
Le Figaro
Utilisant une palette de tons gris sur fond de bruits de chantier, ce film est réaliste sur le fond et abstrait dans sa composition. Une curiosité dans le genre.
Les Inrockuptibles
Il s’agit avant tout d’une farce burlesque et froide, d’un trip formel où la question humaine reste secondaire.
Première
Véritable œuvre de plasticien, "Winter Brothers" déroute et fascine en même temps. Vous êtes prévenus.
Cahiers du Cinéma
Intrigant par sa tentative de mêler étroitement cinéma narratif et motifs de l’art contemporain, le film perd un peu sur les deux tableaux, mais garde pour lui une forme de rugosité peu amène et assez étrange, qui par moments trouve brièvement à s’incarner.