Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Ce cinquième long-métrage de la réalisatrice est aussi le plus accompli, enveloppée de couleurs et d’une lumière magnifique. À situer au carrefour des « Estivants », de Maxime Gorki et de « la Cerisaie », d’Anton Tchekhov. Quel beau film !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Thierry Chèze
Un superbe film sur la lutte des classes.
CNews
par La rédaction
Toujours avec cette délicatesse qui la caractérise, [Valeria Bruni Tedeschi] relate les retrouvailles d’une famille dans une propriété, sur la Côte d’Azur, dont les membres espèrent oublier leurs tracas du quotidien.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans ce roman familial dépressif, remontent les douleurs de l’enfance et passe le fantôme d’un frère mort. Comme dans Un Château en Italie. Le chagrin de Valeria Bruni-Tedeschi, qui se souvient avec tendresse et grâce de son frère, mort du Sida. La vraie vie d’un amour fraternel sans fin.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
L'Humanité
par Emile Breton
Valeria Bruni Tedeschi confirme ses qualités de cinéaste, d’actrice et de femme de théâtre. Comédie sociale et amours finissantes se tiennent sur des lignes d’égale rigueur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
Dans cet étonnant théâtre intime, porté à ciel ouvert par des acteurs de la Comédie-Française (Laurent Stocker, Bruno Raffaelli), bousculé par la révolte des domestiques (Yolande Moreau en tête) et menacé par une horde de sangliers, Valeria Bruni Tedeschi, qui ne manque pas de culot, met en scène sa propre vie pour mieux la réinventer, la parodier, voire la subvertir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Une comédie cruelle et mélancolique.
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
"Les Estivants" viennent six ans après "Un château en Italie" dont il constitue en quelque sorte le préquel (…) et c’est l’œuvre entière de Bruni Tedeschi qui devient un objet intrigant, relié par des liens secrets, des passerelles invisibles, créant un rapport au temps à la fois souverain et résigné.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Sorte de genèse d'"Un château en Italie" sur fond de rupture à peine fictionnée avec Louis Garrel, la cinéaste ordonne un ballet familial faussement décousu, un grand cocktail explosif.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Dans ce théâtre à ciel ouvert, Valeria Bruni Tedeschi saisit les vibrations de la vie avec un sens du comique extraordinaire et une émouvante mélancolie ; passe aussi le fantôme du frère qui vient réclamer des comptes à sa sœur puisqu’elle écrit sur lui.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
Une réussite.
Voici
par Lola Sciamma
Une comédie humaine, théâtrale, frappadingue.
Franceinfo Culture
par Jules Boudier et Valérie Gaget
"Les Estivants", inspiré par une oeuvre de Gorki, a le parfum d'une pièce de théâtre filmée, découpée en actes, sur la scène bien délimitée qu'est cette villa de la Côte d'Azur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Antoine Le Fur
Alors oui, c'est long et bavard. Mais la vitalité et l'énergie finissent par l'emporter, contribuant à faire des "Estivants", l'un des meilleurs feel good movies de ce début d'année.
La Croix
par Céline Rouden
Malgré une écriture plus maîtrisée que dans ses précédents longs-métrages et une photographie soignée, le film d’une durée de plus de deux heures, finit malheureusement par se perdre, et nous perdre, dans les états d’âme et les bavardages sans fin de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Film de famille, donc, au sens propre et intime du terme, où l’on retrouve, de la façon la plus frontale, les démons intérieurs de la réalisatrice, ses souvenirs douloureux d’enfance, le désordre de sa vie, sa personnalité impulsive et débordante. Qui déborde un peu trop parfois, dans un film surchargé de tout ce magma intérieur, parfois laborieux, parfois éclairé d’une folie lumineuse.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Nantis ou besogneux, ses personnages, portés par des acteurs convaincants, se révèlent touchants ou pathétiques. Les héros ordinaires d’un film très théâtral dont la sincérité permet d’oublier les maladresses.
Positif
par Nicolas Bauche
Le sens de la mise en scène, le rythme et l'écriture fine d'"Un Château en Italie" faiblissent dans cet opus dont les plus belles scènes restent celles, spectrales, des apparitions shakespeariennes du frère adoré passé de vie à trépas.
Première
par Sophie Benamon
Servi par une distribution hors pair, Les Estivantsest une comédie politique d’un nouveau genre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film quasi choral qui manque curieusement d’émotion(s) !
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Ressassant la matière de ses films passés, Valeria Bruni-Tedeschi stagne sans évoluer dans les mêmes névroses.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
On retrouve dans Les Estivants le double jeu d’autodérision acide et de chantage sentimental qui rendait insupportable Un château en Italie, les mêmes aristocrates odieux renvoyant caricaturés en grands autistes ou hystériques, enrobés dans une pâte de drames affectifs.
La Septième Obsession
par Claire Micallef
Il est à la fois piquant et navrant de voir une nantie de naissance transformer "La Règle du jeu", le chef-d’oeuvre de Jean Renoir (référence clignotante du film, avec ses va-et-vient entre personnel de maison et famille), en film de nouveaux riches !
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Pour son nouveau film, la réalisatrice s'est encore inspirée de sa vie personnelle. Mais cette fois, l'émotion fait place à une bouillabaisse de sentiments et à un nombrilisme navrant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Cela se voudrait le portrait drôle et cruel de la haute bourgeoisie. Cela se fantasme comme une mise en danger de soi. Ce n'est qu'une confession satisfaite.
