Les Estivants
Note moyenne
3,2
25 titres de presse
  • Le Parisien
  • Ouest France
  • CNews
  • Dernières Nouvelles d'Alsace
  • L'Humanité
  • L'Obs
  • Le Monde
  • Les Inrockuptibles
  • Marie Claire
  • Sud Ouest
  • Télé Loisirs
  • Voici
  • Franceinfo Culture
  • L'Express
  • La Croix
  • Le Dauphiné Libéré
  • Le Journal du Dimanche
  • Positif
  • Première
  • Les Fiches du Cinéma
  • Libération
  • Cahiers du Cinéma
  • La Septième Obsession
  • Le Figaro
  • Transfuge

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

25 critiques presse

Le Parisien

par La Rédaction

Ce cinquième long-métrage de la réalisatrice est aussi le plus accompli, enveloppée de couleurs et d’une lumière magnifique. À situer au carrefour des « Estivants », de Maxime Gorki et de « la Cerisaie », d’Anton Tchekhov. Quel beau film !

La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

Ouest France

par Thierry Chèze

Un superbe film sur la lutte des classes.

CNews

par La rédaction

Toujours avec cette délicatesse qui la caractérise, [Valeria Bruni Tedeschi] relate les retrouvailles d’une famille dans une propriété, sur la Côte d’Azur, dont les membres espèrent oublier leurs tracas du quotidien.

Dernières Nouvelles d'Alsace

par Nathalie Chifflet

Dans ce roman familial dépressif, remontent les douleurs de l’enfance et passe le fantôme d’un frère mort. Comme dans Un Château en Italie. Le chagrin de Valeria Bruni-Tedeschi, qui se souvient avec tendresse et grâce de son frère, mort du Sida. La vraie vie d’un amour fraternel sans fin.

La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace

L'Humanité

par Emile Breton

Valeria Bruni Tedeschi confirme ses qualités de cinéaste, d’actrice et de femme de théâtre. Comédie sociale et amours finissantes se tiennent sur des lignes d’égale rigueur.

La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

L'Obs

par Jérôme Garcin

Dans cet étonnant théâtre intime, porté à ciel ouvert par des acteurs de la Comédie-Française (Laurent Stocker, Bruno Raffaelli), bousculé par la révolte des domestiques (Yolande Moreau en tête) et menacé par une horde de sangliers, Valeria Bruni Tedeschi, qui ne manque pas de culot, met en scène sa propre vie pour mieux la réinventer, la parodier, voire la subvertir.

La critique complète est disponible sur le site L'Obs

Le Monde

par Thomas Sotinel

Une comédie cruelle et mélancolique.

Les Inrockuptibles

par Emily Barnett

"Les Estivants" viennent six ans après "Un château en Italie" dont il constitue en quelque sorte le préquel (…) et c’est l’œuvre entière de Bruni Tedeschi qui devient un objet intrigant, relié par des liens secrets, des passerelles invisibles, créant un rapport au temps à la fois souverain et résigné.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

Marie Claire

par Emily Barnett

Sorte de genèse d'"Un château en Italie" sur fond de rupture à peine fictionnée avec Louis Garrel, la cinéaste ordonne un ballet familial faussement décousu, un grand cocktail explosif.

Sud Ouest

par Sophie Avon

Dans ce théâtre à ciel ouvert, Valeria Bruni Tedeschi saisit les vibrations de la vie avec un sens du comique extraordinaire et une émouvante mélancolie ; passe aussi le fantôme du frère qui vient réclamer des comptes à sa sœur puisqu’elle écrit sur lui.

La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest

Télé Loisirs

par Gwenola Trouillard

Une réussite.

Voici

par Lola Sciamma

Une comédie humaine, théâtrale, frappadingue.

Franceinfo Culture

par Jules Boudier et Valérie Gaget

"Les Estivants", inspiré par une oeuvre de Gorki, a le parfum d'une pièce de théâtre filmée, découpée en actes, sur la scène bien délimitée qu'est cette villa de la Côte d'Azur.

La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

L'Express

par Antoine Le Fur

Alors oui, c'est long et bavard. Mais la vitalité et l'énergie finissent par l'emporter, contribuant à faire des "Estivants", l'un des meilleurs feel good movies de ce début d'année.

La Croix

par Céline Rouden

Malgré une écriture plus maîtrisée que dans ses précédents longs-métrages et une photographie soignée, le film d’une durée de plus de deux heures, finit malheureusement par se perdre, et nous perdre, dans les états d’âme et les bavardages sans fin de son héroïne.

La critique complète est disponible sur le site La Croix

Le Dauphiné Libéré

par Jean Serroy

Film de famille, donc, au sens propre et intime du terme, où l’on retrouve, de la façon la plus frontale, les démons intérieurs de la réalisatrice, ses souvenirs douloureux d’enfance, le désordre de sa vie, sa personnalité impulsive et débordante. Qui déborde un peu trop parfois, dans un film surchargé de tout ce magma intérieur, parfois laborieux, parfois éclairé d’une folie lumineuse.

Le Journal du Dimanche

par Baptiste Thion

Nantis ou besogneux, ses personnages, portés par des acteurs convaincants, se révèlent touchants ou pathétiques. Les héros ordinaires d’un film très théâtral dont la sincérité permet d’oublier les maladresses.

Positif

par Nicolas Bauche

Le sens de la mise en scène, le rythme et l'écriture fine d'"Un Château en Italie" faiblissent dans cet opus dont les plus belles scènes restent celles, spectrales, des apparitions shakespeariennes du frère adoré passé de vie à trépas.

Première

par Sophie Benamon

Servi par une distribution hors pair, Les Estivantsest une comédie politique d’un nouveau genre.

La critique complète est disponible sur le site Première

Les Fiches du Cinéma

par Gilles Tourman

Un film quasi choral qui manque curieusement d’émotion(s) !

La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

Libération

par Elisabeth Franck-Dumas

Ressassant la matière de ses films passés, Valeria Bruni-Tedeschi stagne sans évoluer dans les mêmes névroses.

La critique complète est disponible sur le site Libération

Cahiers du Cinéma

par Cyril Béghin

On retrouve dans Les Estivants le double jeu d’autodérision acide et de chantage sentimental qui rendait insupportable Un château en Italie, les mêmes aristocrates odieux renvoyant caricaturés en grands autistes ou hystériques, enrobés dans une pâte de drames affectifs.

La Septième Obsession

par Claire Micallef

Il est à la fois piquant et navrant de voir une nantie de naissance transformer "La Règle du jeu", le chef-d’oeuvre de Jean Renoir (référence clignotante du film, avec ses va-et-vient entre personnel de maison et famille), en film de nouveaux riches !

Le Figaro

par Eric Neuhoff

Pour son nouveau film, la réalisatrice s'est encore inspirée de sa vie personnelle. Mais cette fois, l'émotion fait place à une bouillabaisse de sentiments et à un nombrilisme navrant.

La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

Transfuge

par Jean-Christophe Ferrari

Cela se voudrait le portrait drôle et cruel de la haute bourgeoisie. Cela se fantasme comme une mise en danger de soi. Ce n'est qu'une confession satisfaite.

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