Le Parisien
Ce cinquième long-métrage de la réalisatrice est aussi le plus accompli, enveloppée de couleurs et d’une lumière magnifique. À situer au carrefour des « Estivants », de Maxime Gorki et de « la Cerisaie », d’Anton Tchekhov. Quel beau film !
Ouest France
Un superbe film sur la lutte des classes.
CNews
Toujours avec cette délicatesse qui la caractérise, [Valeria Bruni Tedeschi] relate les retrouvailles d’une famille dans une propriété, sur la Côte d’Azur, dont les membres espèrent oublier leurs tracas du quotidien.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans ce roman familial dépressif, remontent les douleurs de l’enfance et passe le fantôme d’un frère mort. Comme dans Un Château en Italie. Le chagrin de Valeria Bruni-Tedeschi, qui se souvient avec tendresse et grâce de son frère, mort du Sida. La vraie vie d’un amour fraternel sans fin.
L'Humanité
Valeria Bruni Tedeschi confirme ses qualités de cinéaste, d’actrice et de femme de théâtre. Comédie sociale et amours finissantes se tiennent sur des lignes d’égale rigueur.
L'Obs
Dans cet étonnant théâtre intime, porté à ciel ouvert par des acteurs de la Comédie-Française (Laurent Stocker, Bruno Raffaelli), bousculé par la révolte des domestiques (Yolande Moreau en tête) et menacé par une horde de sangliers, Valeria Bruni Tedeschi, qui ne manque pas de culot, met en scène sa propre vie pour mieux la réinventer, la parodier, voire la subvertir.
Le Monde
Une comédie cruelle et mélancolique.
Les Inrockuptibles
"Les Estivants" viennent six ans après "Un château en Italie" dont il constitue en quelque sorte le préquel (…) et c’est l’œuvre entière de Bruni Tedeschi qui devient un objet intrigant, relié par des liens secrets, des passerelles invisibles, créant un rapport au temps à la fois souverain et résigné.
Marie Claire
Sorte de genèse d'"Un château en Italie" sur fond de rupture à peine fictionnée avec Louis Garrel, la cinéaste ordonne un ballet familial faussement décousu, un grand cocktail explosif.
Sud Ouest
Dans ce théâtre à ciel ouvert, Valeria Bruni Tedeschi saisit les vibrations de la vie avec un sens du comique extraordinaire et une émouvante mélancolie ; passe aussi le fantôme du frère qui vient réclamer des comptes à sa sœur puisqu’elle écrit sur lui.
Télé Loisirs
Une réussite.
Voici
Une comédie humaine, théâtrale, frappadingue.
Franceinfo Culture
"Les Estivants", inspiré par une oeuvre de Gorki, a le parfum d'une pièce de théâtre filmée, découpée en actes, sur la scène bien délimitée qu'est cette villa de la Côte d'Azur.
L'Express
Alors oui, c'est long et bavard. Mais la vitalité et l'énergie finissent par l'emporter, contribuant à faire des "Estivants", l'un des meilleurs feel good movies de ce début d'année.
La Croix
Malgré une écriture plus maîtrisée que dans ses précédents longs-métrages et une photographie soignée, le film d’une durée de plus de deux heures, finit malheureusement par se perdre, et nous perdre, dans les états d’âme et les bavardages sans fin de son héroïne.
Le Dauphiné Libéré
Film de famille, donc, au sens propre et intime du terme, où l’on retrouve, de la façon la plus frontale, les démons intérieurs de la réalisatrice, ses souvenirs douloureux d’enfance, le désordre de sa vie, sa personnalité impulsive et débordante. Qui déborde un peu trop parfois, dans un film surchargé de tout ce magma intérieur, parfois laborieux, parfois éclairé d’une folie lumineuse.
Le Journal du Dimanche
Nantis ou besogneux, ses personnages, portés par des acteurs convaincants, se révèlent touchants ou pathétiques. Les héros ordinaires d’un film très théâtral dont la sincérité permet d’oublier les maladresses.
Positif
Le sens de la mise en scène, le rythme et l'écriture fine d'"Un Château en Italie" faiblissent dans cet opus dont les plus belles scènes restent celles, spectrales, des apparitions shakespeariennes du frère adoré passé de vie à trépas.
Première
Servi par une distribution hors pair, Les Estivantsest une comédie politique d’un nouveau genre.
Les Fiches du Cinéma
Un film quasi choral qui manque curieusement d’émotion(s) !
Libération
Ressassant la matière de ses films passés, Valeria Bruni-Tedeschi stagne sans évoluer dans les mêmes névroses.
Cahiers du Cinéma
On retrouve dans Les Estivants le double jeu d’autodérision acide et de chantage sentimental qui rendait insupportable Un château en Italie, les mêmes aristocrates odieux renvoyant caricaturés en grands autistes ou hystériques, enrobés dans une pâte de drames affectifs.
La Septième Obsession
Il est à la fois piquant et navrant de voir une nantie de naissance transformer "La Règle du jeu", le chef-d’oeuvre de Jean Renoir (référence clignotante du film, avec ses va-et-vient entre personnel de maison et famille), en film de nouveaux riches !
Le Figaro
Pour son nouveau film, la réalisatrice s'est encore inspirée de sa vie personnelle. Mais cette fois, l'émotion fait place à une bouillabaisse de sentiments et à un nombrilisme navrant.
Transfuge
Cela se voudrait le portrait drôle et cruel de la haute bourgeoisie. Cela se fantasme comme une mise en danger de soi. Ce n'est qu'une confession satisfaite